Avant le départ
Durée de vol : A environ 10h30 des principales capitales européennes, de celles du Proche Orient, desservies par l’ensemble des grandes compagnies. en cours de saisie
En savoir plus : Avant de partir & conseils pratiques
Durée de vol : A environ 10h30 des principales capitales européennes, de celles du Proche Orient, desservies par l’ensemble des grandes compagnies. en cours de saisie
En savoir plus : Avant de partir & conseils pratiques
Le passeport doit être encore valide 6 mois après la date retour.
Visa : Le visa est inutile pour un séjour touristique.
Visa inutile pour un séjour touristique.
En savoir plus : voir Avertissement.
ATTENTION :
Votre passeport doit être valable au moins 6 mois après la date de sortie du territoire swazi.
Si vous venez d’Afrique du Sud où du Mozambique assurez vous d’avoir un visa double entrée dans ces pays afin de pouvoir y retourner à votre sortie du Swaziland.
Vaccination : Aucune attestation de non-séropositivité exigée à l’entrée sur le territoire.
vaccins conseillés : DTPolio à jour, hépatites A et B, fièvre typhoïde, rage (pour les séjours de longue durée).
En savoir plus : voir Coût de la vie ( Santé)
Conduite à gauche. Le permis de conduire international est obligatoire.
Limitations en douanes : 400 cigarettes ou 50 cigares et 250 grammes de tabac ; 2 litres de vin et 1 litre de spiritueux ; 50 ml de parfum.
Exportation : tout article de valeur doit être déclaré par formulaire.
Unité monétaire : Lilangeni
Code de la monnaie : SWL
Taux de change au 19/01/2016 :
1,00 SZL = 0,0545572 EUR = 0,0593998 USD
1,00 EUR = 18,3289 SZL
1,00 USD = 16,8351 SZL
Pourboire : Il convient de laisser un pourboire aux porteurs, femmes de chambre, etc. ou 10% du service facturé.
Conduite à gauche et Permis de conduire international recommandé.
Sigle International : SD
Monnaie : Lilangeni
Taux de change au 19/01/2016 :
1,00 SZL = 0,0545572 EUR = 0,0593998 USD
1,00 EUR = 18,3289 SZL
1,00 USD = 16,8351 SZL
Horaires d’ouverture / de travail
Les banques sont fermées l’après-midi. Les entreprises continuent leurs activités le samedi matin.
Téléphone – Indicatif : 268
Nos d’Urgence :
Police: 999
Ambulance : 977
Pompier : 933
Domaine internet : .sz
Médias
Depuis 1986, Mswati III règne en monarque absolu sur le pays. Le roi nomme les membres du gouvernement, les juges ainsi qu’une partie des députés.Évidemment, les médias n’échappent pas à son contrôle. L’autocensure est généralisée et les sujets tabous nombreux. Il est strictement interdit aux journalistes de critiquer le roi et, lors des conférences de presse officielles, les questions sont choisies à l’avance par les conseillers du roi.
La presse publique diffuse uniquement les nouvelles contrôlées et validées par le ministère de l’Information. Il arrive que le gouvernement interdise la publication de certains journaux sous prétexte qu’ils nuisent aux intérêts du Swaziland, à la sécurité publique, l’ordre, la santé ou la moralité.
Tous les journaux importants sont publiés en anglais; c’est le cas du Times of Swaziland, du Swazi News et du Swaziland Today. Le gouvernement a bien tenté de faire tirer une édition swatie du Times of Swaziland (Tikhatsi TemaSwati), mais ce fut un échec en raison de la faiblesse des ventes.
Les médias électroniques diffusent davantage en swati qu’en anglais. L’État gère trois stations de radio, avec une en swati, une en anglais et une autre bilingue consacrée aux nouvelles et aux informations. La STVA diffuse ses émissions télévisées en swati et en anglais. Beaucoup d’émissions produites à l’extérieur sont présentées uniquement en anglais.
Il est possible de capter des émissions en provenance d’Afrique du Sud en anglais, mais aussi en swati (province de Mpumalanga) et en zoulou (province de Kwazulu-Natal).
Soucieux de son image à l’étranger, le gouvernement du Swaziland a lancé une nouvelle chaîne télévisée câblée afin de prouver que le régime respecte les droits humains tend vers un système démocratique. Le canal S est censé offrir aux médias étrangers une «source impartiale d’informations sur le Swaziland». La chaîne doit notamment aider à développer les investissements étrangers et le tourisme dans le pays. L’une des épouses du roi Mswati III y anime une émission artistique hebdomadaire.
Alcool vendu exclusivement dans les « Bottle Stores ». Vente et consommation interdites aux mineurs
Le peuple est composé de Swazis, de Zulus, de Tsonga-Shangaans et d’Européens.
Le chant et la danse font partie de la plupart des cérémonies traditionnelles et culturelles.
La population est courtoise, amicale et fière d’être Swazi.
Le marchandage n’est pas d’usage.
Les valeurs traditionnelles tiennent une grande place dans la vie de tous les jours en particulier dans les régions rurales.
Mode de vie
La monarchie absolue du Swaziland est l’un des plus pauvres pays d’Afrique. L’événement culturel le plus connu du Swaziland est « la danse des roseaux » ou « le Umhlanga » en swazi. C’est une cérémonie annuelle qui se déroule au mois d’août, où le roi choisis sa nouvelle épouse. Les jeunes filles dansent seins nus, sont revêtues de colliers de perles et doivent être vierges.
Il n’y a pas de risque de contamination au Swaziland, mais la vaccination contre cette maladie est obligatoire pour toute personne ayant transité ou séjourné dans l’un des pays suivants : Angola, Bénin, Bolivie, Brésil, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Colombie, Congo, Côte d’Ivoire, Equateur, Ethiopie, Gabon, Gambie, Ghana, Guinée Conakry, Guinée-Bissao, Guinée équatoriale, Guyana, Guyane française, Kenya, Libéria, Mali, Mauritanie, Niger, Nigéria, Ouganda, Panama, Pérou, République centrafricaine, République démocratique du Congo, Rwanda, Sénégal, Sierra Leone, Soudan, Soudan du Sud, Suriname, Tanzanie, Tchad, Togo, Trinité-et-Tobago et Venezuela.
Une vaccination contre la rage peut être conseillée, en raison de la présence de nombreux animaux sauvages dans le pays, surtout pour les voyageurs souhaitant visiter les réserves naturelles hors des circuits touristiques protégés.
En cas de morsure par un animal, même domestique, une consultation médicale doit être recherchée rapidement.
Bien qu’en diminution ces dernières années, le paludisme est présent dans l’ensemble du pays. Le nombre de cas augmente à la saison humide, mais la transmission existe toute l’année.
Prévention du paludisme (malaria) : cette maladie parasitaire est transmise par les piqûres de moustiques, agissant principalement à la tombée du jour et pendant la nuit. Cela impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques et surtout moustiquaires…). L’air conditionné diminue le risque de paludisme, mais ne le supprime pas, et doit donc aussi s’accompagner de l’usage de moustiquaires. Un traitement médicamenteux préventif est recommandé pour les personnes demeurant moins de 6 mois. Cette prévention devant être adaptée à chaque individu et aux résistances existantes dans le pays contre certains anti-malariques (classification en zone 3 par l’OMS, soit à résistance élevée), il convient avant le départ de s’adresser à son médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France pendant une durée variable selon le produit utilisé.
En cas de fièvre après un séjour au Swaziland, une consultation médicale s’impose et l’exposition éventuelle au paludisme doit être signalée à son médecin. Si la fièvre survient pendant le séjour dans le pays, une consultation médicale accompagnée d’un test diagnostic avant le traitement est fortement recommandée
La tuberculose est également fortement présente au Swaziland. Elle est souvent associée au VIH, mais est aussi très fréquente de façon isolée. Le nombre de cas de tuberculose résistante aux traitements classiques est en forte hausse.
En cas de toux persistante qui ne cède pas aux traitements habituels, une consultation médicale s’impose.
Le Swaziland est régulièrement confronté à des épidémies de choléra d’ampleur variable. Le risque est donc permanent dans tout le pays. Toutefois, le choléra touche peu les populations avec une bonne hygiène de vie. La prévention est la même que celles des maladies diarrhéiques comme indiqué ci-dessous.
Il est recommandé de prendre toutes les précautions d’usage en la matière et d’éviter les comportements à risque.
Les infrastructures de santé du pays disposent d’un équipement et d’un confort très limités, et les médecins sont peu nombreux, notamment les spécialistes. Les ruptures de stock de médicaments ne sont pas rares. Toute intervention médicale sérieuse doit si possible être réalisée à l’étranger. L’Afrique du Sud qui dispose de structures privées d’excellente qualité est la destination recommandée la plus proche (ville de Nelspruit notamment). A cause du coût élevé des soins, il est souhaitable d’avoir une bonne assurance santé.
Le Swaziland peut être considéré comme globalement sûr pour les voyageurs, mais les promenades à pied la nuit dans les centres villes de Mbabane et de Manzini sont déconseillées (risque d’agression).
Les voyageurs peuvent s’informer sur la situation locale notamment auprès de l’Alliance Française de Mbabane (cf. onglet « Infos utiles » de la présente fiche) ou de l’Ambassade de France à Maputo (Mozambique), compétente pour le Swaziland.
Le site de la police royale du Swaziland apporte des informations utiles et à jour sur les contacts à prendre et les comportements à adopter pour les victimes d’actes crimine
Pour les hôtels , ceux qui veulent limiter leur dépenses seront heureux d’apprendre que la chaîne française Formule 1 est présente dans les grandes villes du pays . La chambre est identique, mais avec sanitaires dans la chambre pour 21 Euros avec 2 petits-déjeuners . Pas dépaysant mais rapport qualité/prix idéal ! . A l’opposé , un très bon hôtel en bord de mer à Durban revient à 46 Euros avec 2 PDJ. Pour avoir un ordre d ‘idée , dans le Parc Kruger , un bungalow équipé , très agréable et équipé pour quatre revient à 31 Euros.
Pour la voiture , nous avons opté pour une catégorie B (clim) chez un loueur connu (là aussi , on peut trouver un peu moins cher, mais vu les distance et les endroits prévus , nous voulions une voiture en bon état). L’idéal étant d’avoir un coffre suffisant pour ne pas laisser de bagage visible dans l’habitacle quand on se déplace ; et d’avoir une climatisation , histoire de ne pas étouffer lorsqu’on circule à très basse vitesse dans les parcs animaliers . Elle nous est revenu à 720 Euros pour 3 semaines en prenant toutes les assurances possibles et imaginables !
Les repas au restaurant , quant à eux , dépassent très rarement 4 Euros (complet avec boisson et café). Alcool vendu exclusivement dans les « Bottle Stores ». Vente et consommation interdites aux mineurs.
Routes goudronnées et pistes de terre bien entretenues. Bonne signalisation routière. Toutefois, l’éclairage public étant inégale, éviter de circuler la nuit. Respecter le code de la route et les limitations de vitesse (police routière omniprésente). Contracter une assurance tous risques.
Réseau ferroviaire : Il n’existe plus de trains de voyageurs
Taux d’alphabétisation des 15 ans et plus (2015) : 87,47% (PNUD)
L’école n’a jamais été gratuite au Swaziland. L’admission dépend toujours du paiement des frais de scolarité. Beaucoup d’enfants doivent quitter l’école, parfois durant une année complète, en raison du manque d’argent de leurs parents. Certains enfants y retournent lorsque les moyens financiers de leurs parents sont (temporairement) réglés; il arrive que des enfants viennent à l’école à tour de rôle, avec un frère (ou une sœur) fréquentant l’école pendant une année pour rester à la maison l’année suivante, tandis qu’un autre frère (ou sœur) retourne à l’école. Les problèmes de fréquentation scolaire semblent avoir empiré avec le ravage du sida.
Selon l’UNICEF, la pandémie qui frappe le Swaziland ferait annuellement quelque 20 000 nouveaux orphelins. En2010, la population des orphelins du sida a atteind 120 000, sur une population nationale de près d’un million d’habitants, ce qui est énorme.
Après l’indépendance en 1968, le taux de scolarité dans les établissements primaires et secondaires a augmenté, puis au cours des années quatre-vingt ce taux a chuté constamment, ce qui est directement imputé au sida. Aujourd’hui, 95 % des enfants ont accès à l’école primaire, 35 % au secondaire, pour une alphabétisation de 93 %. Or, au début des années quatre-vingt-dix, 90 % des enfants (en âge d’aller à l’école) étaient inscrits à l’école primaire. La baisse est donc dramatique.
Le programme d’études des écoles est basé en grande partie sur le système britannique. Dans les écoles primaires publiques (au nombre d’environ 540), le swati reste la langue d’enseignement, l’anglais une matière. Au secondaire (au nombre d’environ 180), le processus est inversé, car l’anglais devint une langue d’enseignement, le swati une matière. Plus de 5500 étudiants suivent des cours dans les différentes institutions d’enseignement postscolaire du pays, dont 3700 à l’Université du Swaziland.
Les autres sont inscrits dans des établissements tels que le Collège de technologie du Swaziland (Swaziland College of Technology: SCOT), le Gwamile VOCTIM, le Centre de formation industrielle de Manzini (Manzini Industrial Training Centre: MITC), le Centre de formation en technique agricole de Nhlangano (Nhlangano Agricultural Skills Training Centre: NASTC) et différents autres instituts de formation de professeurs et le Nursing College pour les infirmières.
Dans les universités, seul l’anglais est enseigné, sauf dans les disciplines à caractère linguistique. Autrement dit, une bonne connaissance de l’anglais est nécessaire pour poursuivre des études universitaires ou l’équivalent. De façon générale, les langues secondes les plus enseignées au secondaire sont le portugais, le français et l’afrikaans.
Dans les écoles privées, le système est différent. Les programmes d’études sont adaptés pour permettre aux enfants étrangers de poursuivre leurs études en anglais lorsque leurs parents quitteront le Swaziland. La langue d’enseignement est l’anglais, alors que le français et le swati sont appris en tant que langues secondes.
Dans l’ensemble éducatif, la connaissance de l’anglais dans les études est nécessaire pour se trouver un emploi. Le ministère de l’Éducation cautionne cette exigence. La maîtrise de l’anglais est tellement indispensable que sa méconnaissance handicape sérieusement les étudiants.
Dépendant étroitement des capitaux anglais et des relations commerciales avec la République Sud Africaine, l’économie swazilandaise est essentiellement tributaire de la langue anglaise. Le problème, c’est qu’il faut avoir terminé ses étude secondaires pour bien maîtriser l’anglais, ce qui exclut la majorité des Swazilandais. La plupart réussissent à baragouiner l’anglais bien plus qu’ils ne le parlent réellement. D’ailleurs, on estime que 20 % des diplômés maîtriseraient mal l’anglais à la fin de leurs études. Pourtant, les Swazilandais préfèrent lire en anglais qu’en swati. Il faut dire qu’il n’y a pas grand-chose à lire dans la langue nationale (pas de journaux, ni de magazine). Seuls des manuels scolaires existent en swati, car une loi exige que ceux-ci soient disponibles jusqu’à la fin du secondaire.
Certains croient que les difficultés en anglais proviennent des différences radicales entre le swati et l’anglais. Le swati est une langue très imagée et très descriptive, contrairement à l’anglais. Par exemple, le mot anglais West («ouest») se traduit en swati par une périphrase du type «là où le soleil disparaît». Les chiffres et les nombres présentent un problème réel. Par exemple, le nombre 2975 se dit en swati Tinkhulungwane netimbili nemakhulu nemfica nemashumi nesikhombisa nasihlanu, ce qui signifie mot à mot «les milliers qui sont deux et les centaines qui sont neuf et les dizaines qui sont sept et cinq».
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