Avant le départ
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Visa
Séjour de moins de quinze jours
Depuis le 15 juillet 2015 et jusqu’au 31 décembre 2017, pour une période probatoire, les ressortissants français munis de leur passeport en cours de validité sont exemptés de visa pour tout séjour au Kazakhstan de moins de quinze jours.
Les voyageurs concernés par cette exemption n’ont également pas besoin de s’enregistrer auprès de la police de l’immigration (OVIR). L’enregistrement est effectué au passage de la frontière par l’apposition de deux tampons sur la carte de migration.
L’entrée et la sortie du territoire doit impérativement s’effectuer sur une période de quinze jours inclus. Tout séjour d’une durée supérieure reste soumis à l’obtention d’un visa.
Attention : les dépassements de séjour autorisé sont sévèrement punis au Kazakhstan : de fortes amendes à de peines d’emprisonnement.
Séjour de 3 mois maximum
Passeport d’une validité minimale de 6 mois, et visa (3 mois maximum) délivré à l’ambassade du Kazakhstan à Paris sur justification d’une invitation ou d’un contrat de travail. Pour un séjour ne dépassant pas 30 jours, cette invitation n’est pas nécessaire pour l’obtention de visas de tourisme ou d’affaires.
Pour tout séjour de plus de trois jours, enregistrement obligatoire à l’OVIR (police de l’immigration) à l’arrivée au Kazakhstan, à moins d’avoir été enregistré au passage de la frontière à l’arrivée dans un aéroport du pays. Cet enregistrement se traduit par la remise d’une attestation portant tampon officiel et qu’il convient de conserver jusqu’à la sortie du territoire. Vérifier que la carte d’immigration, visée par les services de l’immigration, comporte bien 2 tampons.
Nous invitons les voyageurs se rendant au Kazakhstan à des fins touristiques ou professionnelles à préalablement bien vérifier que :
– la durée de validité du visa correspond parfaitement à la durée programmée du séjour ;
– le nombre d’entrées inscrit sur le visa est suffisant (un visa « 1 entrée » n’autorise à entrer et sortir du territoire qu’une seule fois : si vous avez prévu de poursuivre votre séjour dans les pays voisins en repassant par le Kazakhstan, prévoyez un nombre d’ »entrées » suffisant).
De même, nous rappelons aux étudiants, volontaires internationaux et Français devant séjourner au Kazakhstan plusieurs mois consécutifs la nécessité de bien respecter les conditions d’enregistrement auprès de l’office compétent (OVIR). Le non-respect de ces dispositions peut en effet aboutir à une interpellation et un placement en détention suivi d’une présentation au tribunal. L’expulsion, une amende et une interdiction du territoire de la République du Kazakhstan font partie des sanctions prévues par la législation locale.
Il est à noter que la possession d’un visa pour un pays de la CEI ne vaut plus autorisation de transit à travers le territoire des autres États-membres. Un visa en bonne et due forme est donc nécessaire dans tous les cas.
Un passeport diplomatique français permet d’entrer sans visa au Kazakhstan pour un séjour inférieur à 90 jours.
Long séjour
Justificatifs à produire pour un visa de long séjour d’une durée de validité d’un an :
contrat de travail
adresse du lieu de résidence
test de dépistage du sida
Interdiction à tout étranger de moins de 25 ans et dont l’expérience professionnelle attestée est inférieure à 3 ans, de travailler au Kazakhstan.
Vaccination –
Les vaccinations diphtérie, tétanos, poliomyélite, hépatites A et B, typhoïde et méningite sont conseillées.
Limitations en douanes : La législation du pays sur la sortie des œuvres d’art étant assez rigoureuse, il est important lors de l’achat du moindre objet à caractère artisanal ou artistique de demander au vendeur de vous délivrer un certificat qui vous évitera bien des complications à la douane. Le Kazakhstan, qui est bordé par la Mer Caspienne, est un pays producteur de caviar et on peut en acheter à des prix bien inférieurs à ceux pratiqués en Europe. Il convient toutefois de se renseigner sur la quantité maximale qu’un voyageur est autorisé à emporter avec lui. Il est à noter, pour ceux qui voudraient acheter des CDs de musique locale, qu’en principe tout document sonore doit être soumis à une vérification du service des douanes avant de pouvoir sortir du territoire. Les touristes sont donc censés apporter leurs CDs à la douane quelques jours avant leur départ afin de les faire vérifier
Le transport de 100 cigarettes ou 1kg de tabac, d’un litre de boisson alcoolisée, de 2 litres de vin et de parfum pour un usage personnel, est autorisé sans aucune formalité.
Il convient cependant de se renseigner avant le départ.
Unité monétaire : Tenge
Code de la monnaie : KZT
Taux de change : 1,00 EUR = 382,394 KZT ; 1,00 KZT = 0,00261527 EUR
Pourboire : La pratique du pourboire devient de plus en plus courante. La plupart des cafés et restaurants d’Almaty ou d’Astana ajoutent un service de 10% à la note ou s’attendent à ce que vous l’arrondissiez à l’unité supérieure. La somme n’allant pas toujours au personnel, laissez un peu plus si vous souhaitez récompenser un serveur particulièrement attentif. Les prix dans les magasins sont fixes, mais il est bienvenu de marchander sur les marchés.
Les cartes de crédit sont de plus en plus utilisées, et l’on trouve aisément des distributeurs de billets. Attention, les transactions par carte sont souvent payantes ; il est donc préférable de payer en liquide.
Il est possible de changer des chèques de voyage, en particulier les American Express, mais la procédure est longue et demande 2% de commission.
On trouve partout des DAB dans les banques, centres commerciaux, supermarchés, hôtels, gares ferroviaires et autres. On les repère aux enseignes “Bankomat”. La plupart acceptent au moins les cartes Maestro, Cirrus, Visa et MasterCard.
Les bureaux de change (signalé “Obmen Valyuty”) sont fréquents dans les villes.
Horaires d’ouverture / de travail : Les banques ouvrent généralement leurs portes de 9h à 17h en semaine.
Sigle International : Code ISO 3166-1 KAZ, KZ
Téléphone – Indicatif : +7
Internet : Domaine Internet .kz
Électricité : 220 V, 50 Hz, prises à deux fiches rondes (sans prise de terre). Des adaptateurs sont disponibles dans les grands magasins. Pensez à emporter une torche.
Nos d’Urgence :
pompiers : 01
ambulance : 03
Médias :
Principaux journaux nationaux : Times of Central Asia journal indépendant fondé en 1999 couvrant Kazakhstan, Kirghizistan, Turkménistan et l’Ouzbékistan.
Zhas Alash journal nationaliste nommé d’après le lmouvement Zhas Alash.
Egemen Kazakhstan, journal national-patriiote kazakh
Caravan journal populaire
Vremya journal populaire
Kazakhskaya Pravda journal populaire
Kazakhstanskaya Pravda journal officiel
Chaînes de télévision : « Kazakhstan » est la principale chaîne de télévision publique du Kazakhstan.
Kazakh TV (anciennement Caspionet) est une chaîne de télévision nationale kazakhe diffusée par satellite à destination de la diaspora de ce pays.
La culture alimentaire du pays s’enracine dans le passé nomade des Kazakhs, à une époque où chevaux et moutons constituaient la nourriture la plus facilement disponible. Le plat national est le beshbarmak, des morceaux de mouton, de bœuf et, parfois, de cheval longuement bouillis qu’on sert dans un grand bol sur des nouilles plates carrées avec des oignons et, à l’occasion, des pommes de terre. Le bouillon de cuisson de la viande se consomme à part.
Dans les bazars et dans certains restaurants, vous pourrez manger de la viande de cheval sous diverses formes, notamment de saucisses en boyau naturel appelées kazy, shuzhuk/shuzhak et karta. Le kuurdak (ou kuyrdak) est un ragoût de viande grasse (cheval, mouton ou bœuf), d’abats et de pommes de terre qui mijote dans une cocotte pendant deux ou trois heures.
D’un bout à l’autre du pays, on retrouve les vieux classiques d’Asie centrale tels que chachliks (brochettes), laghman (nouilles), manty (raviolis à la vapeur), plov (riz pilaf) et samsa (chaussons fourrés de type samosa). Les Kazakhs préparent une version sucrée du plov avec des raisins, des prunes et des abricots secs.
L’été, des bars à bière et à chachliks en plein air fleurissent dans la moindre ville.
Les baursaki, boulettes ou triangles de pâte frite, font partie des en-cas de prédilection. Le Kazakhstan est considéré comme le pays d’origine des pommes, et des pommiers sauvages poussent encore dans certains dans certains coins du sud-est.
Les cuisines de certains autres groupes – Russes, Coréens, Ouïghours, Dounganes – sont aussi très bien représentées. Une enseigne en caractères arabo-persans indique habituellement une adresse ouïghoure et la perspective de bons laghman. Les grandes villes ont par ailleurs leur lot de tables internationales.
Le kymys (koumis, lait fermenté de jument) a autant de succès ici qu’au Kirghizstan.
On peut en acheter, de même que du shubat (lait de chamelle fermenté), dans de nombreux supermarchés, sur les marchés et à la campagne.
L’un des traits culturels les plus marqués chez les Kazakhs est leur sens de l’hospitalité. Plus qu’une marque de bienveillance à l’égard d’un étranger, c’est aussi une coutume toujours actuelle, aussi bien dans les steppes qu’en ville, que d’accueillir dignement un voyageur : à son entrée, tous se lèvent et l’accueillent avec sourires et poignées de main, avant de l’inviter à prendre la place d’honneur. Il est malséant d’assaillir le visiteur de questions : les Kazakhs lui offrent d’abord du koumis (lait fermenté de jument, rafraîchissant et tonifiant) afin qu’il se repose de son voyage. Il peut ensuite, s’il le souhaite, se présenter et expliquer où il va. Durant ce temps, les maîtresses de maison s’afféreront à la préparation du konakassa, un repas en l’honneur de l’invité qui sera invité à la moitié du repas à couper la tête de mouton. Rien de formel cependant : la table (dastarkhan – en l’occurrence une nappe couverte de mets) est le lieu par excellence de partage, de gaieté, de convivialité et de discussion à cœur ouvert. Aussi dit-on qu’elle sert à juger celui qui reçoit, mais également le pays tout entier.
Selon les us et coutumes orientales (kazakhs), on s’attend à ce d’abord que vous posiez des questions n’ayant rien à voir avec les affaires. Les questions qui conviendraient sont par exemple : Comment allez-vous ? Comment va votre famille, sa santé, les enfants ? Le travail va bien ? Votre santé ? On ne s’attend pas à ce que quelqu’un pose toutefois toutes ces questions. Deux ou trois questions de ce type suffisent. Ce n’est qu’après ces préliminaires qu’il est jugé bon de discuter des affaires. La vie étant plus haletante dans les grandes villes, certains ou même tous les préliminaires peuvent être évités si vous rencontrez une personne qui n’est pas kazakh.
Les Kazakhs trouveraient offensant que vous leur posiez des questions sur leurs origines. De toute façon, dans toutes les cultures, il n’est jamais bon de poser de pareilles questions, mais c’est encore plus vrai dans le cas des Kazakhs parce que les gens ont été élevés (surtout à l’époque soviétique) en tant que nation et peuple unifiés, conformément à l’idéal internationaliste. Les Kazakhs ont un sens très fin de l’humour et ils apprécient toujours de pouvoir raconter des histoires drôles. Toutefois, il vaut mieux l’éviter lorsqu’on rencontre quelqu’un pour la première fois étant donné que le transfert de ces histoires d’une culture à l’autre ou d’une langue à l’autre ne se fait pas bien.
Les marques publiques d’affection ou d’autres sentiments sont plus acceptées au Kazakhstan, particulièrement chez les plus jeunes qui sont plus décontractées que leurs aînés élevés dans le soviétisme avec ses règles strictes et ses tabous. Les plus vieux ne voient pas d’un bon œil ces comportements publics et les désapprouvent. On peut être témoins de colères en public, même dans un contexte professionnel, lorsqu’un superviseur s’en prend à ses employés. C’est un vestige du système soviétique et des ses règles strictes relevant presque de la discipline militaire et d’un système de gestion où les supérieurs ont un pouvoir presque absolu sur leurs subalternes.
Consulter votre médecin, éventuellement votre dentiste, et contracter une assurance.
Les vaccinations diphtérie, tétanos, poliomyélite, hépatites A et B, typhoïde et méningite sont conseillées.
Il est formellement déconseillé de boire l’eau du robinet, non potable.
Présentation obligatoire d’un test de dépistage du sida lors de l’enregistrement auprès de l’OVIR (réalisé en France – pas d’obligation de traduction – ou au Kazakhstan). Renouvelable à chaque sortie du territoire après un séjour de trois mois (pour les étrangers non résidents). Pour les étrangers résidents : nouveau test au moment du renouvellement du visa de long séjour.
Des cas d’anthrax sont régulièrement signalés et la tuberculose est en progression.
En raison des risques de piqûres de tiques, qui peuvent être le vecteur de la maladie de Lyme, de l’encéphalite à tiques et de nombreuses autres infections, il est recommandé de choisir soigneusement ses lieux de repos, que ce soit en ville ou à l’extérieur. Dans la région d’Almaty, les tiques sont particulièrement nombreuses d’avril à juin inclus. En cas de piqûre, il convient de se rendre dans un centre d’urgence médicale dans les 3 jours qui suivent afin d’y recevoir un traitement préventif contre l’encéphalite à tiques (injection d’immunoglobuline). Les soins médicaux sont gratuits. L’injection doit être suivie d’une visite chez le neurologue, dans la polyclinique du quartier de résidence.
Bien que le pays ait été le théâtre de crimes à caractère crapuleux, d’actions s’apparentant à du terrorisme et d’interventions souvent violentes des forces de l’ordre, en particulier dans l’Ouest du pays, il demeure globalement sûr pour les voyageurs qui jusqu’ici n’ont pas été concernés par ces évènements.
Des attentats ont été commis depuis 2011 dans les villes pétrolières des oblasts d’Aktobe et d’Atayrau, situées dans l’Ouest du pays : il est recommandé de faire preuve d’une vigilance accrue dans ses déplacements sur la voie publique, et en particulier aux abords des bâtiments officiels, qui pourraient à nouveau faire l’objet d’actions violentes.
Les vols à la tire peuvent s’accompagner d’actes de neutralisation d’autant plus violents qu’ils peuvent être le fait de toxicomanes.
Les cas d’agressions nocturnes de voyageurs sortant d’un établissement de nuit sont en augmentation dans le centre-ville, et notamment rues Kourmengazy et Tubalayeva. Il est formellement déconseillé d’avoir recours aux services des « taxis sauvages », de jour comme de nuit : il est en effet fréquent qu’un deuxième passager ne soit déjà embarqué, qui se révèle parfois être le complice du chauffeur. Il convient de faire appel aux services d’un taxi officiel ou de circuler en voiture privée.
Il est fortement déconseillé de se déplacer à pied la nuit, comme au petit matin, dans le centre comme à la périphérie.
La pratique d’activités sportives dans les montagnes autour d’Almaty et notamment de sports en eaux vives nécessite, outre l’entraînement et l’équipement nécessaires, de se renseigner auprès des populations et autorités locales.
La sécurité est parfois moins bien assurée dans les régions reculées du pays.
A la suite des multiples expériences nucléaires soviétiques menées dans la région (présence de l’ex-polygone d’essais nucléaires et du « lac atomique »), la zone au sud de Kourtchatov et de Semipalatinsk présente un taux de radioactivité particulièrement élevé.
La zone frontalière avec la Chine.
Les zones suivantes font l’objet de restrictions à la circulation des ressortissants étrangers :
L’accès à l’ensemble de ces zones est soumis à autorisation (« propousk ») à solliciter préalablement auprès de l’OVIR (police de l’immigration). L’obtention de cette autorisation se fait sous un délai d’une dizaine de jours.
L’entrée sans autorisation dans une zone soumise à restriction expose les contrevenants au paiement d’une amende et à des difficultés d’ordre administratif avec les autorités locales.
A noter : la plupart des sites touristiques de la région d’Almaty se trouve située au sein de cette zone frontalière, et notamment :
Les autorités kazakhstanaises ont annoncé que ces sites, ainsi que leurs routes d’accès, situés en zone frontalière, resteraient ouverts aux touristes étrangers sans autorisation.
Attention : certains cas de tentatives de verbalisation et de perception d’une amende par les policiers locaux gardant ces lieux nous ont été rapportés. Dans le cas où cette situation se produirait, il convient de refuser de payer cette amende et de rappeler que ces sites sont ouverts à tous.
Enfin les voyageurs souhaitant « sortir des sentiers battus » et emprunter un itinéraire indirect pour se rendre sur ces lieux devront, dès lors qu’ils se trouvent en zone frontalière, solliciter une autorisation auprès de l’OVIR.
La région d’Almaty est située en zone sismique.
L’habitation traditionnelle des nomades kazakhs est la yourte, une tente faite d’un cadre de bois de saule et couvert de feutre, avec un trou au sommet pour laisser passer la fumée du foyer. Correctement construite, elle permet à ses occupants de rester au frais pendant l’été et au chaud pendant l’hiver. Certains kazakhs continuent à mener une existence semi-nomade, conduisant chaque année leurs troupeaux vers les pâturages d’été.
Infrastructure routière
La vitesse autorisée est, en général, de 120 km/h sur les autoroutes et de70 km/h sur les routes de campagnes.
Respectez les panneaux de limitation de vitesse qui correspondent à un danger réel (déformations dangereuses de la chaussée, nids de poules) et assurez le véhicule auprès d’un assureur local.
De manière générale privilégiez les déplacements en convoi (au moins 2 véhicules en bon état, bien équipé en réserves de carburant, huile, eau, etc…).
Axe dangereux sillonné par les « hooligans » entre Aktioubinsk et Moscou (éviter de rouler de nuit et de s’arrêter en chemin).
Sur la route, comme en ville, il arrive que des policiers peu scrupuleux exigent des automobilistes le paiement abusif d’amendes à leur profit qu’il convient de ne pas payer.
Réseau ferroviaire
Le réseau ferroviaire est en bon état mais peu sûr. En cas de déplacement en train, il convient de privilégier un compartiment fermant à clé.
Transport aérien
De nombreuses compagnies aériennes opérant dans le pays sont inscrites sur la “liste noire de l’Union Européenne”.
Le système éducatif kazakh actuel est constitué d’un mélange de l’ancien système d’enseignement soviétique et des réformes conduites depuis le milieu des années quatre-vingt-dix et inspirées des exemples des systèmes éducatifs étrangers (américain d’abord, européens un peu plus tard). Les acquis du passé soviétique, tels que la bonne qualité de l’enseignement général, les taux de scolarisation avoisinant 100 % pour le primaire et pour le secondaire, la parité entre les sexes, ont été conservés. Cependant, il a fallu s’attaquer à des problèmes d’organisation et de gestion tels que la forte centralisation, la rigidité de différents dispositifs, le manque d’initiative local, la faible mobilité des étudiants et des enseignants. De plus, certains contenus des programmes scolaires et universitaires ont dû être entièrement révisés, afin de les adapter à la nouvelle structure économique et sociale du pays.
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