Durée de vol : des principales capitales européennes, de celles du Proche Orient, desservies par l’ensemble des grandes compagnies. Un service en correspondance directe avec les mouvements des avions assure la navette entre l’aéroport et le centre-ville de la ville située à – en cours de saisie.
Visa – Les étrangers qui se rendent en Martinique doivent être en possession d’un passeport canadien encore valide pendant au moins trois mois après la date prévue de leur départ du pays. Les visiteurs doivent se procurer un visa si la durée de leur séjour dépasse trois mois. Tous les voyageurs doivent également posséder un billet pour un vol de correspondance ou un billet aller-retour.
Visa de touriste : non exigé Visa d’affaires : exigé Visa d’étudiant : exigé
Vaccination : pas de vaccins obligatoires pour aller en Martinique. Prenez néanmoins vos précautions pour éviter les coups de soleil et les troubles intestinaux.
Conduite et Permis de conduire : à droite – Il est conseillé d’avoir un permis de conduire international (PCI).
Limitations en douanes – Les autorités douanières françaises peuvent imposer des règlements sévères en ce qui concerne l’importation temporaire d’armes à feu, de médicaments et d’animaux dans les Antilles françaises ou leur exportation.
Unité monétaire : Euro (EUR) – Code de la monnaie : EUR Taux de change au 16/02/2016 : 1 EUR = 1,11618 USD ; 1 USD = 0,895910 EUR
Banques – Toutes les grandes banques sont représentées dans l’île.
Les cartes de paiement sont acceptées dans la plupart des commerces, sauf dans certains petits restos, hôtels et magasins. Mais attention, elles ne sont pratiquement jamais acceptées dans les gîtes et les chambres d’hôtes. Il est préférable d’avoir des espèces.
– Distributeurs automatiques : ils sont très nombreux et il n’y a pas de commission de retrait. On en trouve facilement dans les principales localités. Prendre ses précautions en début de week-end, car les distributeurs se vident à vitesse grand V.
– Quelques établissements acceptent les chèques-vacances, les chèques-déjeuner et les tickets-restaurant. Une bonne occasion de les « écouler » les pieds dans l’eau.
Petit lexique des 1ers mots usuels du pays : – Mésyé zé dam bonjou ! : Bonjour messieurs dames ! ;
– Bonjou : Bonjour ;
– Bonswa : Bonsoir ;
– Ba mwen… : Donne-moi… ;
– Doudou : Chéri ;
– Sa ou fé ? : Comment ça va ? ;
– Sa ka maché : Ça va. ;
– Si ou plé : Je vous en prie ;
– Ka ki là ? : Qui est là ? ;
– Ka sa yé ? : Qu’est-ce que c’est ? ;
– Resté la, an ka vin ! : Reste là, j’arrive ! ;
– Tanzantan : Parfois, de temps en temps.
Conduite et Permis de conduire : à droite – Il est conseillé d’avoir un permis de conduire international (PCI). Sigle International : F
Horaires d’ouverture / de travail : 9H-12H 14H-18H
Le soleil se lève dès 5h et il fait nuit vers 18h. Il est donc préférable d’adapter son rythme à celui des Antilles, en se couchant tôt et en se levant à l’aube, afin de tirer le meilleur parti de vos vacances en Martinique. Cela vous permettra également de profiter au maximum de la précieuse fraîcheur des premières heures du jour, la chaleur se faisant sentir dès le milieu de la matinée.
Téléphone – Indicatif : 596
Pour joindre le département, composer le 05. 96 + les 6 chiffres du numéro de votre correspondant.
Médias
La presse écrite en Martinique compte un quotidien (France-Antilles), plusieurs hebdomadaires ou mensuels régionaux complétés par la diffusion des journaux édités en métropole. Le service public de télévision est assuré par Réseau France Outre-mer (RFO) sur deux canaux : Télé Martinique et Tempo. RFO retransmet des programmes de France Télévision, TF1, d’Arte et la Cinquième et produit des programmes régionaux. Les programmes radio de RFO sont constitués d’émissions produites localement et d’émissions reprises de Radio France. Les auditeurs ont aussi le choix entre de nombreuses radios locales privées. Deux chaînes de télévision privées, Antilles-Télévision (A-T-V) et Canal-Antilles (programmes de Canal +), auxquels s’ajoute un réseau de télévision cablée (Martinique TV-Câble) et un bouquet de chaînes françaises par satellite, Canal Satellite Antilles, disponible depuis août 1998, complétent le paysage audiovisuel de l’île. Il existe de nombreuses radios locales, associatives ou commerciales, sur la bande FM.
La Martinique, c’est le plaisir des yeux mais c’est aussi le plaisir du ventre ! La nourriture est succulente. Parfois, cerise sur le gâteau, les plats créoles sont servis dans des décors paradisiaques, les pieds dans l’eau. Sans oublier le ti-punch et le planteur qui vous accompagneront pendant votre voyage.
Des accras comme mise en bouche À la morue ou à la crevette, ces petits beignets épicés juste comme il faut se mangent à l’apéritif ou en entrée. Ils sont avec le boudin créole un des mets de la gastronomie antillaise les plus plus connus. Mes préférés ? Ceux de Chez La Martine, dans le village de Sainte-Anne. Ils sont délicieux et l’ambiance parfaite pour un apéro après la plage.
Un ti-punch pour l’apéro À la Martinique, il n’y a pas d’heure pour boire un ti-punch. D’ailleurs, certains prennent leur premier rhum très tôt le matin. Cette première boisson porte même un nom « le décollage ». Je vous conseille d’attendre un peu avant de savourer votre premier verre d’alcool. Pourquoi ne pas patienter jusqu’à l’apéro ? À midi ou le soir. Où le boire ? Dans un endroit où les bouteilles de rhum sont laissés sur la table, comme Chez Geneviève au marché aux épices de Fort-De-France.
Découvrez les plats créoles Poulet colombo, court-bouillon de morue, blaff de poissons rôtis, les plats créoles sont nombreux et variés. Vous avez le temps de votre voyage pour tous les tester. Ils sont moins épicés que sur l’île de la Reunion mais tout aussi savoureux. Comment choisir votre restaurant ? En vous fiant à votre instinct et en choisissant un établissement fréquenté par des locaux comme le Paradis Créole situé sur la commune de Sainte-Anne.
Savourer un poisson grillé fraichement pêché Il est bon partout ! Du marlin ou du thon, grillé ou pané. Sur la plage, repérez le fief des pêcheurs et déguster un poisson dans les restaurants aux alentours. Il est bon marché et frais. Pourquoi ne pas aussi le cuisiner vous même ? Il est vendu tous les matins sur les étals des marché. Une bonne adresse : celle de Chez les Pêcheurs au Carbet.
La Martinique est un paradis que l’on soit amateur de farniente et d’activités sportives. Entre une mer chaude propice à la baignade, à la plongée et aux sports nautiques, et une variétés de paysages incitant à la randonnée, au VTT et au canyoning, vous n’aurez que l’embarras du choix.
La Martinique bénéficie d’une activité culturelle dynamique : cinémas, représentations théâtrales, artistes en tournées, expositions, festivals de musique, manifestations culturelles nationales… sans oublier le Carnaval pour les fêtes du Mardi-Gras. A noter le Festival de Fort-de-France, organisé au mois de juillet par le SERMAC, les festivals internationaux de jazz et de guitare classique organisés au mois de décembre par le CMAC-scène nationale. Le patrimoine historique est bien mis en valeur. Il en est ainsi du site exceptionnel de la ville de Saint-Pierre, entièrement détruite en 1902 par l’éruption de la Montagne Pelée et dont les vestiges ont fait l’objet d’un ambitieux programme financé par l’Etat et les collectivités locales. L’île compte de nombreux musées : musée archéologique de Fort-de-France, musée de la Pagerie où sont exposés les souvenirs de Joséphine de Beauharnais, Musée industriel de la canne à sucre, centre d’art Paul Gauguin, Musée d’histoire et d’ethnographie de Fort-de-France, Centre culturel de Fonds Saint-Jacques à Sainte-Marie, Ecomusée de Rivière Pilote…
Il est possible d’obtenir des soins médicaux un peu partout dans les Antilles françaises. La Martinique offre les meilleurs soins médicaux de toutes les Antilles orientales. Ce ne sont pas tous les médecins qui parlent ou comprennent l’anglais. Il arrive souvent que les médecins et hôpitaux demandent à être payés à l’avance. Détail. Infrastructures sanitaires complètes : un centre hospitalier régional et universitaire à Fort-de-France doté d’un plateau technique moderne, 13 hôpitaux généraux, 3 maternités publiques et 2 maternités privées. Il existe en outre un centre hospitalier spécialisée en rééducation fonctionnelle. Les principaux cantons sont dotés d’un dispensaire. De plus, la région compte 3 cliniques privées (soins) et une clinique de repos et de convalescence. La formation de sages-femmes, d’infirmiers, d’auxiliaires de puériculture est assurée par des écoles professionnelles publiques.
Vols et agressions : pas de problème particulier en Martinique, mais quelques réflexes de prudence s’imposent comme partout. Ne laissez rien dans votre voiture. De même, nous vous déconseillons de vous retrouver seul la nuit dans des coins trop isolés ou dans certains quartiers de Fort-de-France. Évitez aussi de partir seul sur les sentiers de randonnée. Photo : évitez de prendre les habitants en photo ou de les filmer sans leur avoir préalablement demandé leur autorisation. C’est vraiment la base de toute relation. Les doudous, les vieux qui jouent aux dominos, les enfants des écoles et les Martiniquais en général sont peut-être patients, gentils, mais ils n’aiment pas du tout ça. Le bruit : les nuits tropicales sont sonores. Un véritable carnaval des animaux : grenouilles, crapauds (encore plus fort), avec solos de vaches et même de chiens. Quant au coq antillais (ou « réveil à plumes »), il doit être insomniaque ou déréglé, car il chante même avant le lever du jour, provoquant la frénésie de ses congénères. De jour, l’homme prend le relais : radios à tue-tête, moteurs pétaradants, klaxons en liberté, tout devient une obsédante cacophonie. Solutions pour la nuit : soyez indifférent ou, si vous êtes trop sensible, mettez des bouchons d’oreilles. Le soleil (ainsi qu’une bonne sieste) vous retapera. Les scolopendres : appelées plus communément les mille-pattes. Ces petits carnassiers, fréquents aux Antilles, sortent souvent les jours de pluie. Leur morsure venimeuse – mais pas mortelle – est très douloureuse. Si la bête est petite (5 cm), des corticoïdes en comprimés suffiront. Si c’est une grosse, appeler le toubib, car il y a une possibilité de choc allergique.
En tout cas, penser à vérifier lit, draps et taies d’oreiller avant de dormir. On le redit, ça fait mal et la morsure nécessite parfois une courte hospitalisation. Les mancenilliers : attention à ces arbres à l’aspect trompeur, qui ressemblent un peu aux pommiers et peuvent vous conduire tout droit à l’hôpital si vous vous abritez dessous ou les touchez quand il pleut. Pas de psychose non plus, ils sont facilement repérables par la peinture rouge qui est tracée dessus pour les repérer. Randonnées par temps pluvieux : du fait de pluies violentes, ponctuelles et locales, le moindre petit cours d’eau peut s’enfler en quelques secondes, quand bien même le soleil brille au-dessus de votre tête ! Donc prudence : si les eaux sont boueuses, mieux vaut rebrousser chemin. Baignades : l’absence de poste de secours et de maîtres-nageurs sur les plages les plus fréquentées, même si la plupart offrent des conditions de baignade plutôt sans danger, mérite d’être considérée avec sérieux par les maires qui sont responsables des plages.
En attendant, soyez très prudent et renseignez-vous quand vous avez un doute ou quand la plage est peu fréquentée.
Fourchette de 10 à 18 euros pour un repas dans un restaurant. Le prix d’une chambre varie entre 50 minimum et entre 100 et 190 euros pour une chambre tout confort. Dans la plupart des hôtels la basse saison dure du 14 avril au 14 décembre et la haute saison du 15 décembre au 14 avril. Quelques hôtels pratiquent des prix intermédiaires au printemps et à l’automne. Quand un seul tarif est indiqué, il s’agit de prix hors saison. Une réduction de 15 à 30% peut être alors appliquée en basse saison. Attention, en pleine saison, les possibilités de choix sont limitées.On peut aussi choisir l’une des options suivantes : bungalow (comptez de 225 et 300 euros la semaine), locations meublées (à partir de 225 euros la semaine) ou gîte (150 euros la semaine pour deux personnes en haute saison).
Location de voitures : c’est franchement la meilleure solution. Attention, en haute saison, il est recommandé de réserver longtemps à l’avance. Il n’est pas exagéré de signaler l’extrême prudence et le sens de l’anticipation dont il faut faire preuve lorsqu’on est au volant (la nuit, vélos très mal signalés, vitesse…) Location de motos : très peu développée. On ne vous conseille pas cette formule à moins que vous ne soyez un as du deux-roues. - Taxis collectifs « T.C. » : le seul véritable transport en commun de l’île. Ils passent dans tous les villages. Pas d’horaires, les T.C. partent quand ils sont pleins. Les taxis collectifs s’arrêtent vers 18 h au départ de Fort-de-France, souvent un peu plus tôt dans les autres communes. Enfin, ils fonctionnent peu, sinon pas du tout le week-end (inutile d’attendre un hypothétique taxi après 14 h le samedi). Pas d’arrêts matérialisés, excepté quelques abris ici et là. À Fort-de-France, très nombreux départs dans toutes les directions. Bateaux-navettes : plusieurs compagnies relient la baie de Fort-de-France aux communes du sud : les Trois-Îlets (bourg, Pointe-du-Bout, Anse Mitan, Anse à l’Âne), Les Anses-d’Arlet et Sainte-Anne. Auto-stop : corollaire obligé du taxi collectif. En attendant celui-ci, nombre de Martiniquais pointent l’index. Après 18 h, c’est ça ou rentrer à pied. Bus : un réseau de bus desservant les banlieues nord et sud de Fort-de-France. La voiture reste le meilleur moyen pour se déplacer dans l’île. L’ensemble du réseau routier est bien entretenu et la plupart des loueurs possèdent un bureau à l’aéroport et à Fort-de-France.
Les transports en commun sont essentiellement assurés par des mini-bus portant l’indication « TC » (Taxi collectif). Fréquents les jours de la semaine, ils se font plus rares le dimanche. Quant aux taxis, ils sont désormais équipés pour la plupart de compteur. De l’aéroport international à Fort-de-France, comptez environ 15 euros et dix minutes de trajet. Aucune ligne de bus ne dessert directement l’aéroport.
Fort-de-France est par ailleurs reliée aux principales stations balnéaires du sud de l’île par un service régulier de vedettes, alternative agréable aux bus bondés et à l’intense circulation automobile qui sévit dès 6h30 à Fort-de-France.
La Martinique compte un grand nombre d’établissements scolaires du Premier au Second Degré, publics ou privés, ainsi qu’une Université. Le programme enseigné est identique à celui des autres départements français, et le niveau à peu près comparable, selon l’établissement choisi. (Le taux de réussite au baccalauréat s’établit ainsi par exemple à 77,6 %, à deux points de la moyenne nationale.)