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Unité monétaire : Euro (EUR)
Code de la monnaie : EUR
Taux de change au 15/02/2016 : 1,00 EUR = 1,11967 USD – 1,00 USD = 0,893124 EUR
Depuis le 1er janvier 1999, la monnaie légale est l’euro. Il existe deux banques locales : la Banque des Iles et le Crédit Saint-Pierrais, toutes deux affiliées à la Caisse d’Épargne qui est également présente sur le territoire. La Poste propose également des services financiers.
Téléphone : Pour joindre le territoire, composer le 05 08 + les 6 chiffres du numéro de votre correspondant.
Électricité : 220 volts ; prises françaises. Il existe parfois des prises canadiennes en 110 volts, mais cela reste rare. L’électricité est fabriqué par une usine alimentée au fuel.
Monnaie et banques : Depuis le 1er janvier 1999, la monnaie légale est l’euro. Il existe deux banques locales : la Banque des Iles et le Crédit Saint-Pierrais, toutes deux affiliées à la Caisse d’Epargne qui est également présente sur le territoire. La Poste propose également des services financiers.
La gastronomie de Saint-Pierre-et-Miquelon est très marquée par les produits frais de la mer tels que le homard, le crabe des neiges, le cabillaud et les moules. A Saint-Pierre-et-Miquelon, de nombreux plats sont préparés à base de morue, comme la soupe de raquette, les boulettes de morue ou encore la morue farcie.
L’île a gardé ses particularités. En plein centre-ville, à proximité du fronton de pelote basque datant de 1906, les noms aux consonances basques sont nombreux et les expressions locales ont une certaine originalité. On ne demande pas «ça va ?», mais «ça vit ?», à quoi on répond «ça pète !» Les gens venus de métropole sont appelés «mayous» et «mayouses», dérivation du nom donné aux pêcheurs venus de Cancale (Ille-et-Vilaine) qui jadis faisaient sécher la morue sur l’île aux Marins, abandonnée depuis longtemps. Enrique Perez, au volant de sa vieille voiture de fonction, continue sa visite sur le peu de routes de Saint-Pierre. Rares sont les arbres qui poussent sur ce rocher érodé par les glaciers, où la chasse au lièvre arctique et la pêche à la truite sauvage sont les passe-temps habituels du dimanche.L’île a gardé ses particularités. En plein centre-ville, à proximité du fronton de pelote basque datant de 1906, les noms aux consonances basques sont nombreux et les expressions locales ont une certaine originalité. On ne demande pas «ça va ?», mais «ça vit ?», à quoi on répond «ça pète !» Les gens venus de métropole sont appelés «mayous» et «mayouses», dérivation du nom donné aux pêcheurs venus de Cancale (Ille-et-Vilaine) qui jadis faisaient sécher la morue sur l’île aux Marins, abandonnée depuis longtemps. Enrique Perez, au volant de sa vieille voiture de fonction, continue sa visite sur le peu de routes de Saint-Pierre. Rares sont les arbres qui poussent sur ce rocher érodé par les glaciers, où la chasse au lièvre arctique et la pêche à la truite sauvage sont les passe-temps habituels du dimanche.
Il existe à Saint-Pierre un centre hospitalier employant environ 380 personnes dont une vingtaine de personnels médicaux. Plusieurs spécialistes y viennent en mission au cours de l’année. La Caisse de prévoyance locale a contribué à la mise sur pied, en 2007, d’un centre de santé distinct de l’hôpital. À Miquelon, se trouve un poste médical doté d’un médecin. Une des caractéristiques du système de santé dans l’archipel est son coût élevé, partiellement compensé par le budget national. Ce coût provient notamment des évacuations sanitaires pour les malades réclamant des soins ne pouvant être prodigués sur place. Au nombre de 1 254 en 2006, elles ont eu lieu à 82 % vers le Canada (principalement Saint-Jean de Terre-Neuve) et à 18 % vers la métropole.
Aucun problème de sécurité sur l’archipel !
Dans la nomenclature des Départements et Territoires d’Outre-Mer français, l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon a des caractéristiques paradoxales. Il est le plus proche de la métropole, à moins de 4 000 kilomètres, mais c’est aussi l’un de ceux dont l’accès est le plus onéreux puisqu’un aller-retour Paris/Saint-Pierre peut coûter jusqu’à environ 1 500 € en haute saison. Au départ de Paris, c’est donc à peine moins cher de se rendre à Saint-Pierre qu’à Papeete. En outre, il n’y a pas de continuité territoriale avec la métropole dans la mesure où il faut obligatoirement passer par le Canada, pays qui ne reconnaît pas la notion de transit. A côté de cette marginalité spatiale, on peut également parler de marginalité institutionnelle. L’archipel bénéficie en effet d’un régime particulier au sein de la République française. C’est une collectivité territoriale au statut proche de celui d’un département, mais dont le Conseil général dispose des autonomies fiscale et douanière, ainsi que de compétences étendues dans le domaine de la coopération régionale. Le coût de la vie sur place est assez élevé et correspond aux tranches de prix des département d’outre-mer (soit 40% plus chère qu’en métropole).
Saint-Pierre dispose d’un aéroport d’où sont assurées des liaisons régulières avec plusieurs aéroports canadiens et avec le petit aérodrome de Miquelon. Une liaison maritime de fret relie le port de Saint-Pierre au port de Halifax en Nouvelle-Écosse. Il n’existe pas de liaison régulière, ni maritime, ni aérienne, entre l’archipel et la métropole.
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Les établissements scolaires de Saint-Pierre-et-Miquelon font partie de l’académie de Caen27 qui est représentée par le Service de l’Éducation nationale28 de Saint-Pierre-et-Miquelon. Les établissements publics se composent de quatre écoles primaires, d’un collège avec une annexe à Miquelon, d’un lycée d’État et d’un lycée professionnel à Saint-Pierre. La première classe de seconde fut ouverte en octobre 1963. L’enseignement privé, sous contrat d’association avec l’État compte quatre écoles primaires et un collège avec une section technique. En 2006, 1 330 élèves étaient scolarisés. Après le baccalauréat, les élèves peuvent continuer leurs études à l’extérieur en bénéficiant d’une bourse payée par le budget de l’archipel qui couvre aussi leurs frais de transport aux départ et retour ainsi qu’un voyage annuel au moment des grandes vacances. La plupart des étudiants choisissent la métropole pour poursuivre leurs études.