Avant le départ
En cours de saisie
En cours de saisie
Visa
Le visa n’est nécessaire ni en Israël, ni dans les Territoires palestiniens pour un séjour touristique inférieur ou égal à trois mois (cette autorisation peut être prolongée de trois mois sur demande justifiée). Les voyageurs intéressés peuvent demander que les tampons d’entrée et sortie d’Israël figurent sur une feuille volante glissée dans le passeport.
La législation israélienne en matière d’immigration impose une durée de validité du passeport supérieure à six mois à la date d’entrée dans le pays. Les compagnies aériennes, qui sont tenues d’appliquer strictement la législation, peuvent refuser d’embarquer les passagers ne satisfaisant pas à la condition des six mois de validité. Les ressortissants français sont en outre susceptibles d’être refoulés à l’entrée du territoire israélien s’ils ne se conforment pas à cette obligation. Les laissez-passer du consulat de France ne sont délivrés qu’en cas de perte ou de vol.
Les autorités israéliennes considèrent les ressortissants français ayant la double nationalité française et israélienne comme exclusivement israéliens. Ceux-ci devront donc absolument avoir un passeport israélien en cours de validité pour ressortir du pays.
Les autorités israéliennes considèrent les ressortissants français ayant la double nationalité française et palestinienne, même s’ils ne disposent pas de documents d’identité ou de voyage palestiniens, comme exclusivement palestiniens. Les doubles-nationaux peuvent donc être confrontés aux restrictions appliquées aux Palestiniens pour transiter par l’aéroport Ben Gourion, ce transit étant autorisé par les autorités israéliennes dans des conditions très limitatives, avec des cas récurrents de rétention administrative voire de refoulement.
Pour des raisons de sécurité, tous les voyageurs peuvent faire l’objet de contrôles prolongés à l’aéroport Ben Gourion. Il convient, le cas échéant, de faire preuve de patience et de coopération et de ne pas chercher à dissimuler les motifs de son séjour.
L’accès terrestre par la Jordanie peut se faire par les points de passage de Nahar Hayarden / Sheikh Hussein (près de Beit Shean, au nord d’Israël), du pont Allenby / King Hussein (près de Jéricho, en Cisjordanie) ou de Yitzhak Rabin / Wadi Araba (près d’Eilat, au sud d’Israël). Il convient de prendre en compte leurs horaires (notamment pour Allenby, fermé en début d’après-midi le vendredi et le samedi) et le fait que le passage peut être sans préavis restreint ou interdit en fonction du contexte sécuritaire ou des cas individuels.
Les volontaires ou responsables d’ONG souhaitant exercer leurs activités dans les territoires, en y résidant ou en résidant en Israël, sont parfois enclins à le faire sous le couvert d’un visa de tourisme, renouvelé tous les trois mois lors d’un déplacement. Depuis 2006, les autorités israéliennes tendent désormais à réprimer cette pratique, en réduisant la durée de visa à quelques jours lors du renouvellement, voire en expulsant ou refoulant les intéressés.
Il est donc fortement conseillé de s’efforcer d’obtenir au préalable, auprès du consulat d’Israël, un visa correspondant à l’activité exercée, de préférence sollicité par un organisme ou une organisation enregistrés localement.
Les déplacements à Gaza ainsi que dans la péninsule du Sinaï sont formellement déconseillés. Le point de passage de Rafah fait l’objet de restrictions d’accès de plus en plus rigoureuses et fréquentes conduisant à une fermeture quasi-complète. Les Français qui parviendraient à se rendre à Gaza lors d’une période d’ouverture du point de passage, outre le risque qu’ils encourent pour leur sécurité dans la Bande de Gaza, prennent également le risque d’y rester bloqués, les fermetures étant généralement annoncées sans préavis et sans indication de durée. Une entrée par les tunnels de contrebande est à exclure. Elle est illégale et comporte des risques de sécurité majeurs.
Vaccination –
La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite est recommandée.
Autres vaccinations conseillées (selon les conditions d’hygiène et la durée du séjour) : fièvre typhoïde, hépatites virales A et B.
Pour des séjours de longue durée, la vaccination contre la rage peut être recommandée.
En cours de saisie
Unité monétaire : Aucune
Shekel israélien (ILS), livre égyptienne (EGP) (bande de Gaza), dinar jordanien (JOD) (Cisjordanie)
Horaires d’ouverture / de travail : Les territoires palestiniens émettent leurs propres timbres, mais sachez qu’une lettre mettra 3 à 6 semaines pour être acheminée jusqu’en Europe, contre 3 ou 4 jours depuis Israël et Jérusalem. Les bureaux ouvrent en principe de 8h à 14h30 ou 15h
Code ISO 3166-1 : PSE, PS
Électricité : 230 V, 50 Hz. Le courant est souvent réduit de moitié ou totalement coupé par les autorités israéliennes.
Téléphone – Indicatif : +970
Internet : Le domaine internet .ps
Médias :
Principaux journaux nationaux : The Palestine Chronicle, WAFA, Alquds newspaper, Al-Ayyam newspaper, Al-Hayat Al-Jadeedah, Kul- Al Arab, Akhbar Alnaqab, Al-Bayader As-Siyasi, Al-Massar, Filasteen al-Muslimah
Chaînes de télévision : Al Aqsa TV, Al Quds Satellite Channel, PBC Palestine, Palestine Al Yawm, Al Falstiniah TV, Salam TV
Plats principaux
Le Musakhan est le plat principal commun, célèbre surtout dans les collines recouvertes d’oliviers au nord de la Cisjordanie. Sur un pain de Taboon chaud, garni de morceaux d’oignons cuits, de sumac, de safran et de piment de la Jamaïque, se trouve un juteux poulet rôti.
Le Maqluba est un autre repas populaire dans le centre de la Palestine. Maqluba, ce qui signifie à l’envers, est un plat délicieux et spectaculaire quand le pot est mis à l’envers et que les ingrédients sont présentés sur le plat de service. Le Maqluba est un plat de riz avec soit les aubergines, du chou-fleur ou un mélange de légumes locaux. Chaque famille palestinienne a sa propre recette!
Le Mujaddara, est un plat simple et énergisant de la Palestine ainsi que dans la plus grande partie du Proche-Orient. Le plat combine des lentilles cuites avec du riz ainsi que des oignons sautés dans l’huile d’olive et une pincée de sumac.
Le Mansaf est un repas traditionnel ayant des racines dans la population bédouine et dans la région d’Hébron. Il est surtout préparé lors de grandes occasions telles que l’Aïd, une naissance, un grand rassemblement ou en l’honneur d’un invité de marque. Le Mansaf est présenté sur de grands plats avec une couche de pain, le riz, la viande d’agneau et est servi avec le jameed (yogourt de fromage épais réalisé à partir de lait de chèvre) qui donne au mansaf sa saveur et son goût propre à lui même.
Pains
Les Palestiniens cuisent une variété de pains et les plus populaires d’entre eux sont le kmaj (pain rond), shraq (pain très mince), qa’ek (du pain recouvert de sésame, le plus célèbre à Jérusalem) et le taboon (pain cuit sur des pierres chaudes).
Beaucoup de pâtisseries salées sont également cuites au four palestinien comme le manaeesh (pain Taboon surmonté d’huile d’olives), le Sfiha (pain avec de l’agneau et des poivrons rouges cuits ou de la tomates – la pizza du Moyen-Orient), le Sambousek (pâte feuilletée remplie de fromage ou de viande),
Restauration rapide palestinienne
Le Shawarma est un sandwich très commun en Palestine. Il est surtout servi dans un long pain enroulé autour de fines lamelles d’agneau ou de poulet accompagnés de navets marinés, de concombres marinés, de tomates et sauce tahini. Le Shawarma pourrait également être servi en tranches d’agneau sur un plat avec la sauce tahini comme un plat d’accompagnement.
Le Falafel est cette délicieuse boule de pois chiches frite que vous trouverez dans tous les coins de rue de la Palestine. Certains restaurants et vendeurs ambulants sont en concurrence pour le titre du meilleur falafel et d’autres disposent d’une histoire d’artisanat familial de falafel qui remonte à plusieurs générations.
Un petit déjeuner rapide typique en Palestine comprendra falafel, houmous (purée de pois chiches), foul (purée de haricots noirs) servis avec du pain chaud, des cornichons, des olives et du thé.
Desserts
Les plus célèbres desserts de la Palestine dans son ensemble sont le baklawa, le kenafeh, le harisseh, le Maamoul et toutes les autres pâtisseries à base de semoule et de blé. Le Baklawa est une pâtisseries à base de fines feuilles de pâte de farine sans levain, remplis de pistaches et de noix sucrées par le miel. Halawa est une confiserie à base de farine de sésame sucrée servie tranchées à la pièce.
Le Maamoul est une pâtisserie à base de semoule, comme un sablé, rempli de dates ou de pistaches. Il est parfois un aliment religieux en Palestine, mangé traditionnellement au lever du jour pendant le Ramadan et la fête de l’Aïd al-Fitr et de la période de Pâques comme un symbole de la couronne d’épine du Christ.
Le Kenafeh est probablement l’un des desserts les plus populaires de Palestine. La ville de Naplouse est le foyer de la plus célèbre kenafeh dans le monde arabe en raison de son traditionnel fromage blanc saumuré qui est connu comme le fromage Nabulsi. Il est composé de plusieurs lambeaux de fines nouilles de pâtisserie avec du fromage au du miel dans le centre. Les couches supérieures de la pâtisserie sont généralement de couleur orange et saupoudré de pistaches concassées. Du sucre cuit est utilisé comme sirop pour kenafeh.
Le Harisseh est une pâtisserie épaisse confite au miel et au sucre cuit.
En-cas
Il est tout à fait typique que des noix, des graines, des dates et des fruits secs soient offerts
et servis par des hôtes palestiniens et considérés comme un indispensable à offrir aux clients.
Les graines de pastèque rôties, les graines de courge et de tournesol salées ainsi que les pistaches
et les noix de cajou sont les plus courantes. Les graines de pastèque (ou bizir al-bateekh) sont consommées régulièrement par les Palestiniens lors de plusieurs de leurs tranquilles activités populaire, que ce soit le jeu de cartes, en fumant, lors des conversations entre amis ou avant et après un repas. Une grande variété de fruits frais et secs, y compris des dates, sont également offerts par les hôtes comme un geste de bienvenue aux invités. Glacé au miel, des grappes de graines de sésame et les nougats de pistaches sont des bonbons très populaires parmi les Palestiniens. Les bonbons semblable, sinon identiques aux loukoums, sont également consommés par les Palestiniens.
boissons
La riche production de fruits de la Palestine offre aux visiteurs et aux habitants de rafraîchissants jus qui sont vendus par des vendeurs ambulants partout dans les villes palestiniennes. A Jéricho, une limonade, à Naplouse un jus de grenade, à Bethléem, essayez le jus de carotte, et à Jérusalem goutez au souss (jus de réglisse), à Hébron vous aurez du jus de raisin et à Ramallah un jus d’amande rafraîchissant!
La Palestine produit trois alcools principaux: l’Arak (boisson alcoolisée aromatisée à l’anis consommée lors d’occasions spéciales comme les fêtes, mariages, et des rassemblements ou avec le mezze), le vin (les collines de Ramallah et de Bethléem ont certains des meilleurs vignobles) et la bière (La ville palestinienne de Taybeh a la seule brasserie de bière dans la région).
La Palestine est la grande oubliée des droits humains, les palestiniens sont laissés à l’abandon, et ce depuis de nombreuses années maintenant.
Tous les droits inhérents à la personne humaine et consacrés par les différents textes internationaux tels que le droit à la vie, à la santé, à l’alimentation, à l’éducation, à l’eau, le droit à la liberté de circulation, le droit à un procès équitable ou le droit de manifester pacifiquement sont bafoués en Palestine.
Un rapport d’Amnesty International (qui a un statut d’observateur au sein de l’ONU) fait état d’une violence excessive, inutile, arbitraire et brutale contre les Palestiniens depuis janvier 2011 de la part d’Israël.
Les personnes munies d’un ordinateur portable sont averties que le disque dur peut être examiné par Israel pour des raisons de sécurité dans les aéroports du pays. Cet examen a conduit dans quelques cas à la disparition de données voire à la détérioration du matériel.
Si vous faites partie d’une ONG, que vous êtes journaliste ou membre d’une association de défense des droits de l’Homme, vous risquez de subir de longs interrogatoires musclés de la part de l’armée Israelienne.
Les Palestiniens sont toujours surpris (et flattés) de rencontrer des Occidentaux qui font l’effort de s’intéresser à leur langue. Quelques mots d’arabe (ne serait-ce qu’un simple bonjour) prononcés au bon moment raviront vos interlocuteurs.
Le salut est très important et détermine souvent les rapports que vous aurez avec la population. Les traditionnels « salamalecs » peuvent être remplacés par un opportun et simple marhaba (« salut »).
On vous demandera souvent d’où vous venez, puis on vous souhaitera la bienvenue. Répondez « merci » (choukran ou ahlan fik – fiki si vous êtes une femme -, ça impressionne toujours).
En principe, une invitation ne se refuse pas d’emblée (sauf et surtout si elle vous paraît louche). Si vous n’avez pas le temps de vous rendre chez quelqu’un, ne refusez pas brutalement. Commencez par remercier et inventez une excuse comme « Des amis m’attendent ».
Si vous acceptez une invitation, il faudra vous plier aux cérémonies : boire du café, prendre le temps de discuter, etc. On ne rend pas une tasse non vidée. De même, manger avec appétit sera très apprécié. S’exclamer, remercier avec effusion serait de la dernière impolitesse. Rien ne vous empêche d’offrir quelque chose à votre hôte (gâteaux, fruits, sodas, etc.), mais ne vous étonnez pas si votre cadeau est jeté dans un coin, sans avoir été ouvert.
Pour les musulmans, la main gauche est impure (elle sert à faire sa toilette intime) : ne saluez pas et ne mangez pas avec (sauf avec des couverts, bien sûr, et sauf si vous êtes gaucher : ils le font aussi aujourd’hui).
Coronavirus : Les zones géographiques identifiées à risque ou potentiellement à risque incluent, à présent, l’Arabie Saoudite, le Bahreïn, les Emirats arabes unis, l’Iran, l’Irak, Israël, la Jordanie, le Koweït, le Liban, Oman, le Qatar, les Territoires palestiniens, la Syrie et le Yémen.
La Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est, Gaza et les hauteurs du Golan sont des territoires occupés par Israël depuis 1967. Les colonies sont illégales en vertu du droit international. En conséquence, il existe des risques liés aux activités économiques et financières dans les colonies israéliennes.
Les transactions financières, les investissements, les achats, les approvisionnements ainsi que d’autres activités économiques dans les colonies ou bénéficiant aux colonies, entraînent des risques juridiques et économiques liés au fait que les colonies israéliennes, selon le droit international, sont construites sur des terres occupées et ne sont pas reconnues comme faisant partie du territoire d’Israël. Cela est susceptible d’entraîner des litiges liés à la terre, à l’eau, aux ressources minérales et autres ressources naturelles, qui pourraient faire l’objet d’un achat ou d’investissement, comme des risques réputationnels.
Il est rappelé que les déplacements dans la Bande de Gaza (ainsi que dans la péninsule du Sinaï) restent formellement déconseillés, même aux personnes ayant sur place des attaches familiales et quel que soit le point d’entrée utilisé (terminal d’Erez avec Israël ou terminal de Rafah avec l’Egypte).
Les citoyens et entreprises qui envisagent des activités économiques ou financières dans les colonies sont appelés à solliciter un avis juridique approprié avant de procéder à ces activités.
Il n’existe pas encore de législation palestinienne concernant la consommation d’alcool ou de drogues. Dans ces conditions, les lois jordaniennes (en Cisjordanie), égyptiennes et du mandat britannique (dans la Bande de Gaza) sont susceptibles d’être appliquées par les tribunaux.
S’agissant des délits de mœurs, les lois égyptiennes, jordaniennes et britanniques sont aussi susceptibles d’être appliquées par les tribunaux. De très lourdes peines sont prévues en ce qui concerne les abus sexuels sur les personnes de moins de 16 ans.
Les zones frontalières d’Israël avec Gaza, le Liban, la Syrie et l’Egypte restent des zones de tensions où la situation peut dégénérer rapidement et sont en conséquence déconseillées sauf raison impérative.
Les affrontements les plus violents se concentrent à Hébron et dans les alentours, ainsi que dans le nord de la Cisjordanie. Des heurts circonscrits mais récurrents sont également à signaler à proximité des checkpoints et des camps de réfugiés, notamment sur la place Jacir à Bethléem.
Il est déconseillé de se rendre à Hébron et dans les alentours. La plus grande vigilance est recommandée dans le reste de la Cisjordanie, en particulier dans le nord et à proximité des camps de réfugiés et des checkpoints. D’une manière générale, les risques sont plus élevés sur les axes routiers reliant les localités que dans les villes elles-mêmes.
L’infrastructure hôtelière est inégale selon les villes, souvent insuffisante, et fonction de leur ouverture plus ou moins récente au tourisme.
Si on ne rencontre aucun problème pour se loger à Bethléem quel que soit son budget, ce n’est pas le cas à Naplouse (plus d’hôtels petits budgets que d’hôtellerie de luxe, mais ça devrait bientôt changer) ou à Jéricho, à l’inverse, souvent cantonnés à du moyen et haut de gamme. Il faut parfois s’éloigner de quelques kilomètres, pour trouver dans les petits villages alentour des structures beaucoup plus abordables et intéressantes. Quant à Hébron, l’hébergement s’organise, pour l’instant, surtout chez l’habitant.
Il n’existe pas de continuité géographique entre la Cisjordanie et Gaza ou entre Jérusalem et Gaza (et de toute façon, les touristes ne peuvent pas se rendre à Gaza). Par ailleurs, les possibilités de se rendre à Jérusalem depuis la Cisjordanie sont, depuis la construction du mur, rendues difficiles (check-points) et restent conditionnées au moyen de transport utilisé.
Dans les Territoires Palestiniens, les routes sont dans un état correct mais sont souvent sinueuses. La signalisation routière est insuffisante. Le trafic est dangereux.
Les taxis collectifs ou « service » sont le seul moyen de transport en commun dans les Territoires Palestiniens.
Dans les déplacements entre la Cisjordanie et Jérusalem, il convient de prendre en compte l’engorgement quotidien de certains check-points comme Qalandya (vers Ramallah) ou le check-point 300 dit « De la Tombe de Rachel » (vers Bethléem), en raison du trafic et des contrôles.
Les voyageurs sont invités à faire preuve de la plus grande prudence dans les lieux publics et à éviter les rassemblements. Il est recommandé d’éviter d’emprunter les bus dans l’ensemble du pays.
En dépit du contexte politique, de la répression israélienne et du grand nombre de jeunes à scolariser, le taux d’alphabétisation est relativement élevé : 93,5% des garçons et 98,6% des filles suivent l’enseignement primaire et élémentaire.
L’enseignement est obligatoire jusqu’à 16 ans.
En cours de saisie