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Visa
Les voyageurs qui souhaitent se rendre au Tadjikistan doivent impérativement être détenteurs d’un visa tadjik.
La République du Tadjikistan délivre quatre types de visas d’entrée sur son territoire :
– de service
– d’études
– d’affaires
– de tourisme.
Les voyageurs désireux de se rendre au Tadjikistan par voie routière doivent obligatoirement détenir un visa délivré par l’une des ambassades du Tadjikistan installée en Europe (Bruxelles, Berlin et Londres) ou dans les pays traversés (Turquie, Iran, Emirats arabes unis, Russie, Ouzbékistan, Kazakhstan, République kirghize, Pakistan et Afghanistan). Les voyageurs se rendant au Tadjikistan par voie aérienne peuvent se procurer à leur arrivée à Douchanbé un visa touristique à entrée unique pour une durée maximale de 45 jours auprès du Bureau consulaire de l’aéroport. Il est important de prévoir deux photographies d’identité. Les voyageurs souhaitant visiter le Pamir doivent obligatoirement solliciter lors de la demande de visa l’autorisation de se rendre en Gbao (région autonome du Haut-Badakhshan), qui fera l’objet d’une mention particulière tamponnée sur le passeport.
Il est également possible d’obtenir un visa court séjour d’une entrée directement à l’aéroport de Douchanbé lors de l’arrivée mais celui-ci ne permettra pas de se rendre dans le Haut Badakhchan, cette autorisation ne pouvant être obtenue qu’auprès d’une ambassade du Tadjikistan. Toute entrée sur le territoire du Tadjikistan autre que par l’aéroport de Douchanbé nécessite également la délivrance d’un visa par une ambassade du Tadjikistan.
Les visas Schengen sont délivrés par l’Ambassade d’Allemagne : 59,1, rue Somoni 734064 Douchanbé. Tél : +992-43 3773013.
Vaccination –
Aucun vaccin n’est obligatoire mais les vaccins suivants peuvent être recommandés :
Diphtérie-tétanos-polio
Typhoïde
Hépatite A
Hépatite B
Méningite
Procédure d’enregistrement des personnes et des véhicules
La règle générale demeure que tout citoyen étranger doit se présenter dans les 72 heures suivant son arrivée dans l’un des bureaux d’enregistrement (OVIR). Toutefois, cette règle a été assouplie par un oukase présidentiel du 29 avril 2009 qui exempte d’enregistrement pendant 29 jours les voyageurs détenteur d’un visa touristique, qui devront donc se faire enregistrer au trentième jour de présence au Tadjikistan puis, pour ceux qui possèdent un visa touristique de 90 jours, au soixantième jour de séjour. L’enregistrement dans les 72 heures ne reste donc obligatoire que pour les détenteurs de visas autres que de tourisme. De plus, les voyageurs munis d’un visa de tourisme se rendant au Tadjikistan par la route à bord de leur véhicule (automobile ou moto), même s’ils sont dispensés d’enregistrement des personnes à l’OVIR pendant 29 jours, doivent enregistrer ce véhicule dans les 72 heures suivant leur arrivée auprès du service des douanes. En effet, l’assouplissement du régime de contrôle des personnes, qui relève du service des migrations du ministère de l’Intérieur, n’implique pas de changement du contrôle des trafics illicites de véhicules, confié aux douanes.
Procédure en cas d’infraction
Toute infraction au régime de l’enregistrement des étrangers sur le territoire du Tadjikistan pourra être sanctionnée lors des formalités de contrôle au départ du territoire aux postes frontaliers routiers et des aéroports (Douchanbé, Khodjent et Kulyab).
Pour les automobilistes et motocyclistes, la sanction prendra la forme de l’immobilisation du véhicule et de ses passagers jusqu’au paiement d’une amende. Pour les passagers à l’embarquement d’un vol retour, cette immobilisation peut se prolonger après le départ du vol, ce qui peut s’avérer particulièrement gênant du fait de la moindre fréquence des liaisons aériennes. La procédure prévoit de présenter le contrevenant au tribunal d’arrondissement, qui a un délai de 20 jours pour statuer sur la sanction. Celle-ci, conformément à l’article 499 du code des infractions administratives, peut aller du seul paiement d’une amende d’un montant compris entre 80 et 90 fois la somme des frais d’enregistrement (25 somoni), au paiement de l’amende assorti d’une expulsion du territoire avec interdiction de retour pendant 5 ans. Dans tous les cas, le contrevenant devra donc s’acquitter au minimum d’une amende comprise entre 320 et 360€, sans compter les frais additionnels découlant d’un maintien prolongé sur le territoire.
Unité monétaire : Somoni (TJS)
Taux de change : 1,00 EUR = 8,28692 TJS ; 1,00 TJS = 0,120672 EUR
Tous les paiements se font en liquide. Officiellement, ils doivent être effectués exclusivement en monnaie nationale (le somoni). L’usage des cartes de crédit n’est pas répandu. Le dollar américain et l’euro sont à peu près les seules monnaies acceptées dans les bureaux de change.
Conduite : Si vous entrez dans le territoire avec votre véhicule personnel, n’oubliez pas de le faire enregistrer par le service des douanes dans les 72 heures qui suivent.
Sigle International : Code ISO 3166-1 : TJK, TJ
Téléphone – Indicatif : +992
Électricité : Le courant électrique au Tadjikistan est de 220 volts. Prévoyez un adaptateur car les prises ne sont pas toutes identiques à celles de la France.
Internet : Le suffixe internet .tj
Nos d’Urgence : Police : 02 ; Pompiers : 01 ; SAMU : 03
Médias :
Principaux journaux nationaux : Jumhuriyat, Asia Plus
Ne manquez pas les nahud sambusa (samosas au poid chiches) ou le nahud shavla (bouillie au poid chiches). Les Tadjiks consomment de nombreuses soupes au poids et au lait, ainsi que l’ochi siyo halav, un bouillon aux herbes. Le tuhum barak est un plat de savoureux raviolis farcis à l’oeuf et nappés d’huile de sésame. Le chakka est du lait caillé agrémenté d’herbes, qui se marie à merveille avec le pain plat. Le kutbol, délicieux plat campagnard composé de plusieurs couches de fatir (pain), de yaourt, d’oignons, de persil et de coriandre, nappées d’une sauce crémeuse, est en principe servis dans un bol en bois.
Dans le Badakhchan, vous pourrez essayer le borj, une bouillie épaisse de viande et de céréales. Dans les yourtes tadjikes, thé, yaourt, barsook (bouchées de pâte frites) et kaimak (crème) sont servis en abondance. Avec un peu de chance, vous goûterez du beshbarmak (nouilles et mouton) ou de l’oromo, pâte à la vapeur roulée à la viande et au beurre.
Le shir chai est un bouillon salé de thé au lait de chèvre et au beurre, à mi-chemin entre le thé au lait et le thé tibétain au beurre, et apprécié au petit-déjeuner dans le Pamir ; le matin vous verrez aussi du gâteau de riz (shir brench).
Ce n’est qu’au siècle dernier que le terme « tadjik » commença à désigner une nationalité distincte. Avant cela, le terme « taj » signifiait uniquement une personne parlant le persan. Malgré la prédominance de leurs racines persanes, il y eut tant de mariages mixtes parmi les Tadjiks qu’il est souvent difficile de les distinguer de leurs voisins d’origine turque et mongole.
La très grande majorité de la population est musulmane. Il convient de respecter les habitudes locales, notamment en ce qui concerne les égards dus aux femmes et d’adopter en toute circonstance une tenue décente.
La nudité est à proscrire. Il est déconseillé de porter le short et plus encore de se déplacer torse nu. Il est également recommandé, dans les zones rurales, de ne pas se baigner en maillot à proximité des lieux d’habitation.
Ne pas se déplacer avec de fortes sommes, ou, en cas d’extrême nécessité, ne pas le faire de manière ostensible, notamment lorsqu’on change de l’argent.
Ne pas se hasarder seul le soir dans des zones inconnues, désertes ou excentrées.
Ne pas chercher à se soustraire aux nombreux barrages et contrôles de la police, des services de sécurité ou de l’armée sur les routes comme en ville.
Hors des grandes agglomérations, éviter de circuler en voiture la nuit tombée. Les routes sont peu et mal éclairées et des animaux errants y circulent.
Des champs de mines subsistent, notamment dans certaines zones frontalières, à l’ouest et au sud du pays, ainsi que dans la vallée de Garm. Il convient de se renseigner régulièrement auprès de l’ambassade de France à Douchanbé et, sur le terrain, auprès de l’une ou l’autre des ONG ou organisations internationales présentes (OSCE, PAM, etc.).
Ne pas distribuer ni offrir d’objets aux enfants
• Frais d’hospitalisation et dépenses de santé
Afin de faire face aux frais d’hospitalisation et aux dépenses de santé parfois très élevées à l’étranger, il est recommandé de disposer d’un contrat d’assistance ou d’une assurance permettant de couvrir tous les frais médicaux et de rapatriement sanitaire. Ces frais ne pourront en aucun cas être pris en charge par l’Ambassade.
Les systèmes de stérilisation étant souvent insuffisants, il est déconseillé de s’adresser individuellement à un hôpital, à un médecin ou à un dentiste sans s’être préalablement renseigné auprès de l’ambassade. Il est en outre conseillé de se munir d’un matériel médical de première urgence (y compris aiguilles stériles à usage unique), notamment en cas de voyage à l’intérieur du pays.
En cas d’accident grave et si une opération chirurgicale devait être envisagée, l’évacuation médicale vers un pays tiers est recommandée. En effet, à l’heure actuelle, aucun hôpital ne dispose des équipements médicaux nécessaires à une intervention chirurgicale lourde (IRM, scanner…). En cas de problèmes de santé, il est conseillé de s’adresser à la clinique Prospect . Les problèmes dentaires peuvent être traités à la clinique Eurodent.
Consulter si besoin son médecin traitant pour faire une évaluation de son état de santé, et bénéficier de recommandations sanitaires notamment sur les vaccinations.
En cas de maladie chronique, il est conseillé de prévoir d’avoir avec soi les médicaments habituels en quantité suffisante et de prévoir en particulier tout ce qui est spray, collyre et traitement contre l’asthme. Il peut être utile de passer par un médecin pour contrôler les médicaments achetés sur place en pharmacie (risques de reconditionnement).
Constituer sa pharmacie personnelle en conséquence et n’emporter que les médicaments nécessaires.
• Vaccinations
Il est conseillé de mettre à jour les vaccinations habituelles : diphtérie-tétanos-poliomyélite en incluant Rubéole, Oreillons et la Rougeole. Dans tous les cas, prendre l’avis de son médecin traitant ou d’un centre de conseils aux voyageurs.
La vaccination préventive contre les hépatites A et B peut être conseillée, de même que la vaccination contre la fièvre typhoïde, ou le méningocoque, selon la durée et les conditions du séjour.
• Paludisme
Le paludisme sévit dans certaines régions, particulièrement de juin à octobre. Les régions concernées sont celles de Gorno-Badakhshan, Khatlon, Douchanbé et Khodjent. Le paludisme (ou malaria) est une maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques. Les mesures classiques de protection contre les moustiques sont fortement recommandées (cf. ci-après). Durant votre séjour, et pendant les deux mois qui suivent votre retour, en cas de fièvre, un avis médical doit être pris rapidement pour mettre en œuvre dès que possible un traitement antipaludique éventuel.
Mesures générales de prévention pour se protéger des moustiques :
• Fièvre Typhoïde
La fièvre typhoïde est une maladie bactérienne liée aux salmonelles. Les symptômes associent notamment une forte fièvre et des troubles digestifs et imposent une consultation médicale urgente car des complications graves sont possibles. Les précautions d’usage sont recommandées (cf. hygiène alimentaire).
• Infection par le virus VIH – MST
Concernant les maladies sexuellement transmissibles, il est recommandé de prendre toutes les précautions d’usage en la matière et d’éviter les comportements à risque.
• Se tenir à distance des cadavres d’animaux, des animaux et de leurs déjections
• Ne pas approcher les animaux errants et les chiens (risque de morsure et de rage). Ne pas caresser les animaux rencontrés.
• Veiller à votre sécurité routière (port de la ceinture de sécurité, port du casque en deux roues).
Se préserver des contaminations digestives ou de contact :
• Se laver les mains régulièrement avec des solutions de lavage hydro-alcooliques, surtout avant et après les repas ou le passage aux toilettes ;
• Veiller à la qualité des aliments et surtout à leur bonne cuisson ;
• Eviter la consommation de produits alimentaires (poisson, viande, volaille, lait) crus ou peu cuits ; Peler les fruits et légumes ou les laver soigneusement (à l’eau saine) ;
• Eviter les crudités, coquillages, plats réchauffés et buffets froids ;
• Ne boire que de l’eau ou des boissons encapsulées ou de l’eau rendue potable (filtration, ébullition ou à défaut produit désinfectant) ;
• Eviter les glaçons et glaces, ainsi que la consommation de jus de fruits frais, de légumes crus et de fruits non pelés. Ne consommer le lait que pasteurisé ou bouilli.
• Risque sismique
Le Tadjikistan est situé dans une région à forte activité sismique. L’intensité des secousses observées peut varier de 3 à 8 sur l’échelle de Richter.
• Risques naturels en haute montagne
Dans un grand nombre de districts de montagne, les risques d’avalanches, d’inondations et de glissements de terrain liés aux crues, sont importants, en particulier lors des pluies intenses du printemps et de la fonte des neiges. La plus grande vigilance s’impose car les routes peuvent être dangereuses.
• Risques liés aux mines
Des champs de mines subsistent dans certaines zones frontalières, à l’ouest et au sud du pays, ainsi que dans la vallée de Garm. Il convient de se renseigner régulièrement auprès des ONG ou organisations internationales présentes sur le terrain (OSCE, PAM, etc.). Une grande partie de la frontière avec l’Ouzbékistan reste minée. Il est conseillé de ne pas sortir des itinéraires routiers et d’éviter la marche à pied et la randonnée dans ces zones.
Zones déconseillées (en rouge)
• Zone frontalière avec l’Afghanistan : cette zone est déconseillée en raison des nombreux trafics (drogue, êtres humains) ou des incursions d’hommes armés en particulier dans la région frontalière sud-est de la province du Khatlon. Il est formellement déconseillé aux ressortissants français, même munis d’un visa afghan, de franchir ces points de passage et de se rendre en Afghanistan.
• Les autorités tadjikes peuvent édicter inopinément des restrictions au retour sur leur territoire depuis l’Afghanistan aux voyageurs même munis de tous les visas requis.
• Le tronçon routier Douchanbé – Khorog qui longe la frontière est praticable sous réserve de circuler avec prudence en raison du mauvais état de la route.
Zone en vigilance renforcée (en jaune)
• Les différentes provinces du pays (Sougd, Khatlon, Pamir), comme la capitale, ne présentent pas de risques particuliers. Il est possible d’y séjourner sans problèmes, en veillant toutefois à respecter certaines mesures élémentaires de sécurité. Le voyage doit être organisé avec des accompagnateurs ayant une réelle connaissance des régions visitées et de la situation politique locale.
• Région de Douchanbé : il convient de demeurer vigilant lors des sorties nocturnes, notamment dans les discothèques, restaurants, bars, en raison de la circulation de la drogue.
• Régions du Khatlon, Kourgan Teppa et Kouliab.
• Région de la vallée de Garm : risques d’inondations et de glissements de terrain.
• Zone frontalière avec l’Ouzbékistan : présence en certains endroits de mines.
Zone réglementées
L’accès à la province de Badakhchan est réglementé. Les voyageurs désireux de se rendre dans cette province autonome doivent être détenteurs de l’autorisation requise par les autorités tadjikes. Cette autorisation peut être obtenue dans les consulats ou ambassades du Tadjikistan et, sur place, à Douchanbé, auprès des services du ministère de l’Intérieur.
Recommandations générales
• Ne pas se déplacer avec de fortes sommes, ou, en cas d’extrême nécessité, ne pas le faire de manière ostensible, notamment lorsqu’on change de l’argent.
• Ne pas se promener seul le soir dans des zones inconnues, désertes ou excentrées.
• Ne pas chercher à se soustraire aux fréquents contrôles de la police, des services de sécurité ou de l’armée sur les routes, comme en ville.
• Hors des grandes agglomérations, éviter de circuler en voiture la nuit tombée. Les routes sont peu et mal éclairées et des animaux errants y circulent.
• Il est rappelé l’impérieuse nécessité de contracter avant le départ une assurance incluant le rapatriement, et d’en conserver le numéro sur soi.
• Il est vivement recommandé de se munir de photocopies des documents d’identité et des titres de voyage (ainsi que du visa, qui peut être obtenu soit de manière électronique, soit à l’arrivée à l’aéroport de Douchanbé), ou, mieux, de les scanner et de se les envoyer par mail, en pièce jointe, avant de partir. Il sera ainsi facile d’en récupérer une copie en cas de vol ou de perte.
• Les ressortissants français voyageant seuls ou en groupe sont invités à contacter téléphoniquement l’ambassade de France à Douchanbé dès leur arrivée sur le territoire.
• Enfin, il est recommandé aux touristes désireux de s’éloigner des centres urbains et principaux axes de communication de se munir d’un téléphone satellitaire.
Douchanbé compte quelques hôtels de catégorie moyenne corrects mais manque singulièrement de bons logements économiques. Au contraire, le Pamir, les monts Fan et la chaîne du Zeravchan disposent d’un bon réseau d’hébergement chez l’habitant. Ces gîtes n’ont toutefois rien de luxueux : les toilettes sont souvent à l’extérieur et les douches chaudes sont rares. Seulement certains sont signalés par une enseigne.
Les organismes touristiques comme PECTA, META, ZTDA et les offices de tourisme disposent de listes de gîtes agréés.
Dans les régions où un tel système n’existe pas, si vous êtes accueilli chez quelqu’un, il convient de laisser 10 à 15 $US/pers, dans une enveloppe, afin d’éviter un refus poli. Très peu d’hôtes parlent anglais mais la plupart comprennent le russe.
Comme souvent en Asie centrale, les prix sont souvent précisés en dollars, mais peuvent être réglés en somonis.
Avion
Les destinations de vols domestiques depuis Douchanbé se limitent à Khodjent et Khorog ; cette liaison est spectaculaire mais tristement célèbre pour ses retards ou annulations.
Bus, minibus et taxi collectif
Le réseau des bus/minibus n’est pas très étendu, mais la nouvelle compagnie de bus Asia Express a pour projet son expansion. Pour l’instant les taxis collectifs sont le seul moyen de transport public entre Douchanbé et Pendjikent ou Khodjent, tandis que des 4×4 desservent Khorog et Mourgab.
Pour se rendre au Pamir, les visiteurs ont l’habitude de former des groupes afin de partager les frais de location d’un 4×4 avec chauffeur ou d’un taxi/véhicule qui leur permet de faire de nombreuses haltes.
Il n’y a pas d’école française au Tadjikistan. Une école américaine de langue anglaise s’est créée en 2006, avec 18 enfants, dont quelques Français, inscrits pour l’année 2006-2007. Le coût de la scolarité est de 1 500 dollars par mois.
18,2 % des dépenses du gouvernement de la période 2000-2007 furent affectées à l’éducation. L’enseignement primaire est obligatoire. Néanmoins, un quart des filles ne termine pas sa scolarité primaire
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