Patrimoine mondial
Sites inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO: aucun bien inscrit
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Le Pic Victoria (Victoria Peak) : il est accessible en funiculaire et donne un point de vue impressionnant.
Le port de pêche d’Aberdeen abrite encore des maisons flottantes des pêcheurs de Hong Kong.
Au Sud de l’île, la plage de Repulse Bay.
A ne pas manquer : le marché central, le temple Man Mo et le jardin botanique.
A Kowloon : le quartier populaire de Tsim Sha Tsui abrite de nombreux hôtels et centres commerciaux.
Les quartiers de Yau Ma tei et Mong Kok plus au Nord sont intéressants pour les commerces traditionnels et les nombreux artisans.
Hong Kong n’est pas une ville aussi terrible qu’on l’entend dire. Elle est comme toutes les capitales économiques, très peuplée. Mais c’est une ville sure, les distractions sont multiples, certains achats sont a faire car les prix n’ont rien a voir avec ceux pratiques en Europe, si vous vous intéressez a l’électronique, a la micro informatique, a la photographie. Et si vous êtes randonneur, vous apprécierez les magnifiques sentiers de randonnée, car juste derrière les immeubles, il y a les montagnes et une nature exotique étonnante.
Le Pic Victoria (The Peak)
Du haut du Pic Victoria (The Peak), une vision hors du commun sur les gratte-ciel et le port, avec, en toile de fond, les collines verdoyantes des Nouveaux Territoires.
Magie, aventure et éclats de rire à Hong Kong Disneyland
Un voyage pour tous les âges au monde de la magie, de l’aventure et avec tous les personnages du monde de Disney.
Ocean Park Hong Kong
Parc à thèmes préféré des hongkongais avec ses attractions terrifiantes, ses pandas géants et un aquarium de renommée mondiale.
Ladies’ Market
Un bon exemple de l’animation bruyante des marchés de rue et de bonnes affaires à faire si vous cherchez des vêtements, des accessoires et des souvenirs.
Le marché nocturne de Temple Street
Des souvenirs, des repas légers, des chanteurs d’opéra et des diseuses de bonne aventure…Chaotique mais finalement bien ordonné.
Centre d’exposition et de congrès de Hong Kong (et place Golden Bauhinia Square)
Un des bâtiments les plus impressionnants de Hong Kong, offrant le cadre idéal pour une cérémonie historique.
La Tour de l’Horloge
Un monument datant de l’époque de l’industrialisation et rappelant l’époque coloniale à Hong Kong.
Le front de mer de Tsim Sha Tsui
Promenez-vous sur le front de mer et vous serez ébloui par tous les gratte-ciel qui se dressent comme nulle part au monde.
Lan Kwai Fong
Lieu emblématique de Hong Kong pour faire la fête
Temple de Sik Sik Yuen Wong Tai Sin
Un temple taoïste, bouddhiste et confucianiste édifié en l’honneur d’un moine légendaire
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Hong Kong, au cœur du commerce international depuis plus de 150 ans, offre une sélection de produits aussi diverse que variée, que votre mot d’ordre soit classique, technologie, objets quotidiens ou originalité. Vous pourrez y trouver tout ce que vous cherchez – ce qui pourrait bien vous mener à votre perte :
– Informatique, logiciels, gadgets autres produits geeks, restez constamment connectés !
– Beauté et mode : Des marques locales à la haute couture, vous trouverez forcément chaussure à votre pied à Hong Kong.
– Meubles et décoration
– Joaillerie et horlogerie : Hong Kong a une obsession pour les bijoux, qu’ils soient mystiques, porte-bonheur, ou de luxe.
– Optique : Trouvez la monture de designer qui vous va comme un gant, ou commandez vos nouvelles lentilles.
– Shopping ciblé : Des robes de mariées aux figurines à l’effigie de vos héros préférés en passant par une paire de baskets : à Hong Kong, vous trouverez tout ce dont vous avez toujours rêvé.
– Produits et habits traditionnels
C’est rapide, pas cher et sans chichis. Les restaurants de rue de Hong Kong servent depuis des décennies à leurs clients affamés des classiques populaires comme le ragoût de bœuf ou les toasts au lait concentré.
Mais ces kiosques appelés dai pai dong en cantonais, la langue parlée dans l’ancienne colonie britannique, ne sont plus très nombreux dans la mégapole de sept millions d’habitants, où ils avaient pourtant fleuri après la Seconde Guerre mondiale.
Dans ce havre du capitalisme financier célèbre pour ses immenses gratte-ciel climatisés, les dai pai dong sont l’occasion rare de manger en terrasse et rappellent aux nostalgiques un passé révolu.
Ces minuscules restaurants sont en fait des stands installés en pleine rue ou sur le trottoir. Les cuisiniers y officient aux yeux de tous. Jour et nuit, les clients mangent assis à des tables pliantes sur des tabourets en plastique.
«Je me sens bien dans les dai pai dong. Il n’y a pas de restrictions. Je peux parler de mon enfance en fumant», raconte Lau Yat-keung, 61 ans, assis sous un parasol recouvert d’une bâche dans le quartier populaire de Sham Shui Po.
«Je ne vois aucune raison d’aller dans les chaînes de restauration rapide. Les jeunes vous considèrent là-dedans comme démodé», dit-il.
Les kisoques qui résistent au temps proposent aux chalands les valeurs sûres de la cuisine cantonaise: soupes fumantes de nouilles, thé au lait bien corsé, pain perdu au beurre de cacahuète.
Des plats simples qui n’ont pas grand impact sur le portefeuille: une assiette de tripes ou d’oie rôtie coûte l’équivalent de 6$, un plat de nouilles à la viande et à l’œuf 3,40$…
Cependant, l’heure de gloire des dai pai dong est révolue.
Après la guerre, le nombre de restaurants de rue avait augmenté à mesure que s’installaient à Hong Kong des Chinois du continent. Mais le colonisateur britannique s’était rapidement inquiété des conditions d’hygiène et des nuisances sur la voie publique qu’ils pouvaient occasionner.
Les autorités britanniques ont cessé d’accorder de nouveaux permis dans les années 1970 après avoir déjà assorti de conditions nombreuses le transfert des permis existants. Les propriétaires de licence qui acceptaient de s’en séparer volontairement étaient rémunérés.
Résultat: seuls 24 dai pai dong sont encore en activité. Un déclin qui s’explique par «l’érosion naturelle», disent les autorités. Chong Yuk-sik, auteure d’un ouvrage sur l’histoire de ces kiosques, accuse au contraire le gouvernement de les laisser mourir.
Pressées d’agir pour préserver ces restaurants, les autorités ont mis les bouchées doubles dans le quartier d’affaires de Central: les réseaux d’alimentation en eau, en électricité et en gaz de ville ont été améliorés, les rues ont été goudronnées de frais, des fosses de déversement des eaux usées ont été creusées…
Malgré tout, l’avenir des dai pai dong semble incertain.
«Le futur n’invite pas à l’optimisme», dit Tsang Yau-lin, à Sham Shui Po, dont les photos de famille en noir et blanc témoignent de l’évolution d’une affaire familiale lancée par son père dans les années 1950.
«Dans les deux ou trois prochaines années, les immeubles du quartier vont être détruits et les dai pai dong vont se mettre en travers des projets de certains groupes immobiliers. Je pense qu’ils seront délocalisés», dit-elle.
L’ancienne colonie britannique compte des milliers de restaurants, des plus simples aux plus sophistiqués: 64 établissements sont étoilés au Michelin et les chefs parmi les plus grands du monde y exercent leur art.
Mais pour de nombreux Hongkongais, les stands de rue, leurs seaux de couteaux de mer vivants prêts à passer à la casserole et leurs néons fluorescents font partie d’un héritage qu’il faut préserver.
«Je crois que nous devrions chérir notre culture locale, faute de quoi, nous serons comme toutes les autres villes», dit l’auteure Chong Yuk-sik. «Comment faire pour que Hong Kong reste unique? Je crois que les dai pai dong sont l’une des réponses».
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