En cours de saisie

Les ressortissants français sont dispensés de visa pour un séjour touristique en Turquie ne dépassant pas 90 jours sur une période de 180 jours, que le séjour soit continu ou fractionné. Ils doivent toutefois être munis d’une carte nationale d’identité ou d’un passeport individuel dont la durée de validité dépasse d’au moins 150 jours la date de l’entrée en Turquie.

Les cartes nationales d’identité délivrées à des personnes majeures entre le 1er janvier 2004 et le 31 décembre 2013 seront encore valables 5 ans après la date de fin de validité indiquée au verso, mais aucune modification matérielle de la carte plastifiée n’en attestera. En conséquence, de façon à éviter tout désagrément pendant votre voyage, il vous est fortement recommandé de privilégier l’utilisation d’un passeport valide à celle d’une CNI portant une date de fin de validité dépassée, même si elle est considérée par les autorités françaises comme étant toujours en cours de validité, et si les autorités turques ont accepté cette prorogation. Des dysfonctionnements ont en effet été constatés à l’entrée et à la sortie du territoire turc.

Si vous voyagez uniquement avec votre carte nationale d’identité :

• vous pouvez télécharger et imprimer une notice multilingue expliquant ces nouvelles règles à l’adresse suivante :
  
  http://media.interieur.gouv.fr/interieur/cni-15ans/document-a-telecharger-turquie.pdf ;

• vous devez vous assurer, pour être autorisé à entrer sur le territoire turc, que la date de validité de ce document dépasse d’au moins 150 jours la date de l’entrée en Turquie.

Un passeport périmé, utilisé comme document de voyage, ne permet pas à son titulaire d’être admis sur le territoire turc. Comme indiqué plus haut, la durée de validité du passeport doit dépasser d’au moins 150 jours la date de l’entrée en Turquie.

Par ailleurs, afin d’éviter tout problème d’entrée ou de sortie du territoire turc, les mineurs voyageant non-accompagnés par leurs parents :

• doivent être munis d’un passeport dont la durée de validité devra dépasser d’au moins 150 jours la date de l’entrée en Turquie ;
• doivent être munis, à défaut de passeport, d’une carte nationale d’identité dont la durée de validité devra dépasser d’au moins 150 jours la date de l’entrée en Turquie, d’une part, et d’une autorisation de voyage établie sous seing privé par le(s) parent(s) et comportant une signature légalisée ou, en cas de voyage scolaire, d’une attestation délivrée par le chef d’établissement, d’autre part.

En outre, en prévision de leur retour en France, nos compatriotes binationaux veilleront également à se munir d’un document de voyage français (passeport ou carte nationale d’identité) en cours de validité.

Les objets d’une valeur supérieure à 15 000$ doivent faire l’objet d’une déclaration en douane.
Les factures pour des tapis neufs seront également à présenter aux autorités.

Toute exportation d’antiquité est interdite.

Limites autorisées en « duty free »:
200 cigarettes (1 boîte) et 50 cigares, plus : 200 grammes Tabac et 200 papiers de cigarette. Jusqu’à 1.5 kg de café.

Sur la « route des Balkans », la Turquie reste un pays de transit en matière de produits stupéfiants (cannabis, héroïne, cocaïne, amphétamines, etc.). Il est conseillé de n’accepter aucun colis sans en connaître le contenu et, a fortiori, de n’acheter aucun produit « douteux », les peines encourues pouvant être très lourdes. L’usage et la détention de produits stupéfiants sont punissables d’une peine d’emprisonnement d’un à deux ans. Le trafic est punissable de peines allant de six à douze ans. Il existe des circonstances aggravantes (cession aux mineurs, etc.).

L’exportation de biens culturels et d’antiquités est sévèrement réglementée et punie en cas de fraude en Turquie (peines de prison, fortes amendes). La notion d’antiquité est interprétée de façon très large par la loi turque. Pour plus de détails, reportez-vous à la rubrique « Infos utiles/Législation locale ».

Unité monétaire : Nouvelle Lire Turque  
Code de la Monnaie : TRY
Taux de change au 16/03/2016 : 1,00 TRY = 0,310207 EUR – 1,00 EUR = 3,22366 TRY

La monnaie est la nouvelle lire turque (Yeni Türk Lirasi) que l’on a de plus en plus tendance à appeler nouvelle livre turque. Son code ISO est TRY. La nouvelle lire turque est entrée en vigueur le 1er janvier 2005 en remplacement de la lire turque au taux de une nouvelle lire pour un million d’anciennes. On la trouve sous forme de billets de 100, 50, 20, 10, 5 et 1 unité et de pièces de 50, 20, 10, 5 et 1 unité.

Pourboire  : Bien qu’il ne soit pas exigé, il est d’usage de laisser un pourboire de 10% pour les services particuliers (taxi, restaurant, etc.) d’autant que le service n’est pas compris. La Turquie a une TVA appelée KDV, ajoutée ou incluse dans le prix de la plupart des marchandises et services. La grande partie des établissements ont un panneau indiquant « Fiyatlarimizda KDV Dahildir » (KDV incluse dans le prix). Il est rare que la KDV soit ajoutée séparément à votre facture et si c’est le cas, méfiez-vous. Certains hôtels et magasins vous feront un rabais si vous renoncez au reçu officiel.

Petit lexique des 1ers mots
Bonjour : Gunaydın (le matin), Merhaba
Bonne soir : İyi akşamlar
Bonne nuit : İyi geceler
S’il vous plait : Lütfen
Merci : Teşekkür ederim
Désolé! : Üzgünüm
Excusez-moi! : Özür dilerim
Au revoir (à celui qui reste) : Allaha ısmarladık, Hoşçakal
Au revoir (à celui qui part) : Güle güle
Bon voyage! : İyi seyahatler!
Quel en est le prix ? : Fiyati nedir ?
Combien ceci ? : Bu ne kadar ?
C’est trop cher  ! :  Çok pahalı
Oui : Evet
Non : Hayır
Très beau! : Çok güzel!
Je suis français : Francısım
Je m’appelle : Adım
D’accord : Tamam
Petit : Küçük
Grand : Büyük
Cher : Pahalı
Bon marché : Ucuz
Bon : İyi

Conduite et Permis de conduire : Conduite à droite et ceinture de sécurité obligatoire.
Sigle International : TR

Horaires d’ouverture / de travail :
Les banques sont ouvertes de 8h30 à 12h00 et de 13h30 à 17h30 du lundi au vendredi.
Les administrations publiques : de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h00 du lundi au vendredi.
Les commerces : de 9h00 à 19h30 du lundi au samedi et des quelques centres commerciaux de 10h00 à 22h00 7 jour 7.

Téléphone – Indicatif : 90
Pour contacter un correspondant à l’étranger vous devrez composer : le préfixe international l’indicatif le numéro d’appel de votre correspondant (sans le 0 au début).

N° d’Urgence : 112

Internet : Le suffixe internet des sites enregistrés en Turquie est: .tr

Médias :
Principaux journaux nationaux : Barometre, Turkish Daily News, Turkish Press, Hurriyet.

La cuisine turque possède une notoriété internationale, sa cuisine est réputée pour ses plats variés et épicés. Parmi les nombreuses spécialités turques, nous pouvons citer les principaux :

– Les différents Kebabs : Viande de boeuf rôtie ou du poulet servie soit en sandwichs (le Döner) , soit en plats élaborés dans les restaurants, tels que le Adana Kebab ( viande de boeuf hâchée sur une brochètte est servie avec une sauce piquante sur du pain pide), le Yogurtlu Kebab ( viande de boeuf hachée servie avec une sauce à base de yahourt), le sis kebab (brochettes de boeuf, tomates, oignons et poivrons), ou encore le tavuk sis (brochettes de poulets marinées auparavant dans le jus de citon).

– Le Karniyarik : aubergine farcie servie avec une sauce tomate souvent épicée.

– Les Lahmacun : pizza turque à la viande hâchée (épicée ou non épicée).

– Midye Tava : beignets de moules servis avec une sauce à l’ail (teratur).

– Tas Kebab : petits morceaux de veau marinés dans une sauce tomate et servis avec du riz pilaf ou des pommes de terre sautés.

– Le cacik : Potage turc au yahourt, concombre et à la menthe que l’on sert froid.

– Patlican tava : Aubergine grillèe.

– Manti : ravioli aux boeufs avec une sauce au yaourt et une sauce tomate piquante ou non piquante.

– Les Baklava et le Kadayif : pâtisseries orientales à bases de pistaches et de noix et une sauce au miel.

– Le Raki : boisson traditionnelle turque alcoolisée très forte à base d’anis que l’on retrouve aussi en Grèce : l’Ouzo.

– Ayran : boisson rafraîchissante à base de yahourt.

– çay: le thé turc très réputé, tous les Turcs en boivent à toutes les heures.

– Kahve: le café turc qui est très fort.

La poignée de mains est la forme habituelle de salut. L’hospitalité est très importante et les voyageurs respecteront les coutumes islamiques. Une tenue décontractée est tolérée, mais la tenue de plage sera réservée à la plage ou à la piscine. Fumer est autorisé partout, sauf au cinéma, au théâtre, dans les bus urbains et les dolmus (taxis collectifs).

Certains virus ou parasites peuvent être transmis par les piqûres de moustiques ou de tiques. Le port de vêtements longs et l’utilisation de répulsifs (sprays ou crème) diminuent significativement ce risque.

Le pays connaît, dans le sud-est, des cas sporadiques de transmission de paludisme. Durant votre séjour, et durant le mois qui suit votre retour, un avis médical doit être pris rapidement en cas de fièvre.

Maladie virale transmise par les piqûres de tiques pouvant présenter quelques formes sévères, cette affection touche principalement les départements d’Anatolie centrale (en particulier ceux de Sivas, Tokat et Corum) et la côte de la Mer noire. Les forêts des alentours d’Istanbul et d’Ankara sont également des zones à risque.

Il convient de prendre des mesures de protection individuelle :

• utiliser des produits répulsifs (à pulvériser sur la peau et/ou les vêtements) ;
• éviter les zones où les tiques sont abondantes et les périodes durant lesquelles elles sont actives (du printemps à l’automne) ;
• rechercher régulièrement les tiques, dans les vêtements ou sur la peau, puis les enlever.

La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite +/- coqueluche est nécessaire.

Autres vaccinations pouvant être conseillées (selon conditions d’hygiène et durée du séjour) : fièvre typhoïde, hépatites virales A et B.

En cas de séjour prolongé, en situation d’isolement, la vaccination préventive contre la rage peut être évoquée. Demandez conseil à votre médecin.

• Il est préférable de consommer de l’eau en bouteilles capsulées ;
• évitez l’ingestion de légumes crus et de fruits non pelés ;
• évitez la consommation d’aliments insuffisamment cuits (poisson, viande, volaille, lait) ;
• veillez à un lavage régulier et soigneux des mains avant chaque repas.

• Ne caressez pas les animaux que vous rencontrez ;
• veillez à votre sécurité routière (port de la ceinture de sécurité en automobile ou du casque en moto) ;
• emportez dans vos bagages les médicaments dont vous pourriez avoir besoin.

Les attentats qui frappent régulièrement la Turquie attestent de la persistance d’un risque terroriste dans ce pays.

Des groupes djihadistes ont commis plusieurs attentats sur le territoire turc, dans les zones touristiques (attentat dans le quartier de Sultanahmet à Istanbul, le 12 janvier 2016, attentat sur l’avenue Istiklal, le 19 mars 2016, attentat dans la discothèque Reina le 1er janvier 2017), les centres urbains (attentat aux abords de la gare centrale d’Ankara, le 10 octobre 2015) et les zones frontalières avec la Syrie (attaques à Reyhanli – province du Hatay- en mai 2013, à Nigde, en mars 2014 et attentat commis le 20 juillet 2015 à Suruç, à quelques kilomètres de la frontière avec la Syrie).

Le cessez-le-feu entre le PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan) et les autorités turques a été rompu en juillet 2015, occasionnant un nouveau cycle de violences, qui visent en priorité les forces de sécurité turques (attaques contre des postes de police, de l’armée ou de la gendarmerie) et les infrastructures énergétiques et de transport (actes de sabotage). Ces violences se sont étendues dans les campagnes et dans plusieurs villes du Sud-Est de la Turquie. Ces affrontements violents peuvent causer des dommages collatéraux importants et faire des victimes civiles. Ces zones doivent être évitées absolument. Par ailleurs, les Faucons de la liberté du Kurdistan ont également revendiqué les attentats commis à Ankara le 17 février et le 13 mars 2016 et le 10 décembre à Istanbul.

Le mouvement d’extrême gauche DHKP-C (Parti-Front de libération du peuple révolutionnaire) est redevenu plus actif ces dernières années, commettant un attentat contre l’Ambassade des Etats-Unis le 1er février 2013 et le Consulat des Etats-Unis à Istanbul le 10 août 2015, ainsi que des attentats et des attaques à Istanbul visant les forces de police les 1er janvier, 31 mars et 1er avril 2015 et le 3 mars 2016 ainsi que le palais de Dolmabahçe le 19 août 2015.

La probabilité que d’autres événements sécuritaires de cette nature se produisent reste très élevée. Les intérêts et les ressortissants français en Turquie peuvent être également pris pour cible.

Compte tenu du contexte régional, les abords immédiats des frontières avec la Syrie et l’Irak sont formellement déconseillés.

Tant en Syrie qu’aux abords de la frontière du côté turc, le risque d’enlèvement d’Occidentaux est particulièrement élevé. Ce risque n’est pas seulement dû aux actions directes des groupes djihadistes, il est également lié à la présence de groupes criminels qui ont ensuite la possibilité de remettre leurs otages aux groupes radicaux.

Les départements du Hatay, de Kilis, de Gaziantep, de Şanlıurfa, de Mardin, de Şırnak, de Siirt, de Diyarbakır, de Batman et d’Hakkari sont déconseillés sauf raison impérative. Les préfectures de ces départements ont déclaré en leur sein des « zones de sécurité », formellement interdites aux civils en raison de la reprise des opérations et combats entre les forces de sécurité turques et le PKK, et dont la durée varie entre deux semaines et plusieurs mois. Des couvre-feux ont été instaurés dans plusieurs villes. Certaines ont même fait l’objet de mesures temporaires de confinement (accès interdits). Le détail des zones en question est accessible sur les sites internet des préfectures des départements cités.

Des restrictions à la circulation sont possibles dans les districts frontaliers avec la Syrie et l’Irak ainsi que dans le département d’Aǧrı, où l’accès aux monts Ararat et Tendürek est soumis à l’autorisation préalable des autorités turques.

La frontière avec l’Arménie est fermée. Les deux postes frontières d’Aryaka (province de Kars) et d’Alican (commune d’Egdir) sont fermés depuis 1993.

Pour votre sécurité, il est formellement recommandé de se tenir à l’écart d’éventuels attroupements et manifestations de nature politique dans les grands centres urbains. Ceux-ci peuvent en effet être la cible d’attaques, comme cela a été le cas le 10 octobre 2015 aux abords de la gare d’Ankara.

Sur la « route des Balkans », la Turquie reste un pays de transit en matière de produits stupéfiants (cannabis, héroïne, cocaïne, amphétamines, etc.). Il est conseillé de n’accepter aucun colis sans en connaître le contenu et, a fortiori, de n’acheter aucun produit « douteux », les peines encourues pouvant être très lourdes. L’usage et la détention de produits stupéfiants sont punissables d’une peine d’emprisonnement d’un à deux ans. Le trafic est punissable de peines allant de six à douze ans. Il existe des circonstances aggravantes (cession aux mineurs, etc.).

L’exportation de biens culturels et d’antiquités est sévèrement réglementée et punie en cas de fraude en Turquie (peines de prison, fortes amendes). La notion d’antiquité est interprétée de façon très large par la loi turque. Pour plus de détails, reportez-vous à la rubrique « Infos utiles/Législation locale ».

Une vigilance accrue est recommandée comme dans tous les endroits touristiques, notamment à Istanbul, où il convient de veiller à ses documents personnels. A Istanbul, la nuit, la prudence est de rigueur, car certains taxis peuvent ne pas disposer de la licence officielle donnant le droit de véhiculer des clients.

La prudence est recommandée en cas d’abord par des inconnus : les intéressés peuvent avoir des intentions malhonnêtes, et proposer des boissons ou des aliments pouvant contenir des tranquillisants.

En cas de perte de carte bancaire, faire immédiatement opposition.

Plusieurs accidents mortels causés par des chutes de montgolfières conduisent à rappeler qu’il convient de vérifier que les mesures de sécurité adéquates ont été prises par l’organisateur, notamment en Cappadoce.

La majeure partie du territoire turc se trouve dans une zone de forte activité sismique. Les tremblements de terre y sont fréquents. 

Dans tous les cas, il convient de garder son calme, de suivre les instructions données et d’attendre les secours, si nécessaire. Il est rappelé que tout séisme important peut être suivi de plusieurs secousses secondaires.

Logement

– Campings
De nombreux terrains de camping aménagés par les municipalités sont disponibles à la sortie des grandes villes. Toutefois elles offrent souvent peu de confort, les sites sont pour la plupart peu ombragés et de qualités médiocres par rapport aux standards européens, y louer une tente peu facilement chiffrer (environ 7-9 €), un petit supplément pour l’électricité peut être demandé. Les particuliers proposent facilement un emplacement dans leur jardin.
A évitez absolument : le camping sauvage.

– Pensions ou petits hôtels
Si vous chercher le meilleur rapport qualité-prix alié à l’opportunité de prendre contact avec les Turcs les pensions et petits hotels sont fait pour vous.  

On y loge correctement à partir de 70-80 TL (25-28,50 €) pour deux (compter plutôt 40-50 €, à Istanbul, sur la côte méditerranéenne et de la mer Égée) dans des chambres équipées le plus souvent de salles de bains privées et de télévision, parfois un climatiseur est également à disposition. En principe, le petit déjeuner est inclus dans le tarif. Des suppléments pour l’utilisation du chauffage ou du climatiseur pourront vous etre demandés.

Recommandations :
Pensez à vérifiez la propreté des draps et la fermeté du matelas avant d’accepter une chambre, cette pratique est courante l’hôtelier ne vous en tiendra pas rigueur ;
Pensez à prendre vos boules Quies : les rues sont bruyantes, et l’appel du muezzin de la mosquée voisine vers 5h du matin peu être perturbant.
Ne laissez jamais votre passeport ou votre carte d’identité à la réception.

– Hôtels
On trouve de nombreux hôtels confortables sur la côte égéenne, la côte méditerranéenne, en Cappadoce et à Istanbul. Comme pour les pensions, le petit déjeuner est généralement compris dans le prix.

Prix moyens d’une chambre double :
Bon marché : moins de 70 TL (environ 25 €).
Prix moyens : 70 à 110 TL (environ 25 à 39 €).
Chic : de 110 à 150 TL (environ 39 à 54 €).

Restauration :

Prix moyen d’un repas complet sans boisson :
Bon marché : moins de 15 TL (environ 5,50 €).
Prix moyens : de 15 à 30 TL (environ 5,50 à 9 €).
Chic : au-delà de 30 TL (environ 11 €).

Des restrictions à la circulation sont possibles dans les districts frontaliers avec la Syrie et l’Irak ainsi que dans le département d’Aǧrı, où l’accès aux monts Ararat et Tendürek est soumis à l’autorisation préalable des autorités turques.

La frontière avec l’Arménie est fermée. Les deux postes frontières d’Aryaka (province de Kars) et d’Alican (commune d’Egdir) sont fermés depuis 1993.

Réseau routier assez bon. Un large réseau de bus relie quasiment tout le pays. Réseau ferroviaire économique. Réseau aérien assez développé, plus des bateaux ou ferries le long des côtes.

Infrastructures routières : Il est absolument déconseillé de conduire en ville : le trafic est très dense et la conduite extrêmement périlleuse. Il vaut mieux prendre un taxi, y compris pour certaines courtes excursions. Dans ce cas, les taxis collectifs représentent un bon compromis.

Réseau ferroviaire : La compagnie nationale ferroviaire relie entre elles les principales villes de Turquie. Les bus, qui couvrent tout le territoire ou presque, sont meilleur marché et confortables. Les trains ont du mal à soutenir la comparaison. Mais il peut être agréable, et astucieux, de passer la nuit dans un wagon en « voguant » tranquillement vers Izmir, Istanbul ou Ankara.

Le système scolaire turque est scindé en deux parties distinctes dites « enseignement formel » et « enseignement informel ».

L’enseignement formel regroupe la maternelle, le primaire, le secondaire I (= collège) , le secondaire II (= lycée)  et l’université.

L’éducation députe en principe en maternelle, mais puisqu’elle est optionnelle et payante de surcroit de nombreux sont les parents issus de milieu défavorisés choisissent de ne pas scolariser leurs enfants. Seuls 12% des enfants âgés entre 3 et 4 ans suivent le préscolaire.

Le primaire est contrairement à la maternelle gratuite et obligatoire pour tous pendant 12 ans. Elle est répartie en 3 cycles de 4 ans :
– 1er cycle : degrés primaire (entre 5 et 9 ans)
– 2eme cycle : secondaire I (entre 9 et 13 ans)
– 3eme cycle : secondaire II (entre 13 et 17 ans)

Le secondaire II (= lycée) est séparé en 3 domaines : formation générale, formation professionnelle et formation technique. Une année supplémentaire est souvent proposée aux élèves dans le cadre d’apprentissage de langues étrangères.

L’enseignement informel quant a lui, a été mis en place pour apporter une éducation aux personnes n’ayant pas pu bénéficier de l’éducation formelle.

En cours de saisie