Avant le départ
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Visa – Les ressortissants des États membres de l’Union Européenne et des pays suivants : Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Canada, Chypre, Corée du Sud, Costa Rica, États-Unis, Islande, Japon, Macédoine, Malaisie, Moldavie, Norvège, Pologne, San Marino, Russie, Slovaquie, Slovénie, Suisse, Turquie, Ukraine et Yougoslavie n’ont pas besoin de visa.
Il est cependant impératif d’être en possession d’un passeport valide, les autorités locales refusant l’admission sur leur territoire de ressortissants étrangers dont la durée de validité du document de voyage aurait expirée.
Pour un séjour de plus de 30 jours il est nécessaire d’obtenir, en Roumanie, auprès des autorités compétentes, la prolongation du droit de séjour.
Limitation des normes Européennes.
Unité monétaire : LEU ROUMAIN
Code de la Monnaie : RON
Taux de change au 17/02/2016 : 1,00 RON = 0,224154 EUR – 1,00 EUR = 4,46123 RON
De manière générale, il faut payer en liquide. La devise est le nouveau Leu (RON). Les dollars américains et les chèques de voyage ne peuvent être échangés que dans des établissements reconnus, tels que les bureaux de change, les banques et les hôtels. Les euros sont plus facilement échangeables. Les billets doivent être dans un état neuf, car les vieux billets peuvent être refusés. Il arrive que les visiteurs se voient proposer par des individus de changer de l’argent contre de la monnaie locale. Cette pratique est illicite et les voyageurs s’exposent à une arrestation ou à des tentatives d’extorsion. Les cartes de crédit ne sont pas acceptées partout. Les guichets automatiques bancaires sont nombreux dans les grandes villes.
Pourboire : à votre guise, mais sachez tout de même que le salaire des serveurs sont la plupart du temps très faibles. Les employeurs partent du principe que le salaire n’est qu’un complément de pourboires.
Petit lexique des 1ères mots :
Bonjour : Bună ziua/Bună. br/> Bonsoir : Bunǎ seara.
Au revoir : La reveder/Pa.
S’il vous plaît : Vă rog.
Merci : Mulţumesc/Merci.
Pardon/excusez-moi : Iertaţi-mă.
Oui/non : Da/Nu
Parlez-vous français/anglais ? : Vorbiţi franceză/engleza ?
Combien cela coûte-t-il ? : Cât costă ?
Conduite à droite et Permis de conduire : Il est conseillé d’avoir un permis de conduire international (PCI).
Single International : RO
Horaires d’ouverture / de travail : 8H-12H / 14H-19H
Téléphone – Indicatif : 40
Numéros d’Urgence : 112
Médias :
– Principaux journaux nationaux : 95 quotidiens dont Evenimentul Zilei, Adevarul, Romaniea Libera, Curierul National, et Cotidianul.
– Chaînes de télévision publiques et privées : 2 chaînes publiques, 3 chaînes indépendantes.
– Stations de radio publiques et indépendantes : 3 stations publiques, plusieurs stations indépendantes.
– La Mămăliga : cette semoule de maïs, plat de base du paysan roumain, rappelle la polenta italienne. Elle accompagne un fromage blanc fabriqué à partir de lait de vache ou de brebis un peu aigre, la tochitura (mélange de viande de porc et de veau avec du foie de volaille), ou n’importe quel plat.
– Les Sarmale : feuilles de choux, de vigne, de betterave, de radis noir ou de tussilage, farcies de riz, viande, champignons, herbes et légumes.
– La Zacusca : assortiments de légumes, d’herbes et de champignons hachés menu et conservés dans l’huile, le vinaigre ou la saumure. On les sert en apéritif : purée de champignons aux poivrons doux, à la tomate et à l’oignon, purée d’aubergine, etc.
– Les Mititei ou mici : petites saucisses grillées à base de viande hachée, aillée et aromatisée ; à votre retour, vous serez peut-être tenté par la recette des mititei à base de collier et de gras de bœuf haché d’ail, de cumin et de gingembre en poudre et… bicarbonate de soude.
– La Ciorba ţărănească de légume : soupe aigre traditionnellement à base de son fermenté (le fameux borş). Elle met en scène toutes sortes d’ingrédients : betterave, cèpes, herbes aromatiques, pommes de terre, mais aussi lard, bœuf, poulet ou tripes.
La ciorba se trouve aussi en version plus simple : aux haricots, aux lentilles… souvent accompagnées de croûtons.
– Les Muşchi : grillades (grătar) de filet mignon le plus souvent de porc, parfois de vacă (bœuf). Souvent l’un des trois seuls plats proposés dans les restaurants.
– La Plăcinta cu brânză ou brânzoaice : inspirée de la cuisine ottomane, la plăcinta occupe une place de choix sur la table familiale des jours de fête. Entre le borek et le baklava, ce type de feuilleté, salé (à la viande, au fromage et aux herbes), ou sucré et mielleux.
– Les Papanaşi moldoveneşti : des beignets sucrés au fromage blanc et à la vanille, qui se dégustent chauds, avec de la crème fraîche.
– Les Pîrjoale moldoveneşti : boulettes de viande hachée et grillée, avec de l’ail et des herbes.
– Le Cozonac : gâteau brioché aux raisins de Corinthe, aux loukoums, aux noix, au pavot, etc., servi les jours de fête.
– Les fromages : on retrouve le même type de fabrication d’un bout à l’autre du pays. Achetés à la bergerie, le caş et l’urda, au lait de brebis frais, de vache ou de bufflonne, sont fameux et nature. On en trouve en vente le long des routes de montagne. Sur la table, il manque rarement la telemea (fromage de brebis salé, sorte de feta), qui accompagne les tomates.
Si vous résidez en ville, les nuits risquent d’être bruyantes car les chiens errants pullulent. Pensez donc à vos boules Quies…
Évitez les sujets à controverses tels que la religion, la politique ou encore faire l’amalgame entre Gitans et Roumains.
Évitez de parler argent avec les Roumains, particulièrement comptes bancaires et coûts de votre voyage, cela risque d’attirer des personnes malveillantes.
En Roumanie les rues sont propres, on attend une certaine courtoisie et le respect des bonnes manières. Par exemple les hommes doivent ouvrir les portent aux femmes et payer au restaurant même s’il ne s’agit pas d’un repas en amoureux.
Les Roumains sont accueillants et chaleureux envers les étrangers.
Ne déclinez pas une invitations à manger, les Roumains adorent recevoir et refuser est vu comme une insulte.
Il est conseillé de mettre à jour les vaccinations habituelles : diphtérie-tétanos-poliomyélite en incluant Rubéole, Oreillons et plus particulièrement la Rougeole (chez les enfants de moins d’un an et les femmes enceintes notamment).
La vaccination préventive contre les hépatites A et B peut être conseillée, de même que la vaccination contre la fièvre typhoïde, ou le méningocoque , selon la durée et les conditions du séjour.
Selon les lieux fréquentés et la durée du séjour, la vaccination préventive contre l’encéphalite à tique d’Europe centrale pourra être conseillée (séjour en zone rurale ou forestière).
Dans tous les cas, prendre l’avis de son médecin traitant ou d’un centre de conseils aux voyageurs.
La rage sévit de manière endémique en Roumanie : il est vivement conseillé de prendre garde aux animaux errants. Une vaccination préventive peut être évoquée, en particulier en cas de situation d’isolement.
En cas d’épidémie avérée de grippe aviaire, dans la mesure où la Roumanie est un lieu de passage d’oiseaux migrateurs, il est recommandé aux voyageurs d’éviter tout contact avec les volailles et les oiseaux, c’est-à-dire de ne pas se rendre dans des élevages ni sur les marchés aux volatiles.
Les recommandations générales d’hygiène, lors des voyages dans les pays en développement, qui visent à se protéger des infections microbiennes, sont préconisées :
Quelques règles simples
Prévalence significative du VIH-SIDA. Il est recommandé de prendre toutes les précautions d’usage et d’éviter les comportements à risque.
Des cas d’une maladie virale transmise par les moustiques (virus du Nil occidental) ont été rapportés. Cette infection d’allure grippale peut parfois prendre une forme grave (encéphalite virale). Il est conseillé de recourir aux mesures habituelles de protection contre les moustiques.
Risque sismique
La Roumanie, située dans une zone de forte activité sismique, est régulièrement touchée par des tremblements de terre de magnitude supérieure à 7 sur l’échelle de Richter. S’il est impossible de prévoir les séismes, il convient de se préparer au mieux. Les plus fortes secousses peuvent causer d’importants dégâts. La plupart des décès causés par un tremblement de terre résultent surtout de l’effondrement des immeubles, des ponts ou d’autres structures. Les secousses peuvent également provoquer la chute d’objets, ce qui constitue le principal risque de blessures.
Criminalité
Bien que la criminalité de droit commun reste faible, quelques cas d’agressions dans les rues, la nuit, ont été signalés à Bucarest et à Lasi. La prostitution est interdite en Roumanie. Toute interpellation des clients dans ce cadre peut être lourde de conséquences.
Par ailleurs, il est conseillé :
Risques liés aux animaux :
Les montagnes roumaines abritent une population importante d’ours (estimation 6000). Régulièrement, des touristes sont blessés, parfois même mortellement. La plus grande prudence est donc recommandée : il convient d’éviter les cris et les mouvements brusques, de ne pas tenter de s’approcher de l’animal ni de chercher à le nourrir et de lui laisser suffisamment d’espace pour s’enfuir. Si une habitation ou un véhicule se trouvent à proximité, y entrer avec précaution.
Bucarest et la plupart des villes de Roumanie ont la particularité d’abriter un nombre important de chiens errants dont le comportement peut parfois être agressif. En cas de morsure :
Meilleure marché que nombre de pays européens, la Roumanie n’est toutefois plus aussi peu chère que par le passé. Les voyageurs au budget serré pourront économiser sur les repas grâce aux multiples étals de rue vendant des hamburgers, kébabs ou parts de pizza pour 7-12 lei, et sur le logement en dormant dans des cazare (chambres chez l’habitant). Une nuit en chambre basique dans un hôtel moderne coûte 180 lei environ, et un repas au restaurant de 20 à 30 lei. Prévoir un budget de 300 à 450 lei par jour pour un séjour confortable sans les transports.
Moins de 130 lei
– Dortoir en auberge de jeunesse ou pension : 50 lei/personne
– Étals de rue ou repas à faire soi-même : 30 lei
– Ticket de train/bus : 30 lei
– Musées/divers : 10 lei
130-350 lei
– Double dans une pension ou un hôtel de catégorie moyenne : 100 lei/personne
– Repas dans de bons restaurants : 60 lei
– Ticket de train/bus : 30 lei
– Musées/divers : 30 lei
Plus de 350 lei
– Double dans les meilleurs hôtels : 180 lei/personne
– Déjeuner et dîner dans les meilleurs restaurants : 80 lei
Le réseau de transports publics est bien développé. À l’exception des grandes artères urbaines et des autoroutes, les routes sont en mauvais état, mal éclairées, étroites et sans marquage au sol. Il n’est pas recommandé de conduire après la tombée de la nuit, à cause des conditions dangereuses, y compris la présence de bétail errant et de charrettes sans phares tirées par des chevaux. Le code de la route est strict. Les autorités effectuent fréquemment des contrôles routiers. Les voyageurs doivent avoir avec eux le certificat d’enregistrement du véhicule et une preuve d’assurance.
Pour les excès de vitesse (attention ! les contrôles sont très fréquents, même dans les petits villages perdus !) et autres contraventions, le policier rédigera un reçu. Pour vous en acquitter, il suffit de se rendre au commissariat du coin. L’amende est deux fois moins chère si elle est payée sous 48h. Après règlement, le commissariat doit vous délivrer un reçu. La pratique du bakchich est devenue rare, mais on n’ira pas jusqu’à dire qu’elle a été totalement éradiquée.
L’école est gratuite et obligatoire jusqu’à l’école secondaire, ou jusqu’à ce que l’élève atteigne dix-huit ans. L’école générale (I – VIII) dure huit ans. Les élèves passent au lycée pour des études techniques, artistiques ou générales ou ils continuent les études dans des lycées de formation professionnelle qui préparent à des métiers différents. La Roumanie a été l’un des premiers pays d’Europe à rendre l’enseignement gratuit et obligatoire pour tous les enfants, et l’éducation du peuple a toujours été une priorité nationale.
Le système éducatif roumain est en cours de réforme pour entrer en conformité avec les principes et les exigences du Processus de Bologne; de ce fait, il traverse et a traversé une période de transformations majeures. Ces transformations concernent son organisation et son contenu, et elles ont pour but de le rendre compatible avec le système éducatif européen.
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