Avant le départ
En cours de saisie
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Le Service d’Etat des Migrations du Turkménistan est le seul organisme en charge de la délivrance des lettres d’invitation et des visas. Il est également en charge de l’enregistrement des étrangers et de leur contrôle durant leur séjour.
Le délai d’obtention d’une lettre d’invitation peut être long (trois à quatre semaines).
L’accès au territoire turkmène se fait sur présentation d’un passeport dont la durée de validité est d’au moins six mois.
Il doit également être revêtu d’un visa qui est délivré par l’Ambassade du Turkménistan à Paris sur présentation d’une invitation délivrée par le Service d’Etat des Migrations à la demande de la partie invitante (agence de voyage, particuliers, entreprises). Sur présentation de la lettre d’invitation (ou de sa copie), le visa peut être obtenu à l’aéroport d’arrivée et au port de Turkmenbachy.
Transiter par le Turkménistan nécessite l’obtention d’un visa de transit.
La région de Dashogouz et toutes les zones frontalières du Turkménistan font l’objet de restrictions particulières et nécessitent une autorisation spéciale. Elle peut être obtenue avec le visa ou après l’arrivée sur le territoire.
20 postes frontières sont actuellement ouverts : 9 avec l’Iran, 3 avec l’Ouzbékistan, 1 avec le Kazakhstan, 2 maritimes avec le Russie et 3 avec l’Azerbaïdjan. Sauf mesures particulières, les postes frontières sont ouverts tous les jours de 9h à 18h.
Deux postes frontières existent avec l’Afghanistan, les voyages en Afghanistan sont absolument déconseillés.
Il convient de se renseigner auprès de l’Ambassade du Turkménistan en France pour connaître le tarif des visas.
Une taxe, en supplément du prix du visa, doit être payée à l’entrée dans le pays (12 dollars).
Double nationalité : Le Turkménistan ne reconnaît pas la double nationalité (sauf pour les citoyens russes). Les visiteurs tentant d’entrer et de sortir du pays en présentant deux passeports différents pourraient rencontrer des difficultés et ne pas être autorisés à quitter immédiatement le pays.
Enregistrement / Désenregistrement
Tout étranger séjournant au-delà de trois jours, doit, dans un délai de trois jours suivant son arrivée, se faire enregistrer auprès du Service des Migrations. Cette formalité est indispensable et doit être effectuée par l’employeur, l’organisation ou la personne ayant demandé l’invitation. Pour les touristes ayant fait appel à une agence de voyage, celle-ci s’en charge généralement.
Les titulaires d’un visa de transit supérieur à cinq jours sont soumis à cette même obligation. Les titulaires d’un visa de transit inférieur ou égal à cinq jours peuvent se faire enregistrer à l’entrée et à la sortie du pays.
Le délai de trois jours court à compter du lendemain de l’arrivée. Le samedi, le dimanche et les jours fériés ne comptent pas.
Le formulaire d’enregistrement doit être conservé en permanence dans le passeport pour être présenté à toute réquisition. Il sera restitué au poste frontière du point de sortie. Le non-respect de cette formalité peut, au moment de quitter le territoire turkmène, conduire à une amende, une expulsion assortie d’une interdiction de séjour d’une à plusieurs années, voire à une incarcération.
Les hôtels ne peuvent pas procéder à l’enregistrement des étrangers.
Il est également nécessaire de se « désenregistrer » (se renseigner lors de l’enregistrement), au moment de quitter le pays.
La vaccination contre la fièvre jaune est exigée de tout ressortissant en provenance d’un pays touché par cette maladie.
Vaccinations conseillées : diphtérie, tétanos, poliomyélite, hépatites A et B, typhoïde et méningite.
Quelques cas de rage sont signalés.
Limitations en douanes : Il y a interdiction absolue d’importer des armes, des munitions, des narcotiques, des médicaments psychotropes, des productions pornographiques et tout document susceptible de « porter préjudice aux intérêts politiques et économiques du Turkménistan, à sa sécurité et à la protection de la santé et de la moralité publique ».
Toute importation de littérature de nature religieuse est soumise à une autorisation préalable du conseil des affaires religieuses.
Il est interdit d’exporter des pierres précieuses sans autorisation préalable, des chevaux de race, des chiens de berger d’Asie Centrale, des objets anciens d’orfèvrerie et d’artisanat. Contrôle exercé sur le commerce du caviar.
L’exportation de tapis est très contrôlée. Les tapis anciens (plus de 50 ans) sont interdits à l’exportation. Les tapis plus récents peuvent être exportés sur présentation aux services douaniers, au moment de quitter le territoire, d’une autorisation délivrée par le Musée des Tapis d’Achgabat, après expertise. L’expertise peut prendre plusieurs jours. Dans les magasins d’Etat, les biens ont déjà été expertisés. Certains magasins de la capitale sont aussi autorisés à délivrer directement l’autorisation d’exportation.
L’exportation d’œuvres d’art fait aussi l’objet d’une autorisation et du paiement d’une taxe.
Les automates internationaux de retrait sont très rares au Turkménistan. Il est uniquement possible de retirer de l’argent avec une carte internationale dans les lieux suivants (avec une commission) :
• Vnechecomombank (State Bank for Foreign Economic Affairs of Turkmenistan), 32 avenue Garashsyzlik, Achgabat. Tél : +993 12 40 65 41 / 40 61 75. Fax : +993 12 40 65 95. (Carte Visa uniquement)
• Senagat Bank (Banque de l’Industrie), 42 avenue Turkmenbachy, Achgabat. Tél. +993 12 45 31 30 ou 33. (Master Card uniquement)
• Hôtel Sofitel Oguzkent : 231 Bitarap Turkmenistan, Achgabat. Tel : +993 12 44 95 00. Fax : +993 12 44 95 01 (Carte Visa uniquement, automate délivrant des manats)
L’usage des cartes bancaires comme moyen de paiement est inexistant (en dehors des hôtels). Les paiements se font généralement en manats à l’exception des chambres d’hôtel, billets d’avion, certains restaurants qui peuvent se faire en US dollars.
Transfert d’argent : les transferts d’argent sont possibles via Western Union.
Unité monétaire : Manat turkmène (TMT)
Taux de change : 1,00 EUR = 3,79748 TMT ; 1,00 TMT = 0,263345 EUR
Le taux de change dollar/ manat est fixe : 1US $ = 2,84 nouveaux manats
Il est conseillé, avant d’entrer au Turkménistan, de se munir de dollars en espèces récents et en bon état.
Il est très difficile de changer des euros.
Conduite : Il est conseillé de se faire établir, avant de venir au Turkménistan, un permis de conduire international auprès de sa préfecture. La section consulaire de l’Ambassade de France ne peut pas délivrer de permis international. L’alcool au volant est interdit (tolérance 0) ; les tests d’alcoolémie sont fréquents et peuvent entraîner une arrestation s’ils s’avèrent positifs.
Assurance : l’assurance au tiers est obligatoire. En cas d’accident mineur n’impliquant que des dégâts matériels légers, l’arrangement à l’amiable est souvent préféré par les Turkmènes. En cas d’accident faisant des blessés graves ou entraînant la mort, les assurances ne couvrent que peu ou pas du tout le dommage. En dépit de ce contexte, les ressortissants étrangers, propriétaires d’une voiture, sont invités à s’assurer.
La limitation de vitesse en ville est de 60 km/h et de 110 km/h sur voie rapide. A proximité des postes de contrôle de police (PYG), la vitesse est réduite à 30 km/h. Les contrôles radar sont fréquents.
Un véhicule « sale », l’absence de trousse de pharmacie ou d’extincteur peuvent faire l’objet d’amendes.
Il existe des risques d’extorsion d’argent de la part de la police de la route à l’occasion de contrôles routiers.
Lexique Turkménistan
Bonjour / Au revoir : Salam aleykum / Sag bol
Merci : Tangyr
Combien ça coûte ? : Nyache?
Où est la station de bus? : Durolha nirede?
Je ne comprends pas : Men size dushunmedim
Sigle International : Code ISO 3166-1 : TKM, TM
Téléphone – Indicatif : +993
Les communications téléphoniques peuvent se révéler difficiles (ex : coupure, échos), en particulier en dehors de la capitale, et sont sous étroite surveillance.
Électricité : Le courant électrique au Turkménistan est de 220 Volts. Les prises étant identiques à celles de la France, l’adaptateur n’est pas nécessaire.
Internet : Le suffixe internet .tm
le réseau est peu développé. Dans la capitale, il existe quelques rares cafés internet. Pour y accéder, il faut présenter un document d’identité. Il est recommandé d’acheter une clé 3G auprès de l’un des deux opérateurs TM Cell et MTS afin de disposer d’un accès à internet. Le réseau est lent et certains sites sont inaccessibles.
Certains hôtels proposent des accès Wifi. La salle informatique du Centre Culturel Français du Turkménistan est équipée d’ordinateurs avec accès internet.
Nos d’Urgence : Pompiers : 01 ; Police : 02 ; Ambulance : 03
Médias :
Principaux journaux nationaux :
Eurasia Insight Turkmenistan
NEYTRALNIY TURKMENISTAN
IRIN Turkmenistan
News Central Asia
Turkmenistan News.Net
Turkmenistan.ru
Comme dans les autres pays d’Asie centrale, le plov (riz, viande et carottes) et les chachliks constituent les plats de base dans tout le Turkménistan. Le plov est cuisiné avec de l’huile de coton, ce qui lui donne un goût particulier, et les chachliks sont cuits de préférence sur des branches de saxaul. Parmi les autres en-cas prisés figurent les samsa (chaussons farcis de viande) et une variante plus grande et ronde, la fitchi.
Parmi les plats traditionnels figurent le dograma (composé de pain, de morceaux de viande bouillie et d’oignons), la chorba (soupe de mouton, de pommes de terre, de navets et de carottes) appelée parfois chorpa, et les manty (raviolis), servis avec de la crême aigre.
Le pain (cörek) est rond, plat et délicieux à la sortie du four, mais durcit vite. Respecté et entouré de superstitions, il ne doit jamais être servi ou posé à l’envers et même les miettes sont ramassées et conservées en lieu sûr. Ne jetez jamais un morceau de pain et, si vous souhaitez vous en débarrasser, ne le laissez pas dans un endroit où il pourrait être piétiné.
Le cörek est cuit dans un tamdyr, un grand four en terre également considéré comme sacré. Détruire un vieux tamdyr porte malheur ainsi les laisse-t-on simplement se détériorer.
Dans le désert le petit-déjeuner se compose de lait aigre ou de chal (lait de chamelle fermenté).
L’hospitalité turkmène est le signe le plus définissant de ce peuple amical. Les Turkmènes mettent une bonne ou mauvaise opinion de la personne selon des accueils des visiteurs. On salue l’hôte par la phrase «Khoch geldiniz!» et, de plus on prononce les phrases rituelles : «Comme nous sommes contents de vous voir! Nous avons l’honneur de vous accueillir!»
Photographier les bâtiments officiels (ex. théâtres, statues, etc.) est autorisé.
Il est interdit de photographier des bâtiments considérés comme stratégiques ainsi que les gardes assignés à leur protection (ex : aéroport, installations militaires ou de police, résidence du président, etc.).
Avant toute prise de vue, il est préférable, par courtoisie, de s’assurer qu’il n’y a pas de restriction particulière en s’adressant aux policiers et gardes présents dans les rues et près des bâtiments officiels.
La nappe, sur qui les maîtres mettent les plats avec la nourriture, est sacrée, et marcher sur elle est un péché. Avant de commencer à goûter la nourriture, chacun célèbre les louanges au Dieu.
Les Turkmènes considéraient toujours le pain et le sel comme les produits sacrés. Marcher sur eux est un signe du malheur.
Les Turkmènes mettent haut la notion de l’honneur. Ils aiment répéter «Mon honneur est un honneur de ma famille, de ma tribu, de mon peuple». Les Turkmènes ont l’esprit de la parenté qui est très fortement développé.
Les Turkmènes est le peuple très moral. Ils cultivent l’hospitalité, le respect des aînés, la modestie, la noblesse d’âme, la véracité, l’honnêteté, le courage, la générosité chaleureuse.
Selon la coutume, lorsque l’on entre dans une maison turkmène, il est de bon ton de se déchausser et de s’asseoir à même le sol.
Consultez votre médecin traitant avant le départ et contractez une assurance de rapatriement sanitaire.
Vaccinations conseillées : diphtérie, tétanos, poliomyélite, hépatites A et B, typhoïde et méningite.
Il est formellement déconseillé de boire de l’eau du robinet, non potable.
Il est recommandé de consulter un médecin en cas de diarrhées afin de prévenir tout risque de déshydratation.
Il convient de consulter son médecin traitant avant le départ et de constituer une « pharmacie de base » à emporter avec soi. La qualité des médicaments n’est pas assurée au Turkménistan. Si vous prenez régulièrement des médicaments, emportez-en une quantité suffisante avec vous et voyagez avec l’ordonnance.
Les infrastructures sanitaires sont insuffisantes. En cas de maladie grave ou d’accident, le rapatriement sanitaire s’impose. Dans les hôpitaux turkmènes, tous les soins, hébergements, linges, médicaments et nourritures sont à la charge des patients étrangers.
La présence policière est importante à Achgabat. En ville comme en province, il est toutefois recommandé d’appliquer les règles de prudence élémentaire suivantes :
La loi turkmène punit sévèrement la prostitution et le proxénétisme, et son interprétation par les autorités est très large. Des étrangers ayant des relations avec des jeunes femmes turkmènes, quelle que soit leur nature (tarifée ou librement consentie, de longue durée ou passagère), peuvent être arrêtés et condamnés à ce titre.
Déplacements dans le pays
Le tourisme est peu développé au Turkménistan.
Les déplacements en dehors de la capitale, sans accompagnateur, sont possibles mais il est fortement recommandé de recourir aux services d’une agence de tourisme et de loger dans des hôtels. Le tourisme individuel et le logement chez l’habitant ne sont pas une pratique courante.
Lors d’un voyage itinérant, les voyageurs doivent se faire enregistrer à chaque étape auprès du Service d’Etat des Migrations. Les contrôles de police sont fréquents et un défaut d’enregistrement peut entraîner le paiement d’une amende importante.
Il est formellement déconseillé de se rendre dans la zone frontalière avec l’Afghanistan (cf.carte ci-dessous).
L’accès à toutes les zones frontalières et à la région de Dashogouz est réglementé et nécessite l’obtention d’une autorisation spéciale :
Le Turkménistan a été épargné, jusqu’à ce jour, par des attaques terroristes. Compte tenu en particulier de sa situation géographique, ce risque ne peut toutefois être écarté, même si son statut de pays neutre lui confère a priori une certaine protection.
Le Turkménistan se trouvant dans une zone d’activité sismique, il est recommandé, en cas de déclenchement d’un séisme, de suivre les recommandations d’usage.
En général, les hôtels du pays peuvent se diviser entre les monstres délabrés de l’époque soviétique et les nouveaux trois ou quatre-étoiles construits depuis l’indépendance. Les Turkmènes bénéficient d’un tarif réduit, habituellement de 60 à 80% moins cher que celui facturé aux étrangers. Ainsi, si vous devez payer l’hébergement de votre guide, cela ne devrait vous coûter que quelques dollars. Au Turkménistan, les étrangers doivent payer les hôtels en dollars US et en espèces, excepté dans la poignée d’hôtels acceptant les cartes de crédit.
Attendez-vous à payer pour tout service supplémentaire ; le petit-déjeuner est rarement inclus, de même que l’accès à la piscine ou à la salle de gymnastique. Les touristes n’ont pas le droit de séjourner dans une maison privée si la ville comprend un hôtel officiel ; des voyageurs ont eu des problèmes pour avoir logé chez une famille ou dans une pension sans licence. Cette loi ne s’applique pas aux voyageurs avec un visa de transit. Les grands espaces turkmènes se prêtent bien au camping et rien ne vous empêche de quitter la route et de planter votre tente dans le désert.
Le camping est souvent la seule option dans des lieux isolés comme le canyon de Yangykala et les cratères de gaz de Darvaza. La plupart des guides fournissent tentes et sacs de couchage.
Les déplacements en dehors de la capitale, sans accompagnateur, sont possibles mais il est fortement recommandé de recourir aux services d’une agence de tourisme et de loger dans des hôtels. Le tourisme individuel et le logement chez l’habitant ne sont pas une pratique courante.
Circulation
Les rues des villes sont officiellement indiquées par des numéros. Cependant, peu de Turkmènes connaissent les numéros des rues. Il est recommandé de donner l’ancien nom (de la période soviétique) de la rue recherchée lorsque l’on demande son chemin. Les panneaux indicateurs sont uniquement en turkmène (alphabet latin). En dehors des agglomérations, les cartes routières et les plans sont peu fiables.
Les taxis officiels sont reconnaissables à leur couleur jaune. Ils ont des compteurs mais fixent généralement un prix pour la course (entre 5 et 10 manats en général, ou plus à la sortie de l’aéroport). Il est également possible d’emprunter « des taxis non officiels » (voitures ordinaires), très bon marché. Cette pratique est tolérée par les autorités en ville comme en province. Le prix de la course est à négocier avec le chauffeur.
La location de véhicule est possible uniquement avec un chauffeur.
Risques d’accidents : en dehors de la capitale, le défaut d’entretien des routes et le comportement imprévisible de nombreux automobilistes rendent la circulation difficile et dangereuse. Il est recommandé d’adopter une conduite prudente et de ne pas circuler de nuit en dehors des villes (obstacles divers non éclairés : piétons, bétail, véhicules arrêtés tous feux éteints, travaux non signalés). Il convient de rester vigilant dans la capitale où le trafic est en plein essor.
L’approvisionnement en carburant est satisfaisant et peu coûteux. Le carburant en province et en dehors des villes peut être de piètre qualité.
Réseau ferroviaire
Les trains sont lents et circulent généralement la nuit. Ils ne sont pas toujours très confortables et sûrs, mais les tarifs sont peu élevés.
Transport aérien
Les lignes domestiques de Turkmenhowayollary (Turkmenistan Airlines) relient Ashgabat à Mary, Turkmenbachy, Turkmenabat et Dashogouz, pour des prix très raisonnables (il existe un tarif pour les locaux en devises locales et un tarif pour les étrangers en US dollars).
La compagnie nationale possède des Boeing 737 et 757 et bénéficie d’une maintenance à l’étranger. Elle dispose d’un site internet mais la réservation en ligne n’est pas possible. Elle n’émet pas de billets électroniques. Il est recommandé de confirmer sa réservation.
Transport maritime
Il est possible de se rendre à Bakou par voie maritime. La traversée de la Caspienne dure entre 13 et 18h. Les navires sont anciens et peu entretenus, ce qui engendre régulièrement des difficultés de transit pouvant entraîner d’importants retards à l’appareillage.
C’est pourquoi, afin d’éviter tout problème de validité de visa, il est recommandé de disposer d’un visa valide quelques jours supplémentaires pour les deux pays (Azerbaïdjan et Turkménistan).
Il y a 23 établissements d’enseignement supérieur au Turkménistan. 18 d’entre eux sont civils et 5 sont des institutions militaires d’enseignement supérieur.
Certains des établissements d’enseignement supérieur sont : l’Université d’Etat turkmène nommé d’après Magtymguly, l’Institut national des langues du monde nommé d’après Döwletmämmet Azad, l’Université de l’Agriculture nommé d’après SA Niýazow, l’Institut d’Etat de l’Economie et Gestion, l’Institut de l’éducation nommé d’après Seýitnazar seydi (Turkmenabat), l’Institut de technologie électrique (Mary ville), l’université médicale d’Etat.
Il y a 4 institutions internationales d’enseignement supérieur opérant au Turkménistan: International Oil & Gas University, Institut des relations internationales du ministère des Affaires étrangères du Turkménistan, l’Université internationale des sciences humaines et du développement ainsi que l’Université internationale turkmène et turque.
Les institutions militaires à base d’enseignement supérieur: l’Institut du Ministère de la Défense, Institut des affaires intérieures Ministère (alias Académie de police), l’Institut du Ministère de la sécurité nationale, l’Institut de la sécurité des frontières.
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