Atouts stratégiques
Aides et zones franches
Mesures législatives pour encourager les IDE
Les zones franches de Jebel Ali et celle de l’aéroport de Dubaï offrent les mêmes avantages fiscaux existants ailleurs, toutefois agrémentés de mesures très profitables comme:
- Pleine propriété et contrôle étranger.
- Garantie de non-imposition pour 15 ans renouvelables.
- Absence de droits douaniers.
- Options flexibles d’investissement
- Installations efficaces pour le transport et la distribution.
- Assistance totale en matière d’administration et de recrutement.
Dubai Airport Free Zone : La zone franche de l’aéroport a été fondée en 1996 comme l’élément essentiel du plan stratégique du gouvernement pour conduire l’investissement économique de Dubai. Cette zone est stratégiquement située à proximité de l’aéroport international de Dubaï, le plus fréquenté et le plus moderne du Moyen-Orient.
Elle permet également aux sociétés d’apprécier une évolution dynamique de leurs affaires et de s’approprier aussi bien les bénéfices en tant que société étrangère qu’une exonération d’impôt à 100 %.
Les clients bénéficient d’infrastructures modernes qui vont de pair avec d’excellents équipements logistiques et ensembles industriels légers de qualité, aussi bien pour le fret aérien que les services de courrier.
Les centres sophistiqués d’affaires, le système de livraison « juste à temps », l’accès unique et une intégration sans couture dans un noyau de transport efficace sont quelques-uns des équipements supplémentaires qu’offre la zone franche de l’aéroport de Dubaï.
Intérêts majeurs : Les entreprises étrangères qui viennent s’installer à Dubaï bénéficient de nombreux avantages financiers rarement offerts ailleurs dans le monde, jugez-en :
- Absence de taxes sur les sociétés.
- Absence d’impôts sur le revenu.
- Absence de contrôle des changes.
- Absence de barrières douanières.
- Droits douaniers d’importations compétitifs (fixés à 4% mais avec de multiples exemptions).
- Coût compétitif de la main-d’œuvre.
- Coût compétitif de l’énergie.
- Coût compétitif des propriétés foncières, en zone franche.
Flux & IDE en milliards $
- 2002: 0,09
- 2003: 4,25
- 2004: 10,00
- 2005: 10,89
- 2006: 12,80
- 2007: 14,18
- 2008: 13,72
- 2009: 4,00
- 2010: 5,50
- 2011: 7,67
- 2012: 9,60
- 2013: 10,48
Repères Économiques
Deuxième économie du Golfe derrière l’Arabie Saoudite, l’Etat des EAU, dont le PIB nominal est estimé à 339 Mds $ pour 2015, est dominée par l’Emirat d’Abou Dabi (un peu plus de 60% du PIB total). Celui-ci assure l’essentiel de la production d’hydrocarbures (plus de 90%) et gère la quasi-totalité de l’épargne accumulée dans les fonds souverains (près de 800 Mds $ sous gestion pour ADIA, 55 Mds$ pour Mubadala).
4ème producteur pétrolier de l’OPEP (2,8 millions de barils/jour), au 7ème rang pour les réserves mondiales (98 Mds de barils), 17ème producteur mondial de gaz (7ème rang pour les réserves), les EAU sont toutefois parvenus à réduire la dépendance de l’économie aux hydrocarbures grâce au développement d’une plate-forme de services dès le début des années 1980 (tourisme, activités portuaires et aéroportuaires, la réexportation de biens représentant 35% des exportations totales). Aujourd’hui, le secteur pétrolier ne représente qu’un peu plus de 30% du PIB.
Les Emirats comptent parmi les pays du Golfe les mieux armés pour absorber l’impact de la baisse du prix du baril. Le niveau avancé de diversification au regard des standards régionaux, les importantes réserves en devises, le niveau relativement moins important de subventionnement des services de base, le renforcement des deux places financières que sont Abou Dabi et Dubaï, l’aubaine que représente la baisse des cours pour des secteurs moteurs tels que le transport aérien (environ 15%% du PIB de la Fédération) ou l’industrie lourde sont autant de filets de sécurité qui devraient épargner aux EAU un choc conjoncturel majeur.
Les problèmes posés depuis la fin de l’année 2008 par la dette de « Dubai Inc. » peuvent aujourd’hui être considérés comme gérables. Le montant de la dette a pu être stabilisé en valeur nominale pour la première fois depuis la fin des années 2009. De plus la reprise du marché de l’immobilier a mécaniquement amélioré la situation financière d’une partie des entités constitutives de « Dubai Inc. ». La prudence s’impose toutefois, les agences de notation n’ont jamais été en mesure d’évaluer dans le détail la surface financière et, par voie de conséquence, la capacité d’emprunt de l’émirat de Dubaï, alors même qu’elles ont pu le faire sans problème majeur, que ce soit à Abou Dhabi, à Sharjah ou à Ras Al Khaïmah.
Principaux indicateurs économiques:
Données économiques
(Direction générale du Trésor/FMI. Les données 2015-2016 sont à ce stade prévisionnelles)
PIB nominal de la Fédération (2016) : 356 Mds$
PIB par habitant PPA (2016) : 36,126$/hab
Taux de croissance (2016) : 2,6%
Taux de chômage : 14%
Taux d’inflation (2016) : 3%
Dette publique (2016) : 18,3 % du PIB
Solde public (2016) : -4% du PIB
Exportations (2015) : 323,8 Mds$
Importations (2015) : 248,2 Mds$
Balance des paiements (2016) : 10,2 Mds$
Principaux clients (2014) : Japon 14,8%, Iran 11,4%, Inde 9,6%, Corée du Sud 5,7%, Chine 5,5%, Singapour 5,4%, Thaïlande 4,5%
Principaux fournisseurs (2014) : Chine 15,7%, Inde 13,4%, Etats-Unis 8,9%, Allemagne 5,3%
Production de pétrole brut (2016) : 2,92 mb/j (dont Abou Dabi, 90%)
Réserves de pétrole (2014) :8èmes réserves pétrolières dans le monde (5,8% des réserves mondiales) ;
98 milliards de barils
7ème réserves mondiales de gaz (3,3% du total)
17ème producteur mondial de gaz (2015) (source : BP 2015)
Composition du PIB par secteur :
- Agriculture : 0,6%
- Industrie : 58,9%
- Services : 40,5%
PIB en milliards $
- 2002: 104
- 2003: 124
- 2004: 147
- 2005: 180
- 2006: 222
- 2007: 257
- 2008: 315
- 2009: 253
- 2010: 286
- 2011: 347
- 2012: 372
- 2013: 402
Taux de chômage %
- 2002: 3,2%
- 2003: 2,7%
- 2004: 3,1%
- 2005: 3,1%
- 2006: 3,3%
- 2007: 3,4%
- 2008: 4,0%
- 2009: 4,2%
- 2010: 4,2%
- 2011: 4,1%
- 2012: 4,0%
- 2013: 3,8%
PIB & Taux de croissance %
- 2002: 2,4%
- 2003: 8,8%
- 2004: 9,6%
- 2005: 4,9%
- 2006: 9,8%
- 2007: 3,2%
- 2008: 3,2%
- 2009: -5,2%
- 2010: 1,6%
- 2011: 4,9%
- 2012: 4,7%
- 2013: 5,2%
Grands Chantiers
C’est une cité qui ne cesse d’être en chantier, qui a d’énormes besoins… Les opportunités existent, il faut aller à leur rencontre.