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Visa – Vous voyagez dans un Pays de l’Union Européenne
Vous êtes ressortissant d’un pays membre de l’Union Europenne :
ou d’un des pays suivants : Australie, Bulgarie, Canada, États-Unis, Islande, Japon, Liechtenstein, Norvège, Roumanie ou Suisse.
1. Documents nécessaires : Vous allez dans un pays de l’espace Schengen, vous devez être muni d’une carte d’identité ou d’un passeport valides ou périmés depuis moins de cinq ans.
Si vous allez dans un pays de l’Union Européenne ne faisant pas partie des pays de l’espace Schengen, vous devez être muni d’une carte d’identité ou d’un passeport en cous de validité.
2. Durée du séjour autorisé : L’obtention d’un titre de séjour demeure nécessaire si vous souhaitez séjourner plus de trois mois dans l’un de l’Union Européenne
3. Enfant mineur : Les mineurs français qui voyagent sans leurs parents au sein de l’Union Européenne doivent être munis d’une Carte Nationale d’Identité ou d’un passeport en cours de validité, ainsi que d’une autorisation de sortie du territoire délivrée par la mairie du lieu de résidence.
Vous N’ETES PAS ressortissant d’un pays membre de l’Union Européenne, vous voyagez dans un pays de l’espace Schengen:
1. Documents nécessaires : vous devez être muni de votre document de voyage (passeport ou Laisser-passer) en cours de validité et être en possession :
d’une Carte de séjour ou d’une Carte de Résident délivrée par un des pays de l’Union Européenne
ou d’un visa unique valable pour toute la zone Schengen délivré par l’ambassade d’un de ces pays dans votre lieu de résidence.
ou d’un visa pour le pays de l’Union Européenne où vous comptez voyager. Pour l’obtention de ce visa vous devez contacter l’Ambassade du pays concerné dans votre lieu de résidence.
Vous devez pouvoir en cas de contrôle, présenter les documents justifiant de l’objet et des conditions de votre séjour.
En outre, vous devez disposer de moyens de subsistance suffisants pour la durée de votre séjour et pour leur retour (devises, carte bancaire internationale, chèques de voyage…)
2. Durée du séjour autorisé : Votre passeport et votre permis de séjour français, chacun en cours de validité, vous accordent un droit de séjour de 3 mois au total par période de 6 mois, hors de la France et à l’intérieur de l’UE. Si vous avez un visa vous devez vous conformer à sa validité.
3. Enfant mineur : Les enfants mineurs de moins de 18 ans, étrangers résidant en France, ne sont pas tenus de posséder un titre de séjour. S’ils désirent voyager, (dans ou hors de l’Espace Schengen) ils doivent se procurer à la Préfecture de Police « un document de circulation » qui devra être accompagné d’un document de voyage (passeport ou Laissez-passer, etc.). Le document de circulation est indispensable, que le mineur voyage seul ou accompagné de l’un ou de ses deux parents.
Limitations en douanes : 200 cigarettes ou 50 cigares ou 250 grammes de tabac, 1 litre d’alcool (+22°), 50 grammes de parfum.Il est interdit d’importer toutes sortes de plantes ou de légumes en Guadeloupe, de même que des denrées d’origine animale en provenance d’Haïti.
Unité monétaire : Euro (EUR) – Code de la monnaie : EUR
Taux de change au 22/02/2016 : 1,00 EUR = 1,11160 USD – 1,00 USD = 0,899600 EUR
Pourboire : A votre guise. Il est toutefois d’usage de laisser entre 10 et 15% de la note.
Lexique usuel hollandais :
– Oui : Ja ;
– Non : Nee ;
– Bonjour : Dag/hallo ;
– Au revoir : Dag/de Mazzel ;
– S’il vous plaît : Alsjeblieft ;
– Merci : Bedankt ;
– Excusez-moi : Pardon ;
– Comment allez-vous ? : Hoe gaat het? ;
– Je ne comprends pas : Ik begrijp het niet ;
– Parlez-vous/parles-tu anglais ? : Spreekt u/spreek je engels ?
Conduite et Permis de conduire
Sigle International : N L
Horaires d’ouverture / de travail : 8H-12H / 14H-18H
Téléphone : Indicatif : 31
N° d’Urgence : 112
Médias :
– Principaux journaux nationaux : 7 quotidiens nationaux dont De Telegraaf, de droite, le plus fort tirage
– Chaînes de télévision publiques et privées : 3 chaînes : 1 publique, 2 privées
– Stations de radio publiques et indépendantes : 5 stations à capitaux privés, nombreuses stations régionales et locales.
Si les Néerlandais sont experts dans la fabrication des produits laitiers, le plat de résistance traditionnel tend à être consistant et essentiellement composé de viande. Fort heureusement, les communautés indonésienne, chinoise, surinamienne, turque et italienne apportent à la cuisine de la couleur et du piment. Les végétariens se sentiront un peu oubliés, même si la plupart des restaurants affichent à la carte au moins un plat sans viande. Les frites sont la spécialité nationale en matière de restauration rapide. Si vous commandez des « frites met » (frites avec), on vous les servira avec de la mayonnaise, comme les déguste un vrai Néerlandais. De septembre à avril, c’est la saison des moules (préparées au vin blanc et accompagnées de frites). Les kroketten (croquettes de viande ou de poisson) et les bitterballen (boulettes de viande) sont des en-cas appréciés dans les pubs. Au printemps, les asperges blanches, servies avec du beurre et du jambon, connaissent un franc succès.
Boisson standard, la bière est servie fraîche et le demi souvent surmonté d’un épais faux col. Le gin hollandais (genever) se boit souvent suivi par un verre de bière : c’est ce qu’on appelle un kopstoot (coup de tête).
Pays au relief plat, la terre y a été en grande partie gagnée sur la mer au fil des siècles et les terrains poldérisés sont protégés par des digues. Plus de la moitié du pays se trouve sous le niveau de la mer et il n’y a que dans la province de Limbourg, dans le Sud-Est, que moutonnent les collines. Les Pays-Bas sont délimités par la mer du Nord, la Belgique et l’Allemagne. Le Rhin, qui se jette dans la mer du Nord à Rotterdam, est le principal fleuve du pays. La densité démographique y est la plus élevée d’Europe (400 habitants par km²). Les quatre principales villes du pays, Amsterdam, La Haye, Rotterdam (premier port mondial) et Utrecht forment une conurbation parmi les plus peuplées du monde, regroupant 90% de la population néerlandaise.
Les Pays-Bas ont connu l’un des pires désastres de leur histoire en 1953, lorsque les digues se sont rompues à Zélande sous l’effet conjugué d’une grande marée et d’une tempête, faisant 1 835 victimes. Depuis, le projet Delta, un dispositif de barrages, de digues et de barrière anti-tempête bloque les deltas du Sud-Ouest. En 1995, 240 000 personnes ont été évacuées dans la région de Nimègue alors que les digues de la Meuse et de la Waal menaçaient de céder après de fortes pluies.
Les conditions sanitaires sont analogues à celles de la France.
La plupart des produits pharmaceutiques ne sont délivrés que sur ordonnance médicale.
Se munir de la carte européenne d’assurance maladie, à demander à votre caisse d’assurance maladie au moins 15 jours avant le départ. Veuillez également consulter le site du consulat général de France à Amsterdam.
Contracter une assurance rapatriement.
Une épidémie de chikungunya s’étend dans les Antilles. Des cas ont été recensés à Saint-Martin (Sint Maarten), Curaçao et Aruba.
Le chikungunya est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques infectés. Elle se caractérise par des symptômes grippaux (fièvre, douleurs musculaires et articulaires).
En prévention, comme pour la dengue, il convient de respecter les mesures habituelles de protection (vêtements longs, produits anti-moustiques à utiliser sur la peau et sur les vêtements, diffuseurs électriques, utilisation de moustiquaires).
Pour plus d’informations sur le chikungunya, consulter le site internet de l’Institut Pasteur.
Aruba, Bonaire, Curaçao et Sint Maarten sont touchés par le virus Zika. Cette maladie est transmise par les piqûres de moustiques de type Aedes. Des cas de transmission du virus par voie sexuelle ont également été rapportés.
Les symptômes de la maladie sont généralement modérés (fièvre, maux de tête, douleurs articulaires, éruptions cutanées) et sont analogues à ceux observés au cours d’autres infections virales telles que la dengue. Toutefois, la survenue de complications graves telles que des cas de microcéphalies chez des nouveau-nés de femmes enceintes infectées par le virus et des complications neurologiques tels que des syndromes de Guillain Barré sont décrites.
Au total, il est notamment recommandé à tous :
Le ministère des Affaires étrangères et du Développement international rappelle que la décision d’annuler ou de maintenir un voyage à l’étranger appartient au seul voyageur.
En savoir plus :
1/ Risque de transmission par voie sexuelle : site du Haut conseil de la santé publique
2/ Dossier d’informations sur la maladie à virus Zika (site du ministère des affaires sociales, de la Santé et des droits des femmes).
3/ Recommandations pour les femmes enceintes (site du ministère des affaires sociales, de la Santé et des droits des femmes).
4/ Recommandations pour la prévention des piqures de moustiques
Traditionnellement considérés comme un pays « sans risques », les Pays-Bas restent relativement sûrs, ayant un taux de délinquance assez peu élevé, comparable à celui de la France, mais, comme tout autre pays, ils ne sont guère à l’abri de violences (assassinat du dirigeant populiste Pim Fortuyn, en mai 2002, meurtre du cinéaste Théo Van Gogh, en novembre 2004, attentat contre la reine à Appeldoorn en avril 2009, règlements de comptes en 2014 à Amsterdam), ou d’accidents divers (dans les transports en commun, à vélo, catastrophes naturelles liées notamment à la vulnérabilité face à la mer, accident d’un avion de la Turkish Airlines à l’aéroport de Schiphol en février 2009…).
De manière spécifique, le voyageur doit tenir compte des vols sous la menace d’arme blanche, des vols à la tire ou plus simplement des vols à la roulotte. Le phénomène touche en premier lieu les grandes villes, parmi lesquelles Amsterdam et le secteur touristique du centre-ville (dont le « quartier rouge », à proximité de la gare), ou Rotterdam et son secteur commerçant, près de la gare centrale. Certains quartiers périphériques peuvent aussi s’avérer risqués pour les personnes qui y sont étrangères. Il s’agit pour Amsterdam du secteur ouest de Sloter, bien qu’il évolue, du secteur de Nieuwezijds Voorburgwal, également en transformation, et de Duivendrecht, au sud, et, pour Rotterdam, des quartiers au sud de Feijenoord. Les pickpockets visent souvent les voyageurs en transit à l’aéroport de Schiphol et dans les trains entre Rotterdam, La Haye et Amsterdam. En outre, une attention particulière s’impose à bord du Thalys, surtout à partir d’Anvers.
Attention à la vente illégale de drogues dures à Amsterdam :
En novembre 2014, plusieurs décès aux Pays-Bas ont fait suite à l’achat illégal de stupéfiants. Trois ressortissants britanniques sont décédés après avoir inhalé de l’héroïne blanche, en pensant qu’il s’agissait de cocaïne. Plusieurs dizaines de personnes ont été hospitalisées en urgence.
En février 2015, trois personnes ont dû être hospitalisées après avoir consommé de l’héroïne blanche achetée à des trafiquants dans la rue.
Il est rappelé que la consommation et la vente de drogues dures sont illégales aux Pays-Bas : l’achat et la détention peuvent valoir des poursuites judiciaires et des peines de prison aux contrevenants. Les vendeurs de rue, qui ciblent particulièrement les touristes, peuvent chercher à escroquer les acheteurs (farine, sucre, cachous, herbes, etc.), leur vendre des drogues de mauvaise qualité, mais aussi des produits hautement toxiques, voire mortels. La transaction peut également être l’occasion d’intimidations ou de vols.
En cas d’urgence, les voyageurs sont invités à alerter le 112.
Phénomènes liés à la drogue :
D’une façon générale, il convient d’être vigilant à l’encontre des rabatteurs qui invitent les étrangers à les suivre pour leur vendre des produits stupéfiants. Ils sont très actifs dans les gares, les quartiers touristiques mais aussi sur les autoroutes du sud du pays (Hollande du Sud, dans la région de Rotterdam, Brabant, à Roosendaal ou Breda ; Zélande, à Terneuzen ; Limbourg, près de Maastricht), où leur conduite agressive provoque parfois des accidents graves. Le fait d’accepter de suivre un rabatteur est toujours risqué : agressions possibles, interpellation par la police néerlandaise et risques de condamnations à des peines d’emprisonnement si le touriste a été trouvé en possession de produits stupéfiants.
Interdiction de porter des couteaux (lames de plus de 18 cm) ainsi que des bombes lacrymogènes et des radios amateurs (27 MC).
La fraude informatique est considérée comme une menace majeure par les services de police des Pays-Bas, sur tout le territoire. Outre les dispositifs connus de « skimming » (capture des données de carte bancaire, notamment par ajout de structures amovibles sur les distributeurs de billets), de hameçonnage (« phishing ») ou de piratage téléphonique, il y a lieu d’être particulièrement vigilant à l’égard des pourriels (« spam ») et des courriels frauduleux porteurs de malware (malicious software) ou renvoyant vers de faux sites internet de banques ou d’organismes officiels, demandant des données personnelles. Les internautes et les usagers des cybercafés sont invités à faire preuve d’une vigilance particulière.
La nuit de la Saint-Sylvestre donne lieu à des manifestations festives dans les rues qui dégénèrent assez fréquemment en actes de violence et/ou de dégradation. Des débordements ne sont pas non plus à exclure lors de manifestations sportives ou populaires (fête du Roi, Gay Pride, etc.).
Un organisme d’assistance aux touristes en difficulté est localisé à Amsterdam. Il défend les intérêts des touristes, congressistes et hommes d’affaires étrangers agressés (vol avec violence, cambriolage) ou victimes d’accidents de la circulation, et traite les cas de disparition (des personnes ou des biens) : ATAS au 020-625.32.46 ou 06-46.62.56.80. Pour qu’une assistance puisse être mise en œuvre, une déclaration doit être faite au préalable, auprès de la police.
Le coût de la vie est sensiblement le même qu’en France. Néanmoins les Pays-Bas sont accessibles à tous les budgets. Il y a toujours possibilité de se loger à partir de 20 euros pour une nuit. Mais pour davantage de confort, il vous faudra payer plus du double. Une dizaine d’euros suffira pour vous nourrir aux Pays-Bas à condition de vous rendre dans des « eetcafés » ou kiosques où la nourriture est peu variée mais copieuse. Au contraire, les restaurants, traditionnels notamment, coûtent assez cher. Il faut compter 25 euros au minimum pour un menu complet.
Moins de 100 €
Lit en dortoir 22-35 €
Chambre privative à moins de 60€
Repas achetés au supermarché et plats du jour 15 €
promenades gratuites
100-200 €
Chambre double 100 €
Repas dans un restaurant simple 30 €
Billets de train et de musée 20 €
Plus de 200 €
Chambre double en hôtel de luxe 160 €
Dîner dans un restaurant haut de gamme 60 €
Billets de train en première et visites guidées 40 €
Les Pays-Bas ne sont pas bien loin au Nord de la frontière franco-belge. Pour vous donnez un ordre d’idée, il n’y a que 300 km entre Lille et Amsterdam. Plusieurs moyens de transports s’offrent à vous. Chacun a ses avantages. Si vous habitez au Nord de la France, le train et la voiture seront à privilégier. Si vous venez du Sud de la France, l’avion pourra être plus intéressant.
En avion
Depuis la France, il existe des vols directs uniquement à destination d’Amsterdam. Air France / KLM assurent des liaisons depuis Lyon, Paris, Marseille et Toulouse.
Si vous habitez une autre ville et/ou si vous devez vous rendre dans d’autres villes néerlandaises (Rotterdam, La Haye), vous aurez forcément une correspondance. Mais, dans ce dernier cas, le mieux est de prendre un billet pour Amsterdam et de poursuivre avec les trains express qui relient l’aéroport de Schiphol aux gares centrales des grandes villes.
Ce mode de transport, certes rapide (de 1h15 à 2h15 de vol selon votre provenance), vous coûtera de 200 euros à 600 euros.
En train
Un train direct, au départ de Paris-Gare du Nord, dessert les principales villes des Pays-Bas: Rotterdam (3h10), La Haye (3h30) et Amsterdam (4h15). Hormis les 6 trajets directs quotidiens, il existe des trains avec correspondance à Bruxelles. Dans ce cas, comptez une demi-heure de plus de trajet.
Dans tous les cas, vous arriverez directement dans le centre ville. Il s’agit donc là du moyen de transport le moins contraignant (pas de transfert ni de temps d’attente).
Côté budget, il faut compter entre 180 euros et 220 euros l’aller retour, si vous ne pouvez bénéficier d’aucune réduction. Mais, à l’occasion d’offres promotionnelles, vous pourrez obtenir un billet aller-retour Paris-Amsterdam pour 120 euros, voire moins en période exceptionnelle. Pour cela, vous devez vous y prendre 2 mois à l’avance et être sûr de ne pas annuler votre voyage. Ce type de billet n’est ni échangeable ni remboursable.
En voiture
Le trajet en voiture jusqu’aux Pays-Bas se fait sans encombre. Le plus direct consiste à quitter la France par Lille en suivant l’autoroute E17. Une fois en territoire belge, il ne vous faudra rouler que 150 km pour arriver à la frontière néerlandaise, via l’E17 puis la R1 et l’E19 (toutes deux dans la continuité de l’E17). L’E19 vous conduira jusqu’à Rotterdam et La Haye. Pour Amsterdam, il faudra poursuivre sur l’A27, l’A2 et l’A10.
Sachez que les réseaux autoroutiers belges et néerlandais sont gratuits, raison de plus pour privilégier ce moyen de transport. Mais une fois sur place, notamment à Amsterdam, votre véhicule ne vous sera plus d’une grande utilité.
En car
Des compagnies de transports de tourisme proposent des trajets vers les Pays-Bas depuis plusieurs villes de France. Dans ce cas, le trajet sera un peu plus long et inconfortable mais il vous coûtera moins cher.
Ce transport représente une bonne solution pour les jeunes voyageurs.
Aeroports
L’aéroport de Schipol à Amsterdam dispose d’un service de taxis. Il se trouve à 15 km du centre-ville et plusieurs lignes de bus desservent la ville.
L’aéroport d’Eindhoven se situe à 8 km du centre ville, le Bus Hermes n°11 assure la liaison entre l’aéroport et le centre ville.
L’aéroport de Rotterdam dispose de taxis, le trajet vous coutera entre 20 et 25 euros jusqu’au centre ville. Vous pouvez également prendre le bus pour environ 3,40 euros.
Transport sur place
Pour circuler à travers le pays vous pouvez choisir la voiture ou bien le train pour des prix très intéressants.
En revanche, pour vous promener dans les villes préférez plutôt utiliser le tramway ou bien le vélo et laissez votre voiture au parking.
La loi néerlandaise rend obligatoire la scolarisation de tous les enfants âgés de 5 à 16 ans résidant aux Pays-Bas, indépendamment de leur nationalité.
Plusieurs écoles internationales sont en partie subventionnées par le Ministère de l’Enseignement, de la Culture et des Sciences, et sont ainsi soumises aux règlements du ministère. Cela veut dire qu’elles sont soumises à l’inspection du ministère et que les professeurs doivent se conformer aux exigences prévues par ce dernier.
Le système d’enseignement néerlandais
L’enseignement primaire néerlandais ou basisschool, s’adresse aux enfants âgés de 4 à 12 ans. Les écoles primaires et secondaires, publiques ou privées, sont subventionnées par l’Etat. La plupart des écoles privées sont catholiques ou protestantes, mais il existe aussi d’autres écoles religieuses (juives, musulmanes, etc.). Les méthodes éducationnelles Montessori, Jena Plan ou Dalton sont appliquées dans certaines écoles privées. Plusieurs écoles néerlandaises offrent un programme d’enseignement bilingue.
L’enseignement secondaire néerlandais comprend quatre voies différentes :
-l’enseignement préparatoire à l’enseignement professionnel moyen VMBO ou voorbereidend middelbaar beroepsonderwijs (4 ans)
-l’enseignement professionnel moyen MBO ou middelbaar beroepsonderwijs (3-4 ans)
-l’enseignement secondaire général HAVO ou hoger algemeen voortgezet onderwijs (5 ans)
-l’enseignement pré-universitaire VWO ou voorbereidend wetenschappelijk onderwijs (6 ans)
Tous ces types d’enseignement s’adressent aux enfants âgés de 12 ans et plus.
L’enseignement primaire
L’enseignement primaire (basisschool) débute dès l’âge de 4 ans (mais n’est obligatoire qu’à partir de 5 ans) jusqu’à l’âge de 11 ou 12 ans. Les écoles publiques néerlandaises et les écoles internationales subventionnées par l’état néerlandais appliquent le Programme Primaire (PP) international, le Programme Primaire de l’Organisation du Baccalauréat International (IBO), ou une combinaison des programmes scolaires anglais et néerlandais. Les écoles privées appliquent le programme d’études international ou leur programme local (américain, anglais, français, allemand, japonais, etc.). Il y a des écoles privées aux systèmes d’éducation comme Montessori, Jenaplan ou Dalton.
L’enseignement secondaire
L’enseignement secondaire aux Pays-Bas (middelbare school) se divise en quatre niveaux:
-l’enseignement préparatoire à l’enseignement professionnel moyen VMBO (4 ans)
-l’enseignement professionnel moyen MBO (3-4 ans)
-l’enseignement secondaire général HAVO (5 ans)
-l’enseignement pré-universitaire VWO (6 ans)
Durant les quatre ou cinq premières années de l’enseignement secondaire international, les écoles publiques préparent les élèves au International General Certificate of Secondary Education (IGCSE)’ ou au Programme de Premier Cycle Secondaire (PPCS) de l’Organisation du Baccalauréat International (IBO). L’ IGCSE est un diplôme qui est reconnu dans le monde entier. Son niveau est légèrement supérieur au British GCSE ou au HAVO néerlandais (à condition que les élèves aient complété au moins 6 disciplines à un niveau élevé). Les élèves ayant réussi l’IGCSE ou le Programme de Premier Cycle Secondaire (PPCS) de l’IBO pourront prétendre à l’accession au programme du diplôme du Baccalauréat International (BI), un programme d’études exigeant qui s’étend sur deux ans. Le diplôme BI de l’IBO est reconnu dans le monde entier et prépare les élèves à des études supérieures.
L’enseignement secondaire bilingue
L’enseignement secondaire avec section bilingue (surtout anglais et néerlandais, mais aussi néerlandais avec français, allemand et espagnol) offre un programme bilingue se basant sur l’enseignement secondaire de type HAVO et VWO. En plus des langues enseignées, les autres disciplines regroupant les sciences, les lettres, l’art et l’éducation physique, sont enseignées dans les langues étrangères.
L’enseignement secondaire professionnel
Les élèves de l’enseignement préparatoire à l’enseignement professionnel moyen (VMBO) peuvent, après l’obtention de leur diplôme IGCSE ou celui du Programme de Premier Cycle Secondaire (PPCS) de l’IBO, suivre l’enseignement secondaire professionnel destiné aux élèves de 16 à 18 ans (MBO) pour apprendre un métier.
Trois programmes enseignés en langue anglaise sont actuellement proposés à La Haye par le groupe Mondriaan pour les secteurs de l’Hôtellerie/restauration, du Commerce International et du Tourisme et Loisirs.
L’enseignement supérieur
L’enseignement supérieur aux Pays-Bas regroupe deux types principaux :
-l’enseignement supérieur professionnel HBO ou hoger beroepsonderwijs, aussi appellé Hogescholen (universités professionnelles). Après avoir obtenu le diplôme BI de l’IBO (et dans certains cas l’IGCSE), les élèves peuvent opter pour les Hogescholen pour un enseignement professionnel. La Haagse Hogeschool de La Haye offre plusieurs programmes enseignés en langue anglaise. Pour en savoir plus, visiter le site haagsehogeschool.nl.
-l’enseignement universitaire WO ou wetenschappelijk onderwijs, proposé dans les universités de Maastricht, Eindhoven, Tilburg, Nijmegen, Enschede, Wageningen, Groningen, Utrecht, Amsterdam (deux universités : UvA, VU), Leiden, Delft, Rotterdam et Middelburg.
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