Avant le départ
Vérifiez bien auprès de votre compagnie aérienne le poids de bagages autorisé. Les contrôles sont désormais très stricts, notamment au niveau du bagage cabine.
Vérifiez bien auprès de votre compagnie aérienne le poids de bagages autorisé. Les contrôles sont désormais très stricts, notamment au niveau du bagage cabine.
Entrée/Sejour : Une carte nationale d’identité ou un passeport en cours de validité suffit pour aller en Guadeloupe.
Visa: Les étrangers qui se rendent à la Guadeloupe doivent être munis d’un passeport encore valide pendant au moins trois mois après la date prévue de leur départ du pays. Les visiteurs doivent se procurer un visa si la durée de leur séjour dépasse trois mois.
Visa de touriste : non exigé (pour un séjour de moins de trois mois)
Visa d’affaires : exigé
Visa d’étudiant : exigé
Tous les étrangers doivent également posséder un billet pour un vol de correspondance ou un billet aller-retour.
Vaccination : Les étrangers doivent être munis d’une preuve de vaccination contre la fièvre jaune s’ils arrivent d’un pays où cette maladie est endémique.
Douane / Limitation en douane : Depuis le 06 novembre 2006, seuls sont admis en cabine les liquides ou gels conditionnés dans les contenants de moins de 100 ml, disposés dans un sac plastique transparent fermé (20cmx20cm).
Les aliments pour nourrissons et les médicaments accompagnés de leur ordonnance sont acceptés à bord.
Les liquides achetés en duty free sont autorisés en cabine.
Les fruits et légumes sont acceptés, excepté la noix de coco.
L’importation des végétaux et produits végétaux est réglementée (cf. arrêté préfectoral du 16/04/1996). Pour plus d’informations, contactez le Service de la Protection des Végétaux au 0590 820 323.
Unité monétaire : Euro (EUR) – Code de la monnaie : EUR
Taux de change au 10/03/2016 : 1,00 EUR = 1,09655 USD – 1,00 USD = 0,911949 EUR
Les coupures existent en billets de 5, 10, 20, 50, 100, 200 et 500 euros. Les pièces en circulation ont une valeur faciale de 1 cent (ou centime soit un centième d’euro), 2 cents, 5 cents, 10 cents, 20 cents, 50 cents, 1 euro et 2 euros.
Pourboire : Les taxes sont comprises dans les prix, mais un pourboire est toujours bienvenue.
Petit lexique des 1ers mots usuels du pays :
– Mésyé zé dam bonjou ! : Bonjour messieurs dames ! ;
– Bonjou : Bonjour ;
– Bonswa : Bonsoir ;
– Ba mwen… : Donne-moi… ;
– Doudou : Chéri ;
– Sa ou fé ? : Comment ça va ? ;
– Sa ka maché : Ça va. ;
– Si ou plé : Je vous en prie ;
– Ka ki là ? : Qui est là ? ;
– Ka sa yé ? : Qu’est-ce que c’est ? ;
– Resté la, an ka vin ! : Reste là, j’arrive ! ;
– Tanzantan : Parfois, de temps en temps
Téléphone :
Indicatif : 590
Médias : La presse écrite en Guadeloupe compte un quotidien régional (France Antilles) et plusieurs périodiques dont plusieurs organes de groupes et formations politiques. On trouve aussi les journaux et les magazines édités en métropole. Le service public de radio-télévision est assuré sur deux canaux par RFO (Réseau France outre-mer) qui retransmet des programmes de France Télévision, d’Arte et de France 5 et produit des programmes régionaux (résumé du journal quotidien en créole). Plusieurs chaînes de télévisions privées existent sur l’île, notamment « La Une Guadeloupe », « Canal 10 », « Eclair Télévision ».
Depuis fin 1998, la télévision par satellite ainsi que le câble sont accessibles, assurant ainsi une offre de programmes comparable à celle de la métropole. Les radios locales privées sont très nombreuses et témoignent d’une grande vitalité.
Essentiellement des produits de la mer, cuisinés à la mode française, créole, africaine ou de l’Asie du sud-est. Les plats comprennent le homard, la tortue, le lutjanidé rouge, le conque et l’oursin de mer. Parmi les spécialités de l’île, on peut citer le crabe farci, le conque à l’étouffée, la chèvre sauvage rôtie, le civet de lapin et le pigeon grillé. L’arôme épicé de la cuisine créole est unique. Les restaurants les plus élégants exigent une tenue adéquate. Les boissons comprennent un grand éventail de vins de France, des champagnes, des liqueurs et le rhum local. Il faut absolument goûter à la spécialité du pays, le Punch au rhum (un cocktail de rhum, de lime, de bitter et de jus de fruit). Il n’y a aucune restriction à la vente de boissons alcoolisées.
L’environnement de la Guadeloupe offre une très grande diversité de sites remarquables que ce soit sur le plan terrestre ou maritime. Certains bénéficient d’une protection exceptionnelle comme le volcan de la Soufrière et la partie haute de la Basse-Terre, partie intégrante du parc naturel de la Guadeloupe (soit 17.400 ha plus 16.200 ha en zone périphérique) ou bien encore le Grand-Cul-de-Sac-Marin (3.706 ha) au débouché nord de la rivière Salée, géré en tant que réserve naturelle par le parc national.
Les milieux naturels de Guadeloupe souffrent cependant des prélèvements (chasse et pêche en particulier), du recul de la forêt, de l’urbanisation, d’une périurbanisation accélérée ces dernières décennies, ainsi que du fait du développement des cultures, en particulier, celles, intensives, (de banane et canne à sucre surtout) qui ont atteint leur apogée dans les années 1955-75 après avoir longtemps coexisté avec des modes plus extensifs (exploitation en colonat, parcs pour l’élevage), tous ces modes d’exploitation ayant restreint l’importance de la forêt tropicale et l’ayant même fait disparaître à faibles altitudes. Les cultures de la banane et de la canne à sucre ont marqué les paysages non montagneux et sont sources de pollutions sensibles.
Bel-air, biguine, calenda, mazurka, valse… Pour en arriver au zouk et plus particulièrement au collé-serré. Les Antillais sont des danseurs exceptionnels, et il sera plus facile aux femmes d’être initiées… Tous les week-ends et pendant les vacances scolaires, discothèques.
Rien à signaler. Des services médicaux de bonne qualité sont disponibles. Ce ne sont pas tous des médecins qui parlent ou comprennent l’anglais. Les patients sont souvent tenus de payer à l’avance. Le Centre hospitalier universitaire à Abymes est équipé de chambres de décompression.
L’équipement hospitalier (tant public que privé) est important en Guadeloupe. Le secteur public offre un centre hospitalier régional et universitaire à Pointe-à-Pitre, 6 centres hospitaliers dont un centre hospitalier psychiatrique, 2 hôpitaux locaux, un foyer départemental de long séjour et un centre hospitalier de rééducation fonctionnelle. Chaque commune est dotée d’un dispensaire. Le secteur privé dénombre, quant à lui, 16 cliniques. La situation sanitaire est bonne et on ne relève aucune maladie tropicale notoire. Aucune vaccination spécifique n’est exigée.
En ce qui concerne la sécurité, c’est comme en métropole, il y a des quartiers sensibles et d’autres moins. En général, les gens ne sont pas méchants, il y a quelques personnes saoûles, qui peuvent venir vous parler et ne plus vous lâcher, mais ce ne sont vraiment pas des personnes gênantes. Sinon, il faut fermer sa voiture à clé et éviter de laisser des objets de valeur en évidence. Autrement dit faire attention…
Le coût de la vie en Guadeloupe est assez élevé, en raison de l’importation de la plupart des produits de consommation courante. Comptez environ 120 € par jour et par personne si vous logez en gîtes, vous déplacez en voiture de location, et mangez dans les restaurants petits ou moyen budget.
Manger
Budget économique : < 20 €
Budget moyen : 20-35 €
Budget supérieur : > 35 €
Dormir
Budget économique : < 80 €
Budget moyen : 80-200 €
Budget supérieur : > 200 €
Les routes de la Guadeloupe sont parmi les meilleures des Antilles. L’île possède des autoroutes à six voies. Les routes sont asphaltées et entretenues, et la police veille au respect de la sécurité routière. Le port de la ceinture de sécurité est obligatoire. Les enfants de moins de 12 ans ne sont pas autorisés par la loi de s’asseoir sur le siège avant.
Des services d’autobus sont offerts dans la plupart des grandes villes. Le transport par autobus n’est pas coûteux, mais les autobus ne circulent que durant certaines heures et selon des horaires peu fiables. Des services de traversiers desservent les îles associées. Les taxis sont sécuritaires mais dispendieux. Les tarifs sont réglementés par le gouvernement, mais ceux-ci augmentent de 40 p.100 entre 21 h et 7 h. Il est possible de louer des véhicules, mais les frais peuvent être légèrement plus élevés que ceux des îles voisines. Il est conseillé d’avoir un permis de conduire international (PCI).
Transport terrestre :
Transport maritime :
En 2004, 10 329 élèves et 32 établissements scolaires sont classés en zones d’éducation prioritaires (ZEP), 12 190 élèves et 70 établissements sont en réseau d’éducation prioritaire (REP) et 2080 élèves et 5 établissements sont à la fois en REP et en ZEP. Les zones d’éducation prioritaires sont situées dans les zones urbaines ou périurbaines qui connaissent des difficultés liées à leur environnement culturel, social et économique. Saint-Martin constitue une ZEP d’un type très particulier à dimension linguistique forte : les natifs de l’île sont de langue anglaise, de nombreux immigrants définitifs ou temporaires sont hispanophones ou créolophones, des enfants de saisonniers venus de métropole viennent s’ajouter en cours d’année.
Toutes les écoles et tous les établissements en ZEP peuvent se constituer en Réseau d’Education Prioritaire (REP). Ce réseau est ouvert également à d’autres établissements qui voudront mutualiser leurs ressources pédagogiques et éducatives pour mieux faire face à certaines difficultés.
L’enseignement en Guadeloupe est le même qu’en métropole et suit un calendrier identique. En 2005, L’Académie de Guadeloupe comptait 117 686 élèves, toutes classes confondues, encadrés par 7 565 enseignants dans 443 établissements : 134 écoles maternelles, 219 écoles élémentaires, 52 collèges et 43 lycées (3 lycées techniques, 13 lycées généraux et techniques, 16 lycées professionnels et 6 lycées polyvalents) ainsi que 5 168 étudiants (3 508 en 1er cycle, 1 047 en 2ème cycle et 613 en 3ème cycle).
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