La Corée du Sud compte 12 biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial :
Culturel (11)
Aires historiques de Baekje (2015)
Ensemble du palais de Changdeokgung (1997)
Forteresse de Hwaseong (1997)
Grotte de Seokguram et temple Bulguksa (1995)
Namhansanseong (2014)
Sanctuaire de Jongmyo (1995)
Sites de dolmens de Gochang, Hwasun et Ganghwa (2000)
Temple d’Haeinsa Janggyeong Panjeon, les dépôts des tablettes du Tripitaka Koreana (1995)
Tombes royales de la dynastie Joseon (2009)
Villages historiques de Corée : Hahoe et Yangdong (2010)
Zones historiques de Gyeongju (2000)
Naturel (1)
Île volcanique et tunnels de lave de Jeju (2007)
Séoul : le Lotte World (parc d’attractions), le Palais de Changdeokgung (appelé également Palais de l’Est), le Palais de Gyeongbokgung, le Parc Namsan, le Musée national, le Temple Jogyesa et la Montagne Namsan.
Le parc National de Soraksan, situé à 4 heures de Séoul, est idéal pour les randonnées.
Le parc National de Songnisan possèdent des paysages superbes et offrent de magnifiques sentiers de randonnée.
Le Parc National de Tadohae Haesang est un parc maritime se composant d’un ensemble d’îlots morcelés de Mokpo à Yeosu.
Pusan : son port est le plus grand du pays.
Haeundae, station balnéaire réputée, possède une très longue plage de sable et des sources thermales.
Sports : Tous les sports peuvent être pratiqués, surtout le golf (très cher), le tennis, le ski, la natation, les arts martiaux, etc. A noter que les équipements nécessaires ne sont disponibles sur place qu’à des prix prohibitifs.
Les rencontres sportives sont hebdomadaires dans presque toutes les disciplines. Le football est très populaire. La Corée est co-organisatrice, avec le Japon, de la coupe du monde de 2002.
Il existe un hippodrome à Séoul.
Des tournois de tennis (équipes françaises ou étrangères en tournée) sont organisés.
Pour la chasse, un permis est nécessaire. Il convient alors de s’adresser à la mairie et au ministère de l’Intérieur. Il est très difficile d’importer son arme de chasse.
En Corée du Sud, vous pourrez trouver des objets en céramiques ainsi que des (fausses) antiquités, des peintures et calligraphies, des chaussures et de la maroquinerie en cuirs d’anguille, de la soies et objets en laque, ainsi que des produits cosmétiques et éventuellement aussi électronique.
Le marché aux poissons le plus ancien de Séoul, site emblématique couru des touristes, refuse de déménager dans un bâtiment futuriste somptuaire: les commerçants ne veulent pas perdre leur âme en même temps que les allées vétustes où ils travaillent depuis 45 ans.
Ce type de controverse est récurrent dans la capitale sud-coréenne, où les habitants résistent de toutes leurs forces à la modernisation et au ravalement de leurs quartiers.
Le marché de Noryangjin, situé au pied d’un quartier du sud de Séoul hérissé de gratte-ciel, est ouvert 24 heures sur 24. Tous les produits de la pêche possibles et imaginables y sont vendus, bien souvent encore frétillants.
Le gestionnaire du marché, la société Suhyup, veut le délocaliser dans un immeuble flambant neuf en forme de dauphin, fait de verre et d’acier, construit à deux pas pour 520 milliards de wons (580 millions de dollars canadiens).
Il estime que le site actuel est démodé et dangereux. Mais les vendeurs de poissons jugent trop petits les étals qui leurs sont proposés dans le nouveau bâtiment, et les loyers trop chers.
Déménager reviendrait à «dénaturer complètement la marque de fabrique Noryangjin», explique Lee Seung-Ki, qui représente un comité de défense des commerçants, lesquels veulent un réaménagement du site actuel.
Noryangjin somnole mais ne dort jamais. À toute heure, on y vend du poisson, en gros ou au détail.
Dans la section réservée au détail, les aquariums se succèdent, débordant de daurades, flétans, raies, crabes géants et poulpes.
Les vendeurs en bottes et tabliers tâchés de sang haranguent les clients, qui vont des simples particuliers aux grands restaurants.