Avant le départ
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Visa
Les ressortissants de plusieurs pays, dont la France, peuvent entrer au Koweït sans avoir besoin de demander au préalable un visa d’entrée. Celui-ci leur est délivré (séjour temporaire de trois mois maximum) à l’aéroport international de Koweït (au prix de 3 KWD, soit environ 9€) sur un passeport ordinaire comportant une validité supérieure à 6 mois.
Toutefois, les autorités koweïtiennes ne reconnaissent pas le passeport d’urgence qui peut être délivré, dans certains cas, par nos préfectures ou nos consulats. Tout voyageur se présentant aux services de l’immigration muni de ce document de voyage risque de ne pas être autorisé à entrer sur le territoire koweïtien et d’être expulsé.
Il est recommandé aux voyageurs de ne pas présenter un passeport revêtu de visas ou de tampons d’entrée ou de sortie d’Israël, au risque de se voir refuser la délivrance d’un visa par les autorités koweïtiennes.
Pour un séjour de plus de trois mois, un permis de résidence doit être sollicité par l’intermédiaire d’un parrain local (« sponsor » ou « kafil »). Les documents suivants doivent alors figurer au dossier :
– permis de travail délivré par le Ministère koweïtien du Travail et des Affaires sociales (demandé par l’employeur) ;
– extrait du casier judiciaire ;
– passeport et quatre photographies d’identité en couleur de format 30×40 mm.
examen médical comprenant : radio pulmonaire de recherche de la tuberculose, tests de dépistage du sida, des MST et du paludisme, détermination du groupe sanguin, vérification de la vaccination contre la méningite.
Vaccination :
La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite est recommandée.
Autres vaccinations conseillées (selon les conditions d’hygiène et la durée du séjour) : fièvre typhoïde, hépatites virales A et B.
Pour des séjours de longue durée, la vaccination contre la rage peut être recommandée.
Limitations en douanes : Autorisé à l’importation : 500 cigarettes
Articles interdits : tout alcool, les narcotiques, les produits laitiers ouverts, le poisson salé, les olives et les conserves dans du vinaigre ouvertes, les aliments préparés à l’étranger, les légumes frais, les fruits de mer et dérivés, les figues fraîches et l’eau minérale. Les amendes pour tentative d’importation abusive sont sévères.
Exportation : pas de restrictions sur le tabac.
Unité monétaire : DINAR Koweïtien. Le dinar est la monnaie officielle du pays. Il est sous-divisé en 1000 fils. Il est la plus haute valeur unité monétaire dans le monde.
Code de la Monnaie : KWD
Taux de change au 09/02/2016 : 1,00 EUR = 0,336266 KWD ; 1,00 KWD = 2,97384 EUR
Pourboire – Le pourboire n’existe pas officiellement, mais dans certains grands restaurants les services sont déjà inclus dans l’addition. Si on a envie de remercier le serveur attentionné, on peut ajouter à la somme qu’on a à payer 10% ou bien arrondir cette somme au chiffre supérieur.
Conduite et Permis de conduire : Les Français qui souhaitent conduire au Koweït doivent être détenteurs d’un permis international.
Sigle International : KWT
Electricité : Le courant est de 220 Volts avec une fréquence de 50 Hertz. Prévoyez un adaptateur.
Monnaie : Dinar
Horaires d’ouverture / de travail
La plupart des magasins et des centres de commerce sont ouverts à 8:30 – 9:00 et travaillent jusqu’à 20:00 – 21:00. Dans la journée certains magasins peuvent avoir une longue pause de déjeuner. Le jeudi et le samedi ce sont les journées courtes, et le vendredi presque tous les magasins sont fermés.
Les banques et d’autres établissements d’état sont ouverts assez tôt le matin, à 7:00 – 7:30 et ils accueillent les clients jusqu’à 13:00 – 13:30. Certains établissements d’une grande importance peuvent aussi travailler pendant quelques heures dans la soirée. La journée fériée est le vendredi, et la courte journée de travail est le jeudi.
Téléphone – Indicatif : 965
Nos d’Urgence – 777.
Internet – Le suffixe des sites enregistrés au Koweit est : .kw
Médias
Principaux journaux nationaux – Al Qabas, Al Raialaam, Kuwait Times, Desert Voice, Al Watan
Chaînes de télévision – 3
Les restaurants koweïtiens sont un patchwork de toutes les saveurs du monde avec une majorité de cuisine indienne. La cuisine locale est représentative de celle du Moyen-Orient. On mangera du fuul (purée de fève, d’ail et de citron), des felafels (boulettes de pois chiche épicées, servies sur une galette plate) et du houmos (purée de pois chiche, d’ail et de citron). Les plats principaux sont les kebabs, le poulet et les ragoûts.
Les restaurants ne servent ni vin ni alcool.
Koweït est une ville moderne très animée, qui est aussi influencée par la culture moderne. Il y a peu de temps la vie ici était tout à fait différente, mais au cours des années certaines traditions ont beaucoup changé et jusqu’à nos jours se sont conservées seulement quelques traditions les plus importantes. Un trait particulier de la culture locale ce sont des bonnes relations dans la famille. La famille est considérée comme quelque chose vraiment uni, et il est très difficile d’imaginer la situation, quand à la fête est invité un seul membre de la famille. À tous les grands événements est toujours présente toute la famille, cela concerne non seulement les fêtes, mais des soirées entre amis aussi.
Le pays est tolérant, tout le monde peut se vêtir comme bon leur semble, mais évitez les tenues trop provocantes.
le pays est musulman, mais la liberté de culte est respecté
Même si l’anglais est parlé presque partout, avoir des notions d’arabe est très apprécié.
Fumer n’est pas autorisé dans les endroits publics.
Le concubinage n’est pas reconnu.
La consommation de porc et d’alcool est interdite. L’apparition en état d’ivresse dans un endroit public est considérée comme une violation grave de l’ordre public et peut être punie par une amende considérable.
Ne pas boire ni fumer en public pendant le mois du Ramadan.
Les zones géographiques identifiées à risque ou potentiellement à risque incluent, à présent, l’Arabie Saoudite, le Bahreïn, les Emirats arabes unis, l’Iran, l’Irak, Israël, la Jordanie, le Koweït, le Liban, Oman, le Qatar, les Territoires palestiniens, la Syrie et le Yémen.
Des investigations sont toujours en cours par les autorités sanitaires locales en lien avec l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). A ce stade, l’OMS considère le risque de transmission interhumaine avéré mais limité. La source de transmission de ce nouveau Coronavirus est toujours à l’étude. Une surveillance particulière a été mise en place en France.
A ce jour, aucune mesure de restriction des voyages en direction ou en provenance de ces pays en raison du coronavirus n’est justifiée.
Les coronavirus sont une vaste famille de virus susceptibles de provoquer un large éventail de maladies chez l’homme, qui vont du rhume banal jusqu’à une atteinte respiratoire sévère. La présentation la plus fréquente associe de la fièvre et une infection pulmonaire.
Les mesures d’hygiène classiques sont recommandées pour limiter les risques de transmission de ce virus, en particulier le lavage régulier des mains à l’eau et au savon ou avec une solution hydro-alcoolique.
Eviter tout contact avec les animaux en particulier avec les chameaux et les dromadaires.
Sur place, en cas de forte fièvre et de difficultés respiratoires, il convient de consulter un médecin sans délai.
En cas de fièvre ou de symptômes respiratoires dans les jours qui suivent le retour en France, il convient d’appeler le centre 15 (téléphone : 15) en signalant ce voyage.
Pour toute information complémentaire, consulter le site internet du ministère français de la santé et celui de l’Organisation Mondiale de la Santé.
Aucun autre risque sanitaire particulier n’est à signaler.
Les voyageurs en provenance des pays touchés par la fièvre jaune doivent être munis d’un certificat de vaccination contre cette maladie.
Aucun contrôle particulier ou examen n’est requis pour un court séjour.
Il convient toutefois, comme pour tout déplacement à l’étranger, de contracter une assurance de rapatriement sanitaire.
La situation intérieure est calme. La circulation est possible sur l’ensemble du territoire. D’une façon générale, il est recommandé d’éviter tout rassemblement, ainsi que la proximité des lieux de culte et les excursions dans le désert.
Nos compatriotes sont également invités à faire preuve de discrétion dans les espaces publics, notamment dans les localités périphériques, en dehors de la capitale.
Il est recommandé aux voyageurs de se faire connaître à l’Ambassade de France au Koweït.
L’intégralité du pays est en zone de vigilance normale.
Les randonnées hors-pistes dans le désert sont dangereuses en raison du risque de présence éventuelle de munitions et de mines résiduelles.
Les salaires sont deux fois supérieurs à ce que l’on gagne en Europe
Le cout de la vie est entre 3 à 5 fois moins cher que la France. Il n’y aucune taxe dans le pays.
L’éducation, la santé : tout est gratuit. Il a un paiement symbolique de 1 Dinars Kowetien (environs 3 euros) pour chaque consultation;
Les réseaux urbains et routiers sont de très bonne qualité. Il convient toutefois d’observer la plus grande prudence en matière de circulation routière et d’adopter une conduite d’une extrême vigilance, notamment la nuit.
Transports urbains
Taxi : ils n’ont pas de compteur, mieux vaut convenir du prix avant le départ.
Bus : des services de bus assurent le transport urbain.
Autres transports
Bus : une compagnie nationale de bus assure un transport fiable et de bon marché.
Taxi : il existe des taxis individuels ou collectifs. Se mettre d’accord sur le prix avant de monter en voiture.
Le gouvernement de l’émirat a mis sur pied un système scolaire très au point où l’arabe classique est la seule langue d’enseignement à tous les niveaux. L’anglais est enseigné à tous les enfants en tant que langue seconde. Rappelons que pour tous les enfants, la langue arabe classique, celle qui est dispensée dans les écoles, constitue également une langue seconde.
Les enfants étrangers parlant l’arabe ne peuvent être admis dans les écoles du pays qu’après cinq ans de séjour. Pour les arabophones, la situation paraît acceptable, mais pour les enfants parlant le farsi, l’hindi, le kurde, le bengali, le baloutchi, le filipino, l’ourdou, etc., leur intégration dans le système scolaire est pour ainsi dire nulle. Pour les Européens, il existe un lycée français et de nombreuses écoles privées anglophones. Ces établissements, très coûteux pour les parents, offrent une assez bonne instruction et comptent une communauté d’élèves très mélangée.
L’université est destinée uniquement aux étudiants koweïtiens. La English School, la New English School et l’American School offrent la possibilité de suivre tous les degrés, du jardin d’enfants à la fin du secondaire (18 ans). Le Lycée français instruit les enfants jusqu’au baccalauréat (via l’Académie de Grenoble).
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