Avant le départ
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Le visa est inutile pour des séjours inférieurs à 3 mois, à condition de disposer d’un billet d’avion aller et retour valide.
Tout visiteur, même exempté de visa en tant que touriste pour une durée de 3 mois maximum, doit présenter un billet aller-retour et pouvoir prouver qu’il disposera sur place de 1000 NZD (400 NZD s’il est logé gratuitement) par mois de séjour. Même dans le cas d’un emploi non rémunéré mais assorti d’avantages en nature, il n’est pas permis de travailler sans autorisation préalable de travail (Work permit, Working holiday visa). S’il apparaît à l’occasion d’un entretien avec l’officier de l’immigration que les conditions d’entrée ne satisfont pas à la réglementation néo-zélandaise, tout visiteur est refoulé. Un retour en Nouvelle-Zélande sans visa s’avèrera ensuite difficile et le visa requis, même délivré, n’assurera pas un contrevenant de son entrée sur le territoire.
Les autorités néo-zélandaises autorisent les jeunes Français à séjourner en Nouvelle-Zélande à titre individuel dans le but d’y passer des vacances, en ayant la possibilité d’y exercer un emploi pour compléter les moyens financiers dont ils disposent. Elles leur délivrent à cet effet un visa vacances-travail à entrées multiples d’une durée de validité d’un an.
A l’arrivée en Nouvelle-Zélande, les bénéficiaires du programme se voient délivrer par le service de l’immigration une autorisation de travail valable 12 mois : celle-ci leur permet d’exercer un emploi auprès de plusieurs employeurs successifs, et aussi de s’inscrire à un cours de formation ou d’étude pour une durée maximale de 3 mois non renouvelable. Ils sont tenus de se conformer à la législation locale du travail.
Les conditions à remplir sont les suivantes :
La demande de visa doit être déposée auprès de l’Ambassade de Nouvelle-Zélande à Paris.
Le nombre de visas susceptibles d’être délivrés est de 5000.
Pour toute information complémentaire, prendre l’attache de l’ambassade de Nouvelle Zélande à Paris
Certaines précautions et gestes simples permettent d’éviter des complications douanières.
La loi néo-zélandaise en matière de règles douanières est intransigeante et l’introduction dans le pays de produits prohibés est étroitement contrôlée. Il est donc recommandé aux voyageurs de se conformer strictement à la règlementation en vigueur. Tout manquement peut être sévèrement sanctionné, à commencer par un refus d’entrée sur le territoire.
Une attention scrupuleuse est accordée par les services des douanes aux menaces extérieures pouvant affecter l’écosystème (bactéries, insectes ou autres petits animaux). L’approche « bio-sécurité » est d’une extrême rigueur lors des contrôles effectués à l’aéroport, une amende de 400 NZ dollars pouvant être infligée sur le champ en cas d’infraction.
Des déclarations frauduleuses ou incorrectes à la douane néo-zélandaise peuvent faire l’objet d’amendes immédiatement exigées allant jusqu’à 400 NZD.
De manière générale :
Les produits strictement interdits :
Ces produits seront systématiquement détruits ou, si vous acceptez de payer le service, seront réexpédiés chez vous.
Produits devant être obligatoirement déclarés à l’arrivée :
Après inspection, ces produits vous seront retournés pour la grande majorité. Les autres seront traités à vos dépens puis vous seront rendus et dans des cas plus rares seront détruits ou, si vous acceptez de payer le service, seront réexpédiés chez vous.
Unité monétaire : Dollar néo-zélandais
Code de la Monnaie : NZD
Taux de change au 29/12/15 : 1 NZD = 0,626036 EUR
Pourboire – En Nouvelle-Zélande, il n’est pas d’usage de donner des pourboires, sauf dans certains grands restaurants (jusqu’à 10 % de l’addition, selon le service).
Conduite : La circulation à gauche demande une vigilance accrue pour les conducteurs français. Il peut arriver que des conducteurs locaux, jugeant votre conduite dangereuse, veuillent vous dissuader de reprendre la route. La priorité est à droite. Les routes, de type nationales, sont en très bon état, mais souvent sinueuses. L’assurance automobile n’étant pas obligatoire, il est fortement conseillé de s’assurer « tous risques ». En cas de location, vérifier que le contrat autorise l’emprunt des voies non goudronnées.
Le permis de conduire français est reconnu pendant un an, à condition qu’il soit accompagné du permis international ou d’une traduction certifiée conforme. Au-delà d’un an, il est impératif de se soumettre aux épreuves du code néo-zélandais.
Le taux d’alcoolémie au volant est de 80 mg/100 ml. La limitation de vitesse est de 100 km/h sur route, 60 ou 70 km/h à l’approche des agglomérations et de 50 km/h en ville. L’alcoolémie au volant et les excès de vitesse sont lourdement sanctionnés (fortes amendes, retrait de permis…). Les contrôles sont fréquents. La législation contre l’alcoolémie au volant est plus sévère qu’en France et elle est appliquée avec rigueur.
La consommation de stupéfiants : (y compris de cannabis) est interdite. Son usage, tout comme les petits larcins ou l’irrégularité du séjour, sont passibles d’amendes conséquentes et d’expulsion après généralement un passage en détention.
Électricité : 240 Volts, 50 Hertz.
Sigle International : NZ
Horaire d’ouverture de travail –
Il faut savoir que l’ouverture des bureaux s’effectue à 9 h et que la fermeture s’effectue à 17 h.
Les magasins sont ouverts de 9 h à 17 h 30 du lundi au vendredi, nocturne le vendredi jusqu’à 21 h. Et ils sont ouverts le samedi de 10 à 13 h.
Téléphone – Indicatif : 64
Internet : Le suffixe internet des sites enregistrés en Nouvelle-Zélande est: .nz
Médias –
Les principaux journaux: The Independent, The Evening Post , National Business Review, The New Zealand Herald
Petit lexique des 1ers mots
Oui : Yes
Non : No
Merci : Thank you
Bonjour : Hello
Bonjour : Good morning
Au revoir, Adieu : Goodbye
Je ne comprends pas : I do not understand
Quel est le prix? Combien ça coute? : How much does this cost?
Je voudrais acheter … : I would like to buy …
Acceptez-vous les cartes de credit? : Do you accept credit cards?
Où est …? : Where is …?
Un aéroport : Airport
La gare : Train station
La Poste: Post office
La banque : Bank
Le poste de police, la gendarmerie : Police station
La pharmacie : Pharmacy, Chemists
Un billet pour …, s’il vous plaît. : One ticket to …, please.
Avez-vous des chambres disponibles pour ce soir? : Are there any vacancies for tonight?
Si un visiteur est invité à un événement Maori formel, le hongi (frottement de nez) est habituel.
Les vêtements de sport sont largement acceptés. Les Néo-Zélandais sont généralement très détendus et hospitaliers. Les pures formalités sont rarement appréciées et après les présentations, les prénoms sont généralement employés. Le smoking n’est porté qu’en cas d’indication.
Il n’y a pas le moindre danger d’un point de vue sanitaire en Nouvelle-Zélande. Prévoir une protection anti-moustiques en été.
Le niveau de criminalité de droit commun reste faible mais les précautions d’usage doivent être observées, la délinquance prenant de l’ampleur dans les grandes villes (Wellington, Christchurch et surtout Auckland).
Les vols dans les véhicules (notamment les camping cars et « camper vans ») sont en augmentation sur l’ensemble du territoire. Il est donc fortement déconseillé de laisser ses effets personnels (argent, passeports, documents…) dans un véhicule sans surveillance. Il est rappelé aux voyageurs et en particulier aux randonneurs et aux campeurs, qu’une vigilance accrue doit être accordée durant les étapes nocturnes où des vols ou attaques peuvent survenir. Éviter le camping sauvage. Il est prudent de camper dans les centres agréés ou près d’un lieu habité, de bien verrouiller son véhicule et de garder son téléphone près de soi pour appeler des secours en cas de nécessité.
Certaines régions de Nouvelle-Zélande sont situées dans une zone de forte activité sismique. Pour obtenir plus d’informations sur la conduite à tenir en cas de séisme, vous pouvez consulter sur ce site la fiche réflexe consacrée à ce sujet dans la rubrique « .
Les recommandations de base sont les suivantes :
A l’intérieur :
A l’extérieur :
Il est recommandé de stocker eau, piles, allumettes, lampes électriques, trousse médicale de première urgence, radio, bougies, vivres, quelques médicaments (la liste est disponible à la dernière page de chaque annuaire téléphonique).
Dans tous les cas, il faut conserver son calme, suivre les instructions données et attendre les secours, si nécessaire. Tout séisme important est suivi d’une série de secousses secondaires.
Si un tremblement de terre se produisait lors d’un séjour touristique, il est recommandé à nos ressortissants de prendre immédiatement contact avec leurs familles ou leurs proches afin de les rassurer sur leur sort ou, le cas échéant, en cas de problème de communication avec l’extérieur, avec l’Ambassade de France.
L’attention des randonneurs est particulièrement attirée sur les précautions à prendre avant de se rendre sur deux sites volcaniques du pays situés dans l’île du Nord et dont l’activité peut reprendre à tout moment : le mont Tongariro et tout le parc du même nom ainsi que l’île volcanique de White située dans la Baie d’Abondance (Bay of Plenty). Il est fortement conseillé aux visiteurs de se renseigner sur l’accessibilité de ces deux sites auprès des bureaux d’information avant de s’y rendre, notamment en dehors de la saison touristique.
Sports extrêmes.
La Nouvelle-Zélande est connue pour sa pratique des sports d’aventure et sports extrêmes (saut à l’élastique, parachute, rafting, jetboating, ascension sur glacier, quad, spéléologie, ponts suspendus etc.). L’attention des voyageurs est rappelée sur la condition physique et la prudence requises dans l’exercice de telles activités, surtout en cas de pratique non encadrée.
Climat
Quelles que soient la saison et la région, et en particulier en montagne, la Nouvelle-Zélande est sujette à des variations climatiques rapides et imprévisibles (chute des températures, vent, pluies parfois violentes). Il est recommandé de prévoir en toutes circonstances des vêtements chauds et imperméables.
Bien que la Nouvelle-Zélande compte parmi les nations qui utilisent le plus Internet et les téléphones portables, les Néo-zélandais adoptent en règle générale un style de vie tourné vers la nature et les activités pratiquées en plein air, beaucoup moins stressant que ce que nous connaissons dans la plupart des grandes villes européennes.
Les embouteillages sont rares, pour ne pas dire inexistants, ce qui permet aux résidents de s’adonner davantage à leurs loisirs.
La Nouvelle-Zélande offre à ses habitants un environnement sûr, propre, non pollué et qui échappe aux standards internationaux. Les villes ne sont pas surpeuplées et il est facile de louer ou d’acheter une maison dans un quartier calme et retiré, à quelques pas de centres de loisirs ou de sport.
La nourriture est de qualité et moins chère qu’en Europe et en ce qui concerne les soins de santé, ils sont à la portée de tous. En 2004, une enquête internationale a placé la Nouvelle-Zélande parmi les 50 pays les moins chers en ce qui concerne le coût de la vie et dans le top 30 quant à la qualité de vie. Les prix sont généralement plus élevés dans les grandes villes et dans l’île du nord. Auckland est sans conteste la ville la plus chère du pays et le coût de la vie a tendance à diminuer au fur et à mesure qu’on se dirige vers le sud.
La cuisine néo-zélandaise s’en est longtemps tenue au fish & chips, à la meat pie et au pudding directement débarqués de leur Angleterre natale. Ce n’est heureusement plus le cas ! Marquée par l’excellente qualité des produits frais locaux (très souvent bio) et les influences mêlées des différentes communautés immigrées (asiatiques en particulier), la cuisine néo-zélandaise moderne peut se révéler excellente, dans un genre fusion salé-sucré.
Certes, au quotidien, dans les cafés, vous ne ferez pas vraiment d’orgies culinaires : outre les incontournables mentionnés ci-dessus, encore bien présents, comptez sur des pommes de terre en robe de chambre, des quiches diverses, burgers et autres fruits de mer frits avec de grosses frites.
Dans les vrais restos, c’est mieux. C’est là qu’il faut aller pour déguster l’excellent agneau du pays. Certaines recettes vous surprendront, comme l’agneau à la menthe et à la sauce Worcestershire, l’agneau au kiwi et au camembert, les cœurs de côtelettes à la gelée de groseille… On trouve du chevreuil, élevé pour l’export.
La viande, tous genres confondus, est souvent très cuite, précisez donc si vous l’aimez bleue (rare). Medium équivaut à un « à point » bien à point. Les légumes servis en accompagnement sont, a contrario, souvent croquants, tendance nouvelle cuisine.
Les poissons et fruits de mer occupent une place de choix, ce qui ne surprendra personne dans un pays disposant de 15 000 km de côtes et de nombreuses rivières à truites et à anguilles. Huîtres et moules sont partout, ces dernières parfois grandes comme la paume de la main (on n’en mange que deux) ! Dans le genre coquillages locaux, on trouve aussi de temps à autre des paua (ormeaux), des tuatua et des toheroa (rares et chers). Et aussi, des coquilles Saint-Jacques et des langoustes (crayfish) – bien que l’essentiel soit exporté.
Tous ceux qui ont voyagé en Australie ou dans un pays du Commonwealth ont des chances de connaître (et de détester !) le Vegemite et la Marmite. Tartinées pour les enfants (de 7 à 77 ans), ces pâtes vitaminées à base d’extraits de levure (récupérés à l’origine dans les déchets des brasseries de bière…) et d’arômes de légumes n’ont pas que des inconditionnels. La seconde a un goût de caramel plus marqué, mais toutes deux sont très salées. Idéal, paraît-il, pour éviter une gueule de bois… À moins que ça ne vous en donne une !
À Auckland, la variété des restaurants reflète le nombre important de communautés d’origine étrangère. Indien, chinois, japonais, thaïlandais… Nombre de cuisines du monde sont représentées.
On trouve aussi toutes les déclinaisons de la cuisine australienne et bon marché : fish & chips, lamb & chips, burger & chips, pork shop & chips, roast-beef & chips, BBQ & chips, chips & chips… Une gastronomie très cheap !
Desserts
Les Néo-Zélandais, contredits avec véhémence par les Australiens, affirment qu’ils sont les inventeurs de la pavlova (« pav »), un dessert meringué conçu en 1935 en l’honneur de la danseuse russe du même nom. Sinon, plein de fruits, dont l’incontournable kiwi, piqué aux Chinois en 1904 par un maître d’école. On appelait alors ce fruit « groseille de Chine ».
Toutefois, le prix des fruits au kilo (y compris en supermarché) reste élevé par rapport à nos références européennes.
Bière
Les Néo-Zélandais sont de grands amateurs de bière : avec environ 120 litres par an et par habitant, ils ne sont guère surpassés que par les Tchèques et les Australiens !
On trouve des bières de toutes les tailles et de toutes les sortes, de la seven (200 ml) au jug (pichet), de la blonde légère et désaltérante à la brune intense. Lion Red, DB Draught, DB Natural, Speights sur l’île du Sud sont les plus prisées.
Les magasins d’alcool pullulent, y compris dans les petites localités, et l’alcool se vend au minimum en pack de 12, voire de 24 !
Ne passez pas à côté des breuvages concoctés pour toutes les microbrasseries qui, ces dernières années, ont poussé comme des champs de houblon après la pluie…
Vins
Le vin s’adresse à une clientèle plus âgée. Le vin néo-zélandais commence à se faire connaître sur la scène internationale. Fruit du climat tempéré, assez pluvieux, les blancs sont dans l’ensemble mieux représentés que les rouges. Mais que cela ne vous dissuade pas de les goûter, nous en avons trouvé certains excellents, à l’instar du merlot des Saint Clair Wineries.
Les deux principales régions productrices, les plus ensoleillées de tout le pays, sont celle de Hawke’s Bay, sur l’île du Nord, attachée au chardonnay, et celle de Marlborough, sur l’île du Sud, réputée pour ses sauvignons blancs. Dans l’un et l’autre endroit, de nombreux domaines, certains établis depuis la seconde moitié du XIXe siècle, sont ouverts au public, avec possibilité de dégustation et visite des caves.
Les vins néo-zélandais sont dans l’ensemble conçus pour être bus jeunes : inutile donc de faire vieillir plus de 2 ans votre merlot ou votre pinot noir.
Bien que la Nouvelle-Zélande compte parmi les nations qui utilisent le plus Internet et les téléphones portables, les Néo-zélandais adoptent en règle générale un style de vie tourné vers la nature et les activités pratiquées en plein air, beaucoup moins stressant que ce que nous connaissons dans la plupart des grandes villes européennes.
Les embouteillages sont rares, pour ne pas dire inexistants, ce qui permet aux résidents de s’adonner davantage à leurs loisirs.
La Nouvelle-Zélande offre à ses habitants un environnement sûr, propre, non pollué et qui échappe aux standards internationaux. Les villes ne sont pas surpeuplées et il est facile de louer ou d’acheter une maison dans un quartier calme et retiré, à quelques pas de centres de loisirs ou de sport.
La nourriture est de qualité et moins chère qu’en Europe et en ce qui concerne les soins de santé, ils sont à la portée de tous. En 2004, une enquête internationale a placé la Nouvelle-Zélande parmi les 50 pays les moins chers en ce qui concerne le coût de la vie et dans le top 30 quant à la qualité de vie. Les prix sont généralement plus élevés dans les grandes villes et dans l’île du nord. Auckland est sans conteste la ville la plus chère du pays et le coût de la vie a tendance à diminuer au fur et à mesure qu’on se dirige vers le sud.
Il n’existe ni école ni lycée français en Nouvelle-Zélande. Il est néanmoins possible pour les lycéens/collégiens français de passer les épreuves du baccalauréat français et celles du diplôme national du brevet en Australie dans les centres de Canberra ou Sydney et en Nouvelle-Calédonie à Nouméa.
Le système scolaire néo-zélandais (primaire et secondaire, de 6 à 16 ans) est partagé entre établissements publics (financés par l’Etat) et établissements privés. Les écoles publiques agréées par le gouvernement néo-zélandais accueillent les étudiants internationaux, mais ceux-ci doivent payer l’intégralité de leurs droits d’inscription, et ne sont pas prioritaires par rapport aux étudiants néo-zélandais.
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