Avant le départ
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Visas
Visa de touriste : non exigé pour les séjours de 90 jours ou moins*
Visa d’affaires : non exigé pour les séjours de 90 jours ou moins*
Visa de travail : exigé
Visa d’étudiant : exigé
* La période de 90 jours commence au moment où vous entrez dans un pays de l’espace Schengen.
Vaccination :
Assurez-vous que votre vaccination est à jour, peu importe votre destination de voyage.
Vaccins conseillés :
Vous pourriez être à risque de contracter ces maladies évitables par la vaccination lors de votre voyage dans ce pays. Adressez-vous à votre professionnel de santé-voyage pour savoir si ces vaccins vous conviennent.
Conduite et Permis de conduire :
Conduite à droite. Ceinture de sécurité obligatoire.
Il est conseillé d’avoir un permis de conduire international (PCI).
Sigle International : P
Limitation des douanes : Tout citoyen de la communauté européenne, peut acquérir, (avec TVA réglée à l’achat), des marchandises pour son usage personnel, sans avoir à remplir une quelconque condition, ni une quelconque formalité aux frontière communautaire.
Néanmoins, les marchandises spéciales, telles (armes, munitions, espèces animales ou végétales protégées, tabac, boissons alcoolisées), font l’objet de mesures spécifiques.
Monnaie : La monnaie en circulation depuis le 1er janvier 2002 est l’euro (Escudo).
Les coupures existent en billets de 5, 10, 20, 50, 100, 200 et 500 euros. Les pièces en circulation ont une valeur faciale de 1 cent (ou centime soit un centième d’euro), 2 cents, 5 cents, 10 cents, 20 cents, 50 cents, 1 euro et 2 euros.
Unité monétaire : Euro – Code de la monnaie : EUR
Taux de change au 22/02/2016 : 1 EUR = 1,10281 USD ; 1 USD = 0,906776 EUR
Conseils relatif a l’argent : Les paiements par carte bancaire sont acceptées dans la plupart des établissements (Visa et MasterCard). Aucun frais de paiement pour les ressortissants de la zone euro.
On trouve des distributeurs de billets dans la plupart des villes et villages d’une certaine importance et leur nombre est en augmentation : on en compte près de 400 dans l’archipel. Pensez toutefois à vous munir de liquide dans les endroits isolés.
Pourboire : Le service est toujours inclus dans l’addition. Les pourboires ne sont pas obligatoires, mais il est d’usage de laisser de la monnaie.
Lexique des mots usuels du pays :
– Oui = Sim
– Non = Não
– Merci = Obrigado (m), Obrigada (f)
– Bonjour = Olá,
– Bonjour = Bom dia
– Au revoir, Adieu = Adeus, Tchau
– Je ne comprends pas = Eu não entendo.
– Quel est le prix? Combien ça coute? = Quanto custa isto?
– Je voudrais acheter … = Eu gostaria de comprar …
– Acceptez-vous les cartes de credit? = Você aceita cartões de crédito?
– Où est …? = Onde é …?
– Le metro = Metrô
– Un aéroport = Aeroporto
– La gare = Estação ferroviária
– La Poste = Correio
– La banque = Banco
– Le poste de police, la gendarmerie = posto de police
– La pharmacie = Farmácia
– Avez-vous des chambres disponibles pour ce soir ? = Há vagas para hoje à noite ?
– Un billet pour …, s’il vous plaît. = Uma passagem para …, por favor.
Horaires d’ouverture / de travail :
Les banques ouvrent du lundi au vendredi de 9h00 à 15h00.
Les administrations publiques sont ouvertes du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h.
Les commerces fonctionnent du lundi au vendredi de 9h à 13h et de 15h à 19h, le samedi de 9h à 13h.
Les grandes surfaces ouvertes le dimanche, le sont de 8h à 13h00.
Téléphone :
Indicatif : 351
Pour contacter un correspondant à l’étranger vous devrez composer :
– le préfixe international
– l’indicatif
– le numéro d’appel de votre correspondant (sans le 0 au début).
Internet :
Le suffixe internet des sites enregistrés au Portugal est: .pt
Médias
Principaux journaux nationaux : 31 quotidiens le plus prestigieux est le Diario de Noticias mais l’hebdomadaire Expresso a un tirage plus important.
Chaînes de télévision publiques et privées : 1 chaîne publique, plusieurs chaînes privées
Stations de radio publiques et indépendantes : 1 station publique et plusieurs stations privées, nationales et régionales.
Les chaines nationales télévisés et radios :
ARD( Assoc. Of Publ. Broadcasting Of Germany)
ARD/MDR (Dresden)
ARD/Nord deutscher Rundfunk
ARD/Radio Bremen
ARD/Degeto Film GBMH Frankfurt
Arte Deutschland TV GMBH
DCTP-Development Company For Television Program Satellite Allemand
Discovery Channel Germany Hertzienne, Satellite Allemand
N° d’urgence :
En cas d’urgence composer le 112
Police : 110
Sapeurs-pompiers : 112
Bien sûr, comme sur le continent, on mange aussi aux Açores de la bacalhau (qui est en fait importée) ou des sardines grillées. Mais il n’est pas sûr que les premiers habitants des îles aient véritablement amené avec eux des recettes toutes faites ; ils se débrouillèrent plutôt avec les moyens du bord, avant que la découverte de la route des Indes n’apporte ses épices exotiques (piment, cannelle, etc.). La cuisine açorienne affirmera alors une identité propre, voisine du continent, certes, mais unique tout de même. Chose curieuse, il ne semble pas que les nombreux immigrés venus au fil des siècles aient laissé des traces influentes dans la gastronomie locale, même si certains plats, de Santa Maria par exemple, évoquent la cuisine arabe (en raison des rapports » étroits « , si on peut le dire ainsi, que l’île entretint avec les pirates algériens).
Le pain est l’aliment basique de l’alimentation insulaire. Il était d’abord confectionné avec du maïs, quand celui-ci était abondamment cultivé (le déjeuner du travailleur était alors constitué d’un pain au maïs avec du lait), puis avec du blé.
L’açorda est l’un des plats typiques, une soupe faite d’eau, de sel, de graisse de porc et de poisson ou d’ail ou de pain au maïs et même de pomme (maçã calhau).
Le porc est très consommé sur l’archipel. La mise à mort du cochon (matança do porco) est un événement important pendant les fêtes du Saint-Esprit ou juste avant Noël. On en retire différents morceaux qui composent une table différente : sarapatel (plat à base de sang et de foie de porc frits, mélangés avec des fruits secs), linguiça (saucisse sèche), torresmo (morceau de lard frit), salsicha (saucisse), presunto (jambon), paio (saucisson), etc. Le type de cuisson témoigne bien d’une différence culinaire avec le continent : là-bas, on préfère ce qui est assado (rôti), tandis qu’ici, sur les îles, on goûte plutôt le guisado (ragoût).
Les nombreuses vaches des Açores fournissent quantité de fromage au lait de vache. Mais on trouve aussi du fromage au lait de chèvre et de brebis ainsi que bon nombre de petits fromages secs. Vous vous régalerez si vous visitez une des nombreuses fabriques de fromages qui, en général, proposent une dégustation.
En ce qui concerne les friandises (doces), l’influence du continent est évidente, tout comme le travail des nonnes dans les couvents entre les heures de dévotion religieuse : c’est de là que proviennent la plupart des sucreries qui nous taquinent tant le palais aujourd’hui. Par exemple, les fameuses queijadas de Vila Franca sont originaires du couvent de Santo André.
Pendant les fêtes, on peut goûter aussi à d’autres plats spécifiques, comme la soupe du Saint-Esprit, distribuée à qui veut pendant les festivités du même nom, ou les folares (gâteaux décorés d’un oeuf dur) à Pâques, une liqueur à base de lait (licor de leite ou mijinha do Menino comme le dit la tradition) le jour de Noël, ou encore les filhoses de forno ou filhoses de panela pendant le carnaval, beignets moelleux fourrés à la crème ou alors plus compacts, saupoudrés de sucre.
Les fruits sont très nombreux. Le plus emblématique est l’ananas, qu’on cultive essentiellement sous serre. Les Açores sont l’unique endroit au monde où ce fruit est cultivé en masse sous serre, parce qu’il ne faisait pas assez chaud en extérieur à la saison hivernale. Les ananas açories sont petits et sucrés. Les bananes sont également cultivées, mais elles sont aussi contraintes par les limites du climat. Elles sont d’apparence plus petite que les bananes africaines, mais leur saveur est plus douce.
On cultive également les agrumes : oranges, mandarines, clémentines, citrons. Beaucoup de fruits tropicaux sont cultivés sur les îles : avocats, mangues, papayes, anones, fruits de la passion, etc.
Tous ces fruits sont en général consommés en hiver ou au printemps, d’octobre à juin.
Fruits de mer : langoustes, cigales de mer sont servies toute l’année malgré une législation explicite qui n’autorise leur commercialisation qu’en dehors des périodes de reproduction.
Avant de les plonger dans le court-bouillon, assurez-vous qu’il ne s’agit pas d’une femelle pleine d’oeufs. En été, la vente de lapas (berniques) et de cracas (balanes) est également interdite, mais on en trouve un peu partout, et quelquefois même au menu, comme dans ce petit restaurant de Horta qui servait des sapal, recourant ainsi à une sorte de » verlan » à deux pas du secrétariat à l’Environnement ! Même si l’on est de passage, mieux vaut s’abstenir de participer au braconnage de la côte açorienne.
Dans l’esprit commun, les îles de l’archipel sont recouvertes de forêts tropicales et de plages de cocotier. Or il s’agit d’îles volcaniques, dont les rares plages sont de sable noir. La végétation y est certes dense, mais les paysages verdoyants, que l’on peut y découvrir, font davantage penser aux plaines irlandaises qu’aux Caraïbes. Cette verdure offre par ailleurs un contraste saisissant avec la roche basaltique (de couleur noir) des volcans qui recouvrent certaines îles de l’archipel.
Comme tous les milieux insulaires, les Açores sont touchées par des phénomènes d’invasions biologiques à la suite de l’introduction d’espèces allochtones, notamment tropicales dans les jardins exotiques. Leur positionnement entre deux continents rendent ces îles intéressantes du point de vue des phénomènes d’insularisation écologique (naturels ou exacerbés par les infrastructures créées par l’homme) et pour leurs relations avec les biomes européens, africains et américains ; mais leur étude est compliquée par le nombre des espèces introduites (volontairement ou accidentellement) par l’homme, et leurs effets sur les écosystèmes locaux, pouvant aller jusqu’à l’extinction d’espèces. Certaines espèces ont fait l’objet d’études détaillées qui pourront permettre de mieux mesurer l’impact des activités humaines sur la biodiversité insulaire. C’est le cas par exemple des araignées.
Quelques données pour avoir une idée de la situation sanitaire dans l’archipel, et convaincre les plus réticents qu’on ne part pas en Amazonie, même si des efforts peuvent encore être menés. Chaque île possède un centre médical qualifié pour soigner les blessures bénignes ou les maladies sans gravité. Pour des interventions plus complexes, les patients sont transférés à São Miguel ou à Terceira, dans des hôpitaux plus équipés. Le taux de mortalité est en baisse constante depuis 2002 : en 2011, il s’élevait à 9,1 ‰ (moyenne nationale du Portugal : 10,86 %).
Le système de santé açorien est d’aussi bonne qualité qu’au Portugal continental ou en France. N’oubliez pas que vous êtes dans l’Union européenne, même si vous êtes au milieu de l’océan Atlantique ! Avec une carte Vitale européenne, vous pourrez ainsi vous faire rembourser vos soins au même taux qu’en France. Au niveau des hôpitaux, sachez cependant que le mieux équipé de l’archipel reste celui de Ponta Delgada, à São Miguel.
Le taux de criminalité est faible dans les Açores, et les délits mineurs, y compris le vol à la tire, sont relativement peu fréquents. À certains endroits, les rues sont mal éclairées et désertes la nuit. Faites preuve de vigilance et évitez de vous promener seul après la tombée de la nuit.
Bien que les plages soient généralement considérées comme sûres, il convient de ne jamais y laisser ses objets personnels sans surveillance.
Pendant les mois d’été, des noyades surviennent à la plage et dans des piscines. Prenez au sérieux les drapeaux d’avertissement sur les plages. La police maritime a le pouvoir d’imposer des amendes aux baigneurs qui ne respectent pas les drapeaux d’avertissement des maîtres-nageurs. Ne vous baignez pas dans les eaux connectées à des rivières, car les courants pourraient y être très forts. Ne plongez pas dans des eaux inconnues, car les rochers dissimulés ou les eaux peu profondes peuvent provoquer de graves blessures ou la mort.
En automne et en hiver, faites preuve de prudence lorsque vous marchez sur les plages, car les vagues peuvent être de taille très imprévisible et se briser plus loin que prévu sur la rive en provoquant de forts contre-courants. Ne vous rendez pas sur les plages ou dans les zones côtières si des avertissements de temps violent sont en vigueur. Faites preuve de prudence et suivez les conseils des autorités locales.
Prêtez attention aux avertissements d’érosion des falaises. Les éboulements constituent un danger, et les autorités peuvent imposer une amende aux personnes qui ne tiennent pas compte des panneaux d’avertissement.
Dans les zones de récifs, si vous marchez sur des coraux, des méduses et d’autres espèces marines, ou si vous les touchez, vous vous exposez à des empoisonnements, des piqûres ou des infections. Renseignez-vous auprès des autorités locales sur la présence de ces espèces et sur les risques que vous courez.Sur les routes rurales, faites preuve de prudence en raison des courbes et des virages à visibilité restreinte ainsi que des voies d’accès peu visibles. Les taxis sont munis de taximètres, mais ceux-ci ne sont pas toujours visibles. Demandez un reçu.
Petit budget : De 35 € à 60 € la chambre double ou quelques euros à peine pour camper. Autre bonne option à petits prix : les auberges de jeunesse, entre 10 € et 15 € la nuit en dortoir. Entre 5 € et 10 € pour un repas.
Budget intermédiaire : De 60 € à 100 € la chambre double. De 10 € à 25 € par repas (avec boissons).
Gros budget : Au-delà de 100 € la chambre double. Entre 25 € et 35 € par repas (boissons et vins compris).
Bateau :
Sur l’archipel, les liaisons en bateau sont assurées par les compagnies Transmaçor et Atlanticoline. La première opère toute l’année, mais uniquement entre les îles du triangle (Faial, Pico et São Jorge), tandis que la seconde, qui assure toute l’année la liaison Flores-Corvo, ne couvre le reste des îles que de mai à septembre. Si vous avez le temps et que vous ne souffrez pas du mal de mer, le bateau peut se présenter comme une bonne option : en plus d’être moins cher, il vous permettra sûrement, lors de longs trajets, d’admirer quelques spécimens de cétacés ; le simple trajet prend alors une toute autre dimension !
Bus :
D’une manière générale aux Açores, le bus n’est pas vraiment adapté aux besoins du voyageur, qui risque d’être surpris par les horaires ou les itinéraires, plutôt prévus pour les insulaires. Toutes les îles disposent malgré tout d’un réseau de bus plus ou moins efficace ; São Miguel et à Terceira étant les mieux développés à ce niveau-là.
Train :
Hormis le petit train touristique de São Miguel, qui reste anecdotique, il n’existe pas de train aux Açores ! Les petits Açoriens ont l’immense privilège de connaître toutes les lignes de chemin de fer du Portugal par coeur (système d’éducation centralisé oblige), alors qu’ils n’ont jamais vu le moindre train de leur vie.
Voiture :
La voiture particulière est de loin la meilleure option pour sillonner les Açores en toute liberté. A part à Corvo, des compagnies de locations sont implantées sur toutes les îles, dans les aéroports et dans les » grandes » villes. La réservation est vraiment recommandée pendant l’été : les parcs sont vite saturés, et vous pourriez bien vous retrouver à un aéroport avec plus aucune voiture à louer pour les deux jours qui suivent !
Les petits loueurs de voitures sont moins chers que des grandes enseignes recommandables comme Autatlantis ou Ilha Verde (présentes sur tout l’archipel, excepté Corvo, donc), mais sachez qu’ils n’ont en général pas d’assurances tout risque à vous proposer (car ils n’ont pas souscrit à ce type de contrats), qu’ils ne prennent pas non plus l’American Express (la Gold vous libère de toute franchise en cas d’accident), et que leurs véhicules peuvent parfois être un peu vieillots.
Au niveau de la conduite, vous roulerez à droite, normalement mais avec une certaine prudence : on dit que les Portugais qui ne réussissent pas leur permis viennent aux Açores… Pas de problème majeur cependant, hormis les excès de vitesse de certains autochtones, et les vaches en liberté, qui pourront s’avérer dangereuses pour le conducteur déconcentré. Les routes principales sont en bon état même si elles tournicotent et limitent souvent la rapidité – ne prévoyez donc pas vos circuits trop justes en temps. Les routes secondaires quant à elles ne sont pas toujours asphaltées, mais demeurent généralement carrossables avec une voiture classique.
Les limitations de vitesse varient selon les îles, et les routes sont rarement embouteillées. Les seuls problèmes de ce type se produisent à Ponta Delgada ou dans la rue centrale d’Angra, ce qui n’empêche pas tous les Açoriens de déplorer les difficultés de la circulation… La prudence est donc de rigueur même sur les » autoroutes » qui relient Ponta Delgada à Ribeira Grande ou Angra à Praia sur Terceira : une vache ou une charrette pouvant surgir à n’importe quel moment.
Quant aux stations-service, elles sont disséminées çà et là, mais de toute façon il n’est pas possible d’aller bien loin. Sachez cependant que dans de nombreuses pompes à essence, ni la carte Visa, ni la MasterCard, et encore moins l’American Express ne sont acceptées. Prévoyez donc toujours de vous rendre à la pompe avec de l’argent liquide, surtout si vous êtes pris par le temps. Autre possibilité : rendre le véhicule au loueur sans avoir fait le plein au préalable… Sachez que, dans ce cas, vous serez taxé et que la facture d’essence sera bien plus élevée ! Pour préserver votre porte-monnaie, mieux vaut donc être prévoyant.
Taxi :
Jadis noirs au toit vert, aujourd’hui beiges, les taxis açoriens sont en fait des » voitures de place « . C’est-à-dire qu’ils n’ont pas de compteur, mais fonctionnent au temps ou à la distance, et dans ce cas le trajet de retour est toujours inclus dans le tarif : pour 10 km, on en paie 20 !
Lorsque la course est assez longue, on peut négocier avec le chauffeur pour qu’il attende ses passagers et les ramène au point de départ ; le seul supplément sera celui de l’attente. Il fera évidemment la tête s’il lui faut attendre la journée, ou si la course est très courte.
Ils connaissent bien leur île et vous font partager leur passion insulaire. Il est toujours prudent de demander le prix de la course avant de s’embarquer, surtout à Faial et à São Miguel où les chauffeurs commencent à se « continentaliser « . Cela dit, de nombreux taxis se sont regroupés en associations et proposent des tours avec des tarifs fixes (mentionnés dans le guide). Le repas de midi est normalement payé par le client.
Deux-roues :
Peu de pistes cyclables sur les îles. Cependant, hormis dans les grandes villes comme Angra do Heroísmo ou Ponta Delgada où le trafic peut être dense, vous pouvez rouler en toute tranquillité sur la plupart des routes açoriennes qui sont souvent vides. L’avantage c’est que, si vous croisez un troupeau de vaches, vous pourrez facilement vous faufiler et ne serez pas obligé d’attendre, comme en voiture ! Selon les îles, les loueurs de scooters et vélos sont plus ou moins nombreux. Sachez enfin que pour des raisons évidentes de météo et routes vallonnées, circuler à vélo peut être assez difficile et pas toujours pratique. Avis aux courageux et aux sportifs !
Auto-stop :
Plutôt efficace, l’auto-stop génère des rencontres étonnantes. Il n’est pas rare d’être emmené par un habitant si fier de son île qu’il vous fera visiter tout ce qui mérite d’être vu, c’est-à-dire tout. C’est un bon moyen pour rencontrer la population locale, surtout si vous parlez portugais, mais il est toujours possible de croiser quelqu’un ayant appris le français, même au milieu de nulle part (expérience vécue !). Cependant, comme partout, il existe un risque de faire des rencontres désagréables, soyez parcimonieux.
Au Portugal, donc dans les Açores, la scolarité est obligatoire et gratuite entre 6 et 15 ans. il n’y a aucune séparation tranchée entre enseignement primaire et enseignement secondaire inférieur 2.
L’enseignement de base est organisé en trois cycles successifs :
– le 1er cycle dure quatre ans (pour les élèves de 6 à 10 ans);
– le 2e cycle dure deux ans (pour les élèves de 10 à 12 ans);
– le 3e cycle dure trois ans (pour les élèves de 12 à 15 ans).
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