Acropole d’Athènes (1987) ; Centre historique (Chorá) avec le monastère de Saint Jean « le théologien » et la grotte de l’Apocalypse sur l’île de Patmos (1999) ; Délos (1990) ; Monastères de Daphni, de Hosios Loukas et Nea Moni de Chios (1990) ; Monuments paléochrétiens et byzantins de Thessalonique (1988) ; Pythagoreion et Heraion de Samos (1992) ; Sanctuaire d’Asclépios en Epidaure (1988) ; Site archéologique d’Aigai (nom moderne Vergina) (1996) ; Site archéologique d’Olympie (1989) ; Site archéologique de Delphes (1987) ; Site archéologique de Mystras (1989) ; Sites archéologiques de Mycènes et de Tirynthe (1999) ; Temple d’Apollon Épikourios à Bassae (1986) ; Vieille ville de Corfou (2007) ; Ville médiévale de Rhodes (1988).
Le Cap Sounio : les plages et les oliviers. La Crète (Kriti) : Héraklion, sa gastronomie. Egine (Egina) : c’est une petite île en face d’Athènes. Île de Mykonos : ses ânes et ses couleurs blanc et bleu. Île de Santorin : c’est l’île la plus célèbre des Cyclades. La Canée (Chania) : son port vénitien et sa vieille ville pittoresque. Les météores : son monastère dans les montagnes (Centre de la Grèce). Rhodes : jolie île près de la Turquie.
Sports nautiques: Excellents équipements sur tout le littoral continental et surtout dans les îles. Presque tous les grands hôtels faciliteront les arrangements. Le ski nautique est très populaire: Il existe plus de 30 écoles de ski nautique en Grèce, avec restaurants et garderies pour les enfants. Possibilité de louer des hors-bord. Dans le souci d’éviter le pillage des antiquités sous-marines, la plongée en indépendant est strictement interdite. Elle n’est autorisée que sous l’égide d’une école de plongée dûment agréee. La plongée avec tuba est permise presque partout.
Pêche: Les eaux grecques sont poissonneuses, surtout en été et en automne. Bateaux et équipements dans la plupart des villages.
L’alpinisme fait de plus en plus d’adeptes. Possibilités de randonnées et d’escalade. Pistes et sentiers sont bien entretenus dans les zones les plus fréquentées, sans oublier les sentiers muletiers et chevriers qui relient les villages et traversent les cols. Les meilleures randonnées se font dans le Péloponnèse, les Monts Pindos et le sud et l’ouest de la Crète. Les sites archéologiques sont si nombreux que le visiteur rencontrera souvent des ruines et vestiges de civilisations disparues. Dans les régions les plus reculées, la présence d’un guide est souhaitable. Il existe plus de 7.000 grottes karstiques dans le pays, la plupart en Crète.
Dans les grandes villes il y a beaucoup de spectacles et de discothèques. Les lieux qui proposent de la musique traditionnelle au bouzouki sont très populaires. Il y a plusieurs casinos comme le Mont Parnasse à Athènes, le casino Corfu à Corfou ou le casino du Grand Hôtel Astir à Rhodes.
En règle générale, les souvenirs sont relativement chers car ils sont fabriqués principalement pour les touristes. Il faut faire attention aux prix des articles dans certains magasins. Même quand ils sont affichés, ils changent parfois… à la caisse. Objets d’artisanat : tapis, sacs tissés à la main, poteries et céramiques, étoffes. Komboloï : peut-être le plus vieux gadget au monde. Sorte de chapelet que l’on égrène pour occuper les doigts. On peut l’acheter dans certains kiosques à journaux et dans les nombreux magasins pour touristes. Bijoux en argent : spécialité de Ioannina.
Huile d’olive : en bidon de 1 l, 2 l ou 4 l. Il y aurait 140 millions d’oliviers en Grèce… Chaque coin de Grèce se dispute l’honneur d’avoir la meilleure huile.
Miel de thym : excellent et moins cher qu’en France. Spécialités locales : un peu partout, on trouve à acheter des « douceurs », des petits fruits dans une sorte de sirop (en grec glyka koutaliou) que les Grecs servent avec le café. Se vendent en petits pots comme de la confiture. Parmi les musts : vyssino (griotte), nérantzi (orange amère), kydoni (coing) et milo (pomme, souvent parfumée d’un clou de girofle). Et, bien entendu, l’ouzo… céramiques, assiettes à Lindos, poteries d’Arhangélos, tapis, sculptures en bois d’olivier, broderies, dentelles, sacs en cuir, ouzo, miel de thym.
La pratique découle d’un mythe grec antique dans lequel la déesse de la discorde, Eris, était contrariée qu’elle n’a pas été invitée au mariage de Pélée et de Thétis. Pour se venger, elle a jeté une pomme en or portant l’inscription «pour la plus belle » dans la fête du mariage.
Trois déesses ont revendiqué la pomme; Héra, Athéna et Aphrodite. Pâris de Troie a alors été nommé pour sélectionner le destinataire. Il a été soudoyé par les trois déesses, mais a accepté le pot de vin d’Aphrodite qui lui a promis la plus belle femme du monde, Hélène de Sparte, provoquant ainsi indirectement la guerre de Troie.
Depuis lors, la pomme a été considérée comme sacrée à Aphrodite, la déesse de l’amour. Jeter une pomme était la façon symbolique de déclarer l’amour et attraper cette pomme signifiait la réciprocité de cet amour.