Avant le départ
Durée de vol : 5 h environ des principales capitales européennes, desservies par Gambia Airlines notamment.
En savoir plus : Avant de partir & conseils pratiques
Durée de vol : 5 h environ des principales capitales européennes, desservies par Gambia Airlines notamment.
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Visa
Votre passeport valable 3 mois après votre date de retour
– Deux photos
– Un formulaire recto-verso de demande de visa
– Une attestation de votre agence de voyage indiquant durée et date de séjour
– Un justificatif de domicile en France.
Pour un voyage d’affaire vous devez joindre une lettre de mission de votre employeur indiquant les dates de séjour, la prise en charge et l’adresse du correspondant.Le délai théorique* d’obtention du visa est de trois jours.
Vaccination obligatoire : Le vaccin contre la fièvre jaune est obligatoire.
La présentation du carnet de vaccination est obligatoire à l’arrivée en Gambie.
Vaccins conseillés : Tétanos, poliomyélite, diphtérie, choléra, fièvre typhoïde, hépatite A, hépatite B, rage, méningites A et C.
Il est indispensable de se munir d’une ordonnance médicale pour tout médicament en sa possession, sous peine de se voir accusé de détention de produit stupéfiant.
Conduite: Le permis de conduire international est recommandé et l’assurance automobile responsabilité civile est requise, et indispensable. Conduite à droite.
Importation : 200 cigarettes ou 50 cigares ou 250 g de tabac (ou assortiment d’un poids total équivalent), 1 litre de spiritueux, 1 litre de bière ou de vin, 284 ml de parfum ou d’eau de toilette.
Unité monétaire : DALASI
Taux de change au 06/01/2015:
1,00 GMD = 0,0235214 EUR = 42,5145 GMD
1,00 EUR = 42,5145 GMD
1,00 USD = 39,5859 GMD
Code de la monnnaie : GMD
Pourboire – Un service de 10 à 15% est généralement inclus dans les notes de restaurant et d’hôtel. Mais laisser quelques pièces de monnaie fait toujours plaisir.
Lexique de base en wolof :
Bonjour : Salamaleikum
Comment vas-tu ? (que fais-tu) : Na nga def
Je vais bien (je suis là seulement) : Maa ngi fii rek, Maa ngi sant
As-tu la paix ? : Mba jam nga am
La paix seulement : Jam rek
Comment va la famille (où sont les gens de la maison) ? : Mba waa ker gi jam (ana waa kër ga)
Ils vont bien (ils sont là -bas) : Gnu ngi sant Gno nga fa
Merci : Dieureudieuf
Oui : Waw
Non : Dedeet
Qu’est-ce que c’est ? : Li lan la
Viens ici : Kay fii
Attends : Kharal
Tiens : Am
Au revoir (à demain dans la paix) : Ba suba ak jam
A la prochaine, si Dieu le veut : Ba beneen yoon, inch Allah
Je m’en vais : Maa ngi dem
Je suis repus : Sour naa
Combien (le prix) : Niata la
Baisse le prix : Wañi ko
Branchement électrique/prise :
220 V. 50 Hz. Prise anglaise le plus souvent. Il faut donc prévoir un adaptateur.
Les coupures d’électricité sont courantes.
Conduite et permis de conduire : Permis international obligatoire
Sigle International : WAG
Horaires d’ouverture / de travail :
Les banques ouvrent du lundi au vendredi, de 8h à 11h et de 12h à 16h et le samedi de 8h à 13h.
Les postes ouvrent du lundi au vendredi de 8h à 13h et de 14h à 17h et le samedi de 8h à 11h.
Monnaie :
La monnaie locale est le Dalasi.
Taux de change au 06/01/2015:
1,00 GMD = 0,0235214 EUR = 42,5145 GMD
1,00 EUR = 42,5145 GMD
1,00 USD = 39,5859 GMD
Téléphone – Indicatif : 220
Internet :
Gambianet.com
Site Officiel du tourisme
Médias :
The Daily Observer (en anglais)
The Daily Observer (en français)
Toute l’actualité gambienne
Nos d’urgence :
Ambulances : 16
Urgences du Royal Victoria Hospital : 22.82.24
La plupart des hôtels et restaurants touristiques proposent des spécialités occidentales, ainsi que quelques spécialités gambiennes. Parmi les spécialités recommandées figurent le benachin (également appelé ‘Riz de Jollof’, un plat à base de viande relevée, de riz, de tomate et de légumes), le base nyebe (un ragoût de poulet et de boeuf accompagné d’haricots verts et autres légumes), le chere (croquettes de farine de millet cuites à la vapeur), le domodah (viande mijotée dans de la purée d’arachide, accompagnée de riz), le plasas (viande et poisson fumé cuits dans de l’huile de palme, accompagnés de légumes verts) servis avec du fu-fu ou de la purée de manioc chura-gertek (une bouillie sucrée à base d’arachides pilées, de riz et de lait). Les fruits locaux tels que mangues, bananes, pamplemousses, papayes et oranges sont délicieux et vendus sur les marchés. Un vaste choix de spiritueux, bières et vins est proposé. La Jul Brew est la bière locale. Les jus de fruits frais locaux sont exceptionnels.
Les infrastructures touristiques sont très correctes en Gambie.
La population est composée de Malinkés (en majorité), de Peuls, d’Oulofs, de Dioulas et de Soninkés.
La presque totalité des populations est de confession musulmane.
Mode de vie
La poignée de mains est une forme courante de se saluer; Nanga def (‘Comment ça-va?’) est la salutation traditionnelle. Les Gambiens sont extrêmement chaleureux et accueillants, et les visiteurs ne doivent pas hésiter à accepter leur hospitalité. De nombreux Gambiens sont musulmans et leurs coutumes et croyances religieuses doivent être respectées par les invités; la plupart comprennent toutefois les coutumes et la langue anglaises. Il convient de ne pas oublier d’utiliser seulement la main droite pour donner ou recevoir de la nourriture ou des objets. Une tenue décontractée est acceptable, mais le maillot de bain ne doit être porté qu’à la plage ou la piscine. Seuls les restaurants les plus chics exigent une tenue plus habillée pour le dîner. Malgré les répercussions du tourisme, la culture traditionnelle – musique, danse et artisanat – a été préservée dans les nombreux villages des deux rives de la Gambie.
Souscrivez avant de partir à une assurance qui comprend le rapatriement sanitaire.Si vous êtes malade en Gambie, pas de panique, le corps médical gambien est plutôt au point. On trouve des pharmacies presque partout, surtout à Banjul et dans ses quartiers périphériques.
Les vaccinations conseillées – Tétanos, poliomyélite, diphtérie, BCG, ROR, coqueluche, Haemophilus b.
Les trois premières, conseillées chez l’adulte, deviennent extrêmement souhaitables lorsque l’on voyage, et le rappel est une priorité avant le départ.
Méningite à Haemophilus influenzae b, ROR, coqueluche : tous les enfants de moins de 3 ans voyageant en Afrique doivent impérativement être vaccinés contre ces maladies.
La fièvre jaune – La vaccination contre la fièvre jaune, maladie mortelle transmise par les moustiques, est un passage obligatoire avant de partir en Afrique intertropicale.
Le choléra – La prévention du choléra repose avant tout sur les précautions alimentaires. Mais pour ses séjours en zones épidémiques, le ministère de la Santé recommande d’adjoindre le vaccin Dukoral.
La typhoïde – Vaccin très bien toléré (Typhim Vi). Protection de 3 ans au moins dès le 15e jour après l’injection. On ne peut que trop le recommander aux voyageurs se rendant en Afrique Noire.
À signaler, la sortie d’un vaccin combiné hépatite A + typhoïde dans une seule seringue (Tyavax).
L’hépatite A – Cette maladie fréquente, dite « alimentaire » ou « des mains sales », n’est pas grave. Elle peut cependant être gênante. Il vous en coûtera environ 33 € pour le vaccin. Une injection protège 2 ou 3 semaines plus tard. La protection sera de plus de 10 ans.
L’hépatite B – L’hépatite B est une maladie de la « promiscuité ». Elle peut aboutir à la cirrhose ou au cancer du foie. Dès que l’on doit approcher des gens de près, mieux vaut être protégé. D’autant que la vaccination est totalement anodine.
Attention : les 2 premières injections, assurant une protection maximum, se font sur un mois plein (ensuite, rappel tous les 6 à 12 mois). Encore une bonne raison pour préparer son voyage bien à l’avance.
La méningite à méningocoque – Recommandée aux enfants, adolescents et jeunes adultes si la méningite sévit de manière épidémique. Pour l’adulte de moins de 30-35 ans, recommandable en zone d’endémie à certains moments de l’année. Il s’agit d’une vaccination de toute façon sans aucun risque ni effet secondaire. Durée de protection : 3 ans.
La rage – La rage est omniprésente dans la plupart des pays d’Afrique de l’Ouest. C’est pourquoi il est fortement recommandé de se faire vacciner de manière préventive, notamment les personnes en contact avec des animaux de manière obligatoire (vétérinaires, biologistes, écologistes, agronomes…) ; Tout voyageur qui, une fois contaminé, ne pourra atteindre en 48 h un centre apte à le traiter avec des sérums et vaccins de qualité internationale dans les heures qui suivent met sa vie en péril.
L’homosexualité est stigmatisée par la société gambienne et par les autorités : un affichage ostensible de cette orientation sexuelle peut conduire à une arrestation. Toute attitude équivoque en public (notamment sur la voie publique, dans les restaurants ou les boîtes de nuit) doit donc être évitée.
L’autorité gambienne du tourisme a mis en place une force spéciale destinée à combattre la pédophilie. Cette force spéciale a reçu instruction de ne faire preuve d’aucune indulgence vis-à-vis des touristes qui violeraient les droits des enfants gambiens.
Les hôtels ont souscrit à un code de bonne conduite.
Les ressortissants européens, qui abusent d’enfants à l’étranger, peuvent faire l’objet de poursuites dans leur pays d’origine.
Il est indispensable de se munir d’une ordonnance médicale pour tout médicament en sa possession, sous peine de se voir accusé de détention de produit stupéfiant.
La simple détention de quelques grammes de produits stupéfiants est réprimée avec sévérité et entraîne de lourdes peines d’emprisonnement et amendes importantes. De plus, la loi gambienne prévoit que toute personne en possession de plus de 250 grammes de cocaïne est passible de la peine de mort.
Hébergement en séjour tourstique : Bon marché : de 300 à 600 GMD (6 à 11,50 €) Prix moyens : de 600 à 1 000 GMD (11,50 à 19,50 €).
Restauration : Très bon marché moins de 100 GMD (2 €), Bon marché : de 100 à 250 GMD (2 à 5 €), jusqu’à 450 GMD (9€) pour un restaurant plus chic.
La route côtière bitumée qui relie le grand Banjul à Kartung est excellente.
La route nord : Depuis Barra, elle est excellente (bitumée) jusqu’à Kerewan (55 km). Ensuite, bonne piste jusqu’à Farafenni (57 km). Restent 120 km environ de piste pour rejoindre Jan Jan Bureh (ex-Georgetown) avec des passages très bons, d’autres un peu plus problématiques (mais rien de bien méchant). Les choses devraient évoluer rapidement, car les réseaux de réfection avancent très vite et il est question de bitumer la piste.
Très belle route bitumée jusqu’à une dizaine de kilomètres après Brikama. Ensuite, les choses se gâtent. Alternent des tronçons bourrés de nids-de-poule et des passages où l’asphalte a miraculeusement bien résisté. Pas de travaux prévus. Vous croiserez sûrement quelques checkpoints (peu nombreux) de militaires qui opèrent de simples contrôles d’identité.
Il est préférable de rouler avec un 4×4. En effet, les abords de Banjul, la capitale, sont en bon état mais le reste du réseau routier est constitué de pistes. Les conducteurs doivent être munis d’une assurance civile. Il est possible de traverser le fleuve Gambie à Farafeni et près de Banjul. Un bac effectue des aller retour toutes les heures entre 7h et 23h.
Taxis : Dans le grand Banjul, pour circuler, préférez les taxis. Il en existe de deux sortes, les jaunes et les verts.
Avec les jaunes (taxis locaux), le tarif est le même pour tous (près de 5 GMD, soit 0,15 € la course) dès lors qu’ils ne modifient pas leur parcours pour vous. Mais si vous leur demandez de vous déposer à un endroit précis, vous pourrez négocier plus facilement les prix qu’avec les taxis verts, qui sont des pièges à touristes. Leurs prix sont prohibitifs et ils ont le plus souvent des tarifs préétablis qu’il est difficile de faire baisser.
Les taxis jaunes sont parfois interdits d’accès aux zones touristiques. Il suffit de parcourir quelques centaines de mètres pour trouver un taxi jaune qui vous conduira au même endroit, pour moins cher. Pour vous déplacer à l’intérieur du pays, pas le choix, vous devrez prendre un taxi-brousse ou louer un véhicule.
Vols intérieurs effectués par Afrinat Airlines.
La Gambie est un pays pauvre. L’enseignement primaire est gratuit (les cinq premières années), mais il n’est pas obligatoire. En 2001, l’alphabétisation ne concernait que 59 % de la population; et 40 % des jeunes de 12 à 17 ans étaient scolarisés. Si 75 % des enfants commencent leurs études primaires, seuls quelque 20 % des jeunes accèdent au secondaire. De plus, le pays ne possède pas d’université, mais une proportion de 0,4 % des jeunes réussissent à s’instruire à l’extérieur du pays.
Dans tous les secteurs de l’éducation, l’anglais est la langue d’enseignement, sauf dans les écoles coraniques où la langue enseignée est l’arabe. Un cours de français langue seconde est disponible pour les élèves du secondaire. Toutes les études sauf l’école Islamique sont effectuées en anglais. Comme la Gambie est un pays pauvre, les écoles ne sont pas toujours pourvues de manuels en quantité suffisante et la formation des enseignants laisse parfois à désirer. Par exemple, il est difficile de trouver des documents en langue française en Gambie, notamment ceux qui pourraient être utiles dans l’enseignement. Pour diverses autres raisons, l’enseignement des langues étrangères n’est peut-être pas toujours adéquate dans ce pays.
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