Avant le départ
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Visa
Un visa est obligatoire pour aller en Jordanie (coût : 40 JOD). Il est possible d’obtenir un visa d’un mois pour une seule entrée aux aéroports d’Amman et d’Aqaba, ainsi qu’aux postes frontières maritimes et terrestres (Pont Sheikh Hussein au Nord, Pont King Hussein au Centre, Frontière Wadi Araba au Sud).
Le passeport doit avoir une validité minimale de 6 mois. Pour toute extension du visa au-delà d’un mois, il convient de se présenter au poste de police le plus proche de son lieu de résidence.
Les détenteurs de passeport diplomatique sont, depuis le 1er janvier 2013, exemptés de visa pour tout séjour ne dépassant pas 90 jours sur une période de 6 mois.
Pour les séjours supérieurs à 3 mois, une visite médicale est exigée. Une extension de 3 mois est alors donnée, puis 6 mois, et enfin 1 an renouvelable si la situation de l’intéressé le justifie.
En raison d’une incompatibilité de visas, les voyageurs titulaires d’un passeport revêtu de cachets d’entrée et de sortie israéliens sont systématiquement refoulés aux frontières de certains pays de la région (Liban, Arabie Saoudite notamment). Les voyageurs passant par Israël et souhaitant pouvoir se rendre dans l’un de ces pays doivent donc demander aux autorités israéliennes la possibilité d’apposer leur tampon sur une feuille volante et non directement sur le passeport. La pratique des autorités israéliennes est cependant variable en la matière et l’apposition d’un tampon directement sur le passeport reste possible à la discrétion des autorités israéliennes.
Vaccination : Aucun vaccin n’est obligatoire.
Vaccins conseillés : DTPolio +/- Coqueluche, Hépatite A et B, Rougeole-Oreillons-Rubéole
vérifier la vaccination anti-tuberculeuse, en particulier chez les jeunes enfants.
Selon les conditions et la durée du voyage, les vaccinations contre la typhoïde et la méningite à méningocoque pourront être envisagées.
Pour des séjours de longue durée, la vaccination contre la rage peut être recommandée
Limitations en douane : Il est possible d’importer en Jordanie sans frais de douanes supplémentaires : 200 cigarettes, 25 cigares ou 200 g de tabac (3 750 JD pour 200 cigarettes supplémentaires, pour un maximum autorisé de 2 000), 1 litre d’alcool (2 910 JD par litre supplémentaire, pour un maximum autorisé de 4 litres), une quantité de parfum raisonnable pour votre usage personnel, cadeaux d’une valeur de 50 JD maximum, soit 167 €.
Unité monétaire : Dinar jordanien
Code de la Monnaie : JOD
Taux de change au 09/06/2016 : 1,00 EUR = 0,795970 JOD ; 1,00 JOD = 1,25633 EUR
Pourboire : Le service est généralement compris dans les hôtels et restaurants de Jordanie. Pour les autres services, laissez de 8 à 10%.
Changer de l’argent ne pose guère de problème en Jordanie. La plupart des devises sont acceptées, et la majorité des banques changent les chèques de voyage. Il y a des DAB dans tout le pays ; paiement par carte bancaire très épandu
Petit lexique des 1ers mots usuels du pays :
Salâm aleïkoum : Que la paix soit avec vous (salutation consacrée)
Aleïkoum salâm : Réponse au salut précédent
Marhaba : Salut !
Ma’ es-salami : Au revoir
Choukran : Merci
Na’am : Oui
La’ : Non
‘afwan : Excusez-moi
Ismi… : Je m’appelle…
Ana fransawi (m) / fransawiyya (f) : Je suis français(e)
Ptehki fransawi : Parlez-vous français
Ana bahib… : J’aime…
Yassar/yamin : Gauche/droite
Al-yaoum : Aujourd’hui
Fi ‘indak… ? : Avez-vous… ?
Les transcriptions de l’arabe au français sont toujours approximatives.
Horaires d’ouverture / de travail
De 9h00 à 12h00 et de 16h00 à 18h00 du samedi au jeudi
Les banques ouvrent généralement leurs portes du samedi au jeudi de 9h à 18h.
Administration publique: de 8h00 à 14h00 du samedi au jeudi.
Commerces: de 9h00 à 20h00 du samedi au jeudi.
Durant le mois du Ramadan, l’activité économique est considérablement réduite et les horaires de travail changent.
Conduite et Permis de conduire : Conduite à droite; Ceinture de sécurité obligatoire.
La traduction légalisée du permis de conduire est obligatoire. Il faut s’adresser au Département du Trafic pour avoir un permis jordanien.
Sigle international : HJK
Téléphone : indicatif : 00 962
Internet : Le suffixe internet des sites enregistrés en Jordanie : .jo
Branchement électrique/prise : Le courant est de 220 Volts. Prévoyez un adaptateur, car quelques prises sont identiques au modèle britannique.
Médias
Principaux journaux nationaux – Ad-Dustour, Alarab-Alawm, Jordan Times, Jordan Today, Al Ra’i
Chaînes de télévision – 3
Nos d’Urgence
Police secours : 191
Pompiers : 199
Quartier général de la protection civile : 193 ou 198
La cuisine jordanienne, directement inspirée du Liban, mêle les saveurs orientales et méditerranéennes Pour commencer : le classique plateau de mezzes (hors-d’oeuvre variés que l’on déguste avec une galette de pain chaud), les beureks (feuilletés au fromage, aux herbes ou à la viande), les koftehs (boulettes frites de blé concassé, viande hachée et persil) ou les falafels (croquettes de purée de pois chiche frites).
Puis, viennent les brochettes de mouton (shish kebabs), de poulet ou de boeuf. A Aqaba, le poisson de la mer Rouge est accompagné de tahina, une sauce à base de sésame et de fromage salé. Si vous voulez manger sur le pouce, optez pour le sandwich oriental, le fameux shawarma (pain fourré de tranches de mouton, cuit à la broche, ou de poulet, avec tomates, oignons et sauce).
Vous pourrez aussi goûter le mensaf, plat traditionnel bédouin, qui est un ragoût de mouton rehaussé d’épices, de lait de brebis caillé, d’amandes et de pignons, servi avec du riz et une sauce au yaourt. Quant aux desserts, ce sont essentiellement des pâtisseries orientales, tels les ruisselants baklavas au miel et à la pistache. Côté boissons, vous trouverez du vin (souvent libanais ou syrien) dans certains restaurants. Pour l’apéritif, on vous servira de l’arak (alcool de raisin anisé).
Le thé se boit très sucré et les Bédouins l’agrémentent de sauge ou de thym. Enfin, vous ne pourrez échapper au rituel « café turc » (dites plutôt « arabe ») et au café en décoction parfumé à la cardamome, un peu amer mais on s’habitue très vite…
Les tabous alimentaires : L’alcool est en vente libre dans les magasins mais sa consommation est interdite dans les lieux publics sauf dans certains hôtels et restaurants.
La culture anglo-saxonne règne dans la vie des affaires ce qui incite les entreprises étrangères à s’installer.
De ce point de vue, une implantation en Jordanie peut-être un tremplin pour rayonner à la fois au Proche-Orient et vers les pays du Golfe.
C’est à Amman que les hommes d’affaires venus de Syrie, du Liban ou des pays du Golfe se fixent rendez-vous. Cette position stratégique tient également à la situation politique exceptionnelle de la zone…
Petit pays aux trois quarts envahi par le désert, la Jordanie n’en est pas moins le pays des couleurs : la mer Rouge, Pétra la rose, Ammân la blanche, sans oublier l’orange, le jaune et l’or du désert… Sur les traces de Lawrence d’Arabie, du port d’Aqaba à l’oasis d’Azraq, en passant par l’étonnant Wadi Rum, vous serez émerveillé par la présence au quotidien des traditions du monde arabe : narguilé, danse du ventre, appel du muezzin et promenades à dos de chameau..
Amman, la capitale, est surtout une ville nouvelle qui ne cesse de s’étendre, dans une certaine harmonie cependant, du fait d’une législation rigoureuse réglementant la taille des bâtiments et les matériaux utilisés. Très ancienne, la ville d’Amman n’a en effet pas connu une histoire urbaine continue : capitale des Ammonites en 1200 avant notre ère, elle sera Philadelphie sous les grecs et les romains qui y laisseront d’importantes infrastructures urbaines (amphithéâtre, bains, forum…) encore visible de nos jours dans la ville basse. Evêché à l’époque byzantine, elle est prise par les perses en 614 et connaîtra une longue période de déclin, au point de devenir un simple village. A la fin du XIXème siècle, les Ottomans y installent une petite colonie de réfugiés circassiens, chargés d’assurer la sécurité d’une gare du chemin de fer du Hedjaz. L’Emir Abdallah décide en 1921 d’installer sa capitale à Amman, parmi les Tcherkesses totalement dévoués à la dynastie hachémite.
Depuis la ville basse à l’Est, dominée par de belles ruines romaines, la ville s’est avancée vers l’Ouest de « cercle » en « cercle » – c’est-à-dire de rond-point en rond-point – au gré de l’afflux des populations réfugiées palestiniennes : 1948, 1967, 1990-91 après la Guerre du Golfe. Aujourd’hui, près d’un Jordanien sur trois vit à Amman, soit 1,5 millions d’individus…
Ainsi, exceptée la ville basse à l’Est, encaissée entre trois ou quatre collines ou « jebels », dont le désordre, les couleurs et la foule nombreuse dans les ruelles étroites rappellent nos rêves d’Orient, Amman se présente comme une cité moderne , propre et pratique. Les différents quartiers communiquent par de grands axes routiers le long desquels se sont installés quelques supermarchés. L’automobile est nécessaire, non pas tant du fait des distances que de la configuration des lieux. Le style de vie dans cet Amman-Ouest composé de villas parfois grandioses et de luxueux centres commerciaux fait référence à l’ « American way of life ». Le charme en revanche est à rechercher patiemment plus à l’Est, à Jebel Amman ou Jebel Webdeh.
La poignée de main est le salut habituel.
La religion rythme la vie en Jordanie.
Pendant le mois du ramadan, ne pas boire ou manger dans les lieux publics (sauf dans hôtels restaurants habitués à la clientèle étrangère).
La population est accueillante et chaleureuse.
Les zones géographiques identifiées à risque ou potentiellement à risque incluent, à présent, l’Arabie Saoudite, le Bahreïn, les Emirats arabes unis, l’Iran, l’Irak, Israël, la Jordanie, le Koweït, le Liban, Oman, le Qatar, les Territoires palestiniens, la Syrie et le Yémen.
Des cas de personnes infectées par le Coronavirus ont été récemment confirmés par le Ministère jordanien de la santé.
Des investigations sont toujours en cours par les autorités sanitaires locales en lien avec l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). A ce stade, l’OMS considère le risque de transmission interhumaine avéré mais limité. Une surveillance particulière a été mise en place en France.
A ce jour, aucune mesure de restriction des voyages en direction ou en provenance de ces pays en raison du coronavirus n’est justifiée.
La source de transmission de ce nouveau Coronavirus est toujours à l’étude.
Les coronavirus sont une vaste famille de virus susceptibles de provoquer un large éventail de maladies chez l’homme, qui vont du rhume banal jusqu’à une atteinte respiratoire sévère. La présentation la plus fréquente associe de la fièvre et une infection pulmonaire.
Les mesures d’hygiène classiques sont recommandées pour limiter les risques de transmission de ce virus, en particulier le lavage régulier des mains à l’eau et au savon ou avec une solution hydro-alcoolique.
Eviter tout contact avec les animaux en particulier avec les chameaux et les dromadaires.
Il est fortement recommandé aux personnes âgées fragiles, aux personnes atteintes d’une pathologie chronique évolutive, entraînant notamment une baisse de l’immunité (diminution des défenses contre les infections) aux enfants et aux femmes enceintes de consulter leur médecin traitant avant d’envisager le voyage vers la Jordanie, l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis, Oman et le Yémen.
Sur place, en cas de forte fièvre et de difficultés respiratoires, il convient de consulter un médecin sans délai.
En cas de fièvre ou de symptômes respiratoires dans les jours qui suivent le retour en France, il convient d’appeler le centre 15 (téléphone : 15) en signalant ce voyage.
Dans l’ensemble, les conditions sanitaires en Jordanie sont bonnes. Cependant, on constate aujourd’hui une réapparition de cas de poliomyélite, de rougeole, de rubéole et de tuberculose comme conséquence de la détérioration de la situation sanitaire en Syrie.
La Jordanie fait partie des pays qui ont été touchés par l’épizootie de grippe aviaire. L’OMS considère cependant que le pays est à nouveau indemne de la maladie. La Direction Générale de la Santé recommande aux voyageurs d’éviter tout contact avec les volailles et les oiseaux, c’est-à-dire de ne pas se rendre dans des élevages ni sur les marchés aux volatiles.
Quelques cas de H1N1 ont été détectés dans différentes régions de Jordanie. Les autorités sanitaires jordaniennes estiment cependant la situation sous contrôle.
Les symptômes sont ceux d’une grippe courante. En cas de suspicion de contagion, il convient de se rendre dans le centre médical le plus proche.
Les recommandations générales d’hygiène lors des voyages dans les pays en développement, qui visent à se protéger des infections microbiennes, sont les suivantes :
Le virus se transmet soit par voie aérienne (voie respiratoire) soit par contact direct, notamment avec les sécrétions respiratoires et les matières fécales des animaux malades, soit de façon indirecte par l’exposition à des matières contaminées (par l’intermédiaire de la nourriture, de l’eau, du matériel et des mains ou des vêtements souillés). Les espaces confinés favorisent la transmission du virus.
Les autorités locales n’exigent pas de test VIH à l’entrée du territoire pour les touristes. En revanche, plusieurs dépistages sont obligatoires (dont le VIH), pour toute prolongation du séjour au-delà de trois mois. Les personnes alors séropositives sont expulsées.
Il est très fortement recommandé de contracter, avant son voyage, une assurance couvrant les frais médicaux et de rapatriement sanitaire, ceux-ci pouvant s’avérer très élevés en Jordanie.
Il est recommandé de mettre à jour les vaccinations :
Selon les conditions et la durée du voyage, les vaccinations contre la typhoïde et la méningite à méningocoque pourront être envisagées.
Pour des séjours de longue durée, la vaccination contre la rage peut être recommandée.
Le Royaume hachémite de Jordanie, pôle de stabilité dans un environnement régional particulièrement instable, n’est cependant pas à l’abri de troubles, en particulier du risque terroriste.
La Jordanie connaît une menace permanente d’attentats. Cette menace est prise en compte par les autorités jordaniennes qui continuent de se mobiliser pour prévenir le risque terroriste ou toute infiltration aux frontières. La plupart des lieux publics ainsi que des lieux touristiques font l’objet d’une vigilance renforcée, parfois de filtrages de sécurité, auxquels il faut se conformer.
Le 18 décembre 2016, une attaque armée à Kerak a fait 10 morts et une trentaine de blessés. L’attaque a été revendiquée par Daech. Des opérations de police dans les jours suivants ont permis d’appréhender des individus liés à l’attaque du 18 décembre et ont fait des victimes supplémentaires parmi les forces de sécurité.
La situation doit inciter à faire preuve de grande prudence, à se tenir informé des développements régionaux et à consulter régulièrement le site de l’ambassade de France en Jordanie.
Du fait de l’intervention de la coalition internationale contre Daech et des menaces existant à l’encontre de la France et de ses ressortissants, une vigilance accrue est nécessaire, et requiert notamment :
1) D’adopter une attitude générale de prudence dans la fréquentation des lieux publics aux heures de grande affluence. Il est notamment recommandé de veiller à ne pas se mêler à des manifestations, marches ou défilés.
Lors de déplacements dans le pays, il est conseillé de privilégier les grands sites touristiques.
Dans les zones éloignées des principaux centres urbains, il convient d’être accompagné et de signaler à l’avance de tels déplacements à un tiers susceptible de prendre contact avec le consulat en cas de difficulté.
Il est déconseillé de se rendre dans les camps de réfugiés palestiniens ou syriens ainsi que dans la ville et la région de Maan. Il faut être particulièrement vigilant dans les régions de Kérak et de Tafila.
La discrétion, y compris vestimentaire, doit être de mise aux abords des mosquées, notamment lors des rassemblements pour la prière du vendredi.
Il convient d’éviter tout signe distinctif permettant d’être identifié comme français (drapeaux, logos français sur véhicules, vêtements, etc.).
2) Face à la recrudescence de certains faits de petite délinquance à Amman, il est recommandé d’adopter le même comportement prudent que dans nombre de grandes villes :
• Éviter de laisser en apparence sacs et objets de valeur dans les véhicules inoccupés ;
• S’assurer de la qualité des serrures des logements ;
• Éviter de circuler seul à pied tard le soir.
3) Les événements en cours en Syrie incitent à déconseiller formellement tout déplacement aux abords de la frontière entre la Jordanie et la Syrie, cette zone étant classée rouge, à l’exception du seul site touristique de Gadara/Oum Qaïs (cf. carte).
4) Les déplacements à la frontière avec l’Irak sont formellement déconseillés.
5) Enfin, il est formellement déconseillé de se rendre dans la péninsule du Sinaï (Egypte) depuis la Jordanie ou d’y entreprendre un voyage.
La Jordanie présente un choix d’hébergements pouvant convenir à la plupart des budgets. Certes, lorsque l’on s’éloigne des grands centres touristiques, les possibilités s’amenuisent. Comme le pays est assez compact, la plupart des sites peuvent se visiter en une journée à partir des grandes villes.
Les tarifs sont au plus haut pendant les deux saisons hautes, de septembre à octobre et de mars à mi-mai. Les week-ends de vacances sont également très chargés dans les stations proches d’Aqaba et celles de la mer Morte.
La forte inflation et l’essor du tourisme contribuent à la montée en flèche des prix. La forte inflation et la hausse des taxes contribuent à la montée en flèche des prix. En conséquence, les tarifs de certains hébergements pourront avoir augmenté d’ici votre passage.
Les rues, très glissantes dès qu’elles sont mouillées, sont à l’origine de nombreux accidents de circulation.
Transports urbains
Taxis, bus, location de voiture dans les hôtels et agences de voyage.
Autres transports
Avion : la flotte aérienne locale est bien entretenue. Il existe une liaison entre Amman et Aqaba.
Train : le réseau ferroviaire est pratiquement inexistant en Jordanie.
Bus : le réseau de bus est vaste, et les liaisons sont assez fréquentes. Il est recommandé d’éviter de prendre les autobus locaux, mal entretenus et peu sûrs, sauf le « jet bus pour Aqaba ». Préférer les taxis interurbains reliant les villes entre elles.
Taxis interurbains : ils sont plus chers mais plus rapides.
Voiture : la location d’une voiture coûte environ 30 euros par jour. Les déplacements régionaux en véhicule de tourisme ou utilitaires peuvent s’avérer compliqués au regard des formalités douanières.
Bateau : il existe un ferry qui relie Aqaba à Suez (Egypte) et à Djeddah (Arabie Saoudite).
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