Avant le départ
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Entrée / sejour : Un passeport en cours de validité suffit.
Visa : Exceptés les ressortissants d’Europe occidentale, d’Israël, du Japon, d’Afrique du Sud et des Etats-Unis, un visa est demandé aux étrangers arrivant sur le territoire.
Vaccination : Aucun vaccin n’est obligatoire.
Limitation en douane : 200 cigarettes ou 25 cigares ou 250g de tabac ; 1 litre d’alcool.
Le montant total des importations non taxées ne doit pas dépasser 150 euros environ.
Interdit à l’importation : le matériel électrique, optique ou électronique.
Les animaux, plantes, fleurs, graines et légumes doivent avoir l’aval des autorités sanitaires.
Unité monétaire : PESO Uruguayen
Code de le monnaie : UYU
Taux de change : 1,00 UYU = 0,298377 EUR – 1,00 EUR = 33,5131 UYU (janvier 2016)
Conseil:
– Le dollar US est couramment accepté par les restorants, les boutiques et même les supermarchés au taux officiel ; on vous rendra la monnaie en pesos. Les prix de nombreux hôtels et des locations de voiture sont d’ailleurs généralement affichés directement en dollars.
– Vous pouvez emporter des chèques de voyage en dollars US, que vous pourrez changer dans les banques et bureaux de change.
Le plus simple cependant est de partir avec des dollars américains et/ou de retirer du liquide dans les distributeurs sur place. Outre les pesos, certains dispensent des dollars US.
Les cartes Visa, MasterCard et Diners Club sont largement acceptées. Il est possible qu’on vous demande votre numéro de passeport. Toutes ces cartes comportent une assurance qui vous couvre durant votre séjour, y compris dans certains cas pour les voitures de location.
Pourboire : Il est d’usage de laisser un pourboire de 10 à 15% de la note dans les restaurants.
Petit lexique des 1ers mots usuels du pays :
– Oui / non : Si/No
– Bonjour : Buenos dias
– Au revoir : Adios
– S’il vous plaît : Por favor
– Merci : Gracias
– Je ne comprends pas : No entiendo
– Combien coûte ? : Cuanto es… ?
Monnaie : Peso (100 centavos) –
Code de la Monnaie : UYU
Horaires d’ouverture / de travail : Les bureaux de poste sont généralement ouverts de 8 h à 20 h du lundi au vendredi et le samedi jusqu’à 13 h ou 14 h. Les timbres sont en vente dans la plupart de ces bureaux, et plus rarement chez les marchands de cartes postales et dans les kiosques.
Les boîtes aux lettres de rue (buzones) sont rares, mais il y en a dans de nombreux magasins. Rapidité du service plutôt aléatoire mais assez fiable.
Téléphone : Indicatif +598
Branchement électrique/prise : La tension électrique est de 220 volts. Les anciennes prises de type européen à 2 trous sont progressivement remplacées par des prises argentines à 3 broches plates. Comme quoi l’Argentine ne choisit pas la voie de la standardisation… Certains hôtels ont les deux types de prise. Sinon, on trouve assez facilement des adaptateurs.
Médias : Les médias écrits ne diffusent leurs informations qu’en espagnol, que ce soit Brecha, Diario Atlas (Cerro Largo), Diario Cambio (Salto), Diario Correo de Punta del Este (Maldonado), Diario el Observador, Diario El Pueblo (Salto), Diario La República, Ecos Regionales (Flores), Editorial Turistica (Montevideo), El Avisador (Tacuaremb & 0acute), El Heraldo (Florida), El Observador, etc. Il en est ainsi dans les médias électroniques tels que Canal 10 (télé), El Espectador (radio), Monte Carlo Television, Radio Sarandi, Teledoce (télé), etc., mais certaines émissions radiophoniques en provenance du Brésil sont diffusées en portugais.
La plupart des restaurants uruguayens sont des parrilladas (grills), dont la spécialité est le plat traditionnel national le plus connu, l’asado (boeuf grillé). Le boeuf est présent à presque tous les repas et apparaît sous différentes formes parmi lesquelles asado de tira (Côtes), pulpa (boeuf sans os), lomo (steak dans le filet) et bife de chorrizo (rumsteck). Costillas (côtelettes) et milanesa (escalope de veau) sont également très connus, ils sont souvent accompagnés d’un mesclun de salade ou de frites. Le Chivito est un sandwich garni de tranches de viande, de laitue et d’oeuf. D’autres plats locaux sont le puchero (boeuf avec des légumes, bacon, haricots et saucisses), pizza, tourtes, porc grillé, poulet au vin grillé, cazuela (ragoÛt), normalement servi avec du mondongo (tripes), poissons et crustacés, morcilla dulce (boudin noir sucré aux zestes d’orange et aux noix) et morcilla salada (boudin salé). Parmi les desserts, il y a dulce de leche (friandises au lait), chaja (gâteau de Savoie en forme de boule fourré de crème et de confiture), mossini (gâteau de Savoie fourré à la crème), tarte au citron et yemas (dessert à base de jaune d’oeuf). Le service à table est habituel dans les restaurants. Les cafés et les bars ont un service à table ou au comptoir.
Boissons : les vins uruguayens sont de bonne qualité. Une boisson populaire est le medio-medio (moitié vin blanc sec ; moitié champagne). Les bières sont très bonnes. Les boissons importées sont disponibles partout. Les spiritueux locaux sont la caña, la grappa ainsi que le whisky et le gin distillés sur place. Il n’y a pas d’heures fixes pour les horaires d’ouverture des cafés et des bars
Les 2 tiers de la population est de confession catholique.
Les habitants sont accueillants et amicaux.
Maladies transmises par les moustiques
Dengue
Les autorités sanitaires locales attirent l’attention de la population en raison de la multiplication des cas de dengue qui ont été détectés jusqu’à Montevideo.
La transmission de la dengue s’effectue par l’intermédiaire de moustiques infectés. Les symptômes de la maladie s’apparentent à ceux de la grippe (forte fièvre, douleurs articulaires, maux de tête). Il n’existe actuellement pas de traitement préventif contre l’infection de la dengue, mais un vaccin est en cours de développement. La prise en charge est donc avant tout symptomatique. Elle repose sur la prise d’antalgiques à base de paracétamol et le repos. Il faut impérativement éviter la prise d’aspirine et d’anti-inflammatoire. La prévention individuelle repose donc essentiellement sur les moyens de protection contre les piqûres de moustiques (cf ci-après), notamment dans les régions limitrophes du Rio Uruguay (Départements de Colonia, Soriano, Rio Negro, Paysandú, Salto et Artigas).
Infection par le virus HIV – MST
Concernant les maladies sexuellement transmissibles, il est recommandé de prendre toutes les précautions d’usage en la matière et d’éviter les comportements à risque.
Préservez-vous des contaminations digestives ou de contact :
L’Uruguay peut être considéré comme un pays relativement sûr. Le taux d’homicides est l’un des plus faibles d’Amérique latine avec 7.9 meurtres par an pour 100 000 habitants, alors que la moyenne latino-américaine est de 16 pour 100 000.
Il a cependant connu ces dernières années une montée régulière de la petite et moyenne délinquance (vols à l’arrachée, agressions, cambriolages, etc). Cette délinquance peut toucher tous les quartiers de Montevideo (vieille ville, Centre, Pocitos, Carrasco, etc.) et les villes touristiques telles que Colonia, Rocha et Punta del Este. Les vols ont souvent lieu dans les lieux publics (rues, gares routières, plages…) ou lorsque les véhicules sont à l’arrêt (au feu rouge ou en stationnement). 37 agressions par jour ont été recensées par la préfecture de police de Montevideo en 2013 mais très peu à l’intérieur du pays.
De façon générale, en matière de prévention de délinquance, les précautions habituelles doivent s’appliquer en Uruguay :
Comptez de 22 à 30 US $/jour. Toutefois, trop séjourner sur la « Riviera » (la côte à l’est de la capitale) lors de l’été austral peut faire augmenter ce budget.
Hébergement:
– Bon marché : compter 50-300 $u/pers pour camper, 300-700 $US par personne en auberge de jeunesse, 850-2000 $US pour un bungalow sans ou avec douche et moins de 1 500 $u pour un petit hôtel familial ou une chambre privée en AJ.
– Prix moyens : 50-70 $ US pour un 3-étoiles local.
– Chic : plus de 70 $ US et jusqu’à 150-200 $ environ le 4-étoiles aux normes internationales.
Nourriture:
– Très bon marché : sandwichs 60-100 $US.
– Bon marché : moins de 300 $US.
– Prix moyens : 300-500 $US.
– Plus chic : plus de 500 $US.
Par la route : Bon réseau routier avec de très nombreux bus intéressants pour se déplacer; comptez environ 4 US $/100 km. Location de véhicule possible pour en gros 40 US $/jour ou moins de 200 la semaine.
Par Vols domestiques : lignes intérieures économiques.
Les lois sur l’éducation — Ley de Educación no 15739 du 28 mars 1985, Ley de Educacion no 16115 de juillet 1990) Decreto 395/985 du 30 juillet 1985, Decreto 407/85 du 31 juillet 1985, Declaración del Plenario Nacional du 21 décembre 1997 — ne traitent pas davantage de la langue que la Constitution. Même dans les programmes éducatifs officiels, le simple mot «lengua» (langue) n’apparaît que très rarement. Le ministère de l’Éducation, par exemple, exige que l’enseignement de l’informatique soit accompagné d’une «utilisation intensive et correcte de la langue»
Le plus souvent, le mot lengua est associé aux langues étrangères, surtout l’anglais. Mais le gouvernement a considéré qu’on devrait offrir aux élèves du secondaire une vaste gamme de formation dans d’autres langues étrangères. Les premiers centres d’apprentissage des langues étrangères (Centros de Lenguas Extranjeras) datent de 1996. Pour la première fois dans l’histoire de l’Uruguay, les écoles offrent maintenant une formation régulière dans la langue de leur grand voisin, le Brésil. Il est très intéressant de noter que 50 % des élèves ont spontanément choisi d’apprendre, comme première langue étrangère, le portugais. Un peu plus de 25 % ont opté pour la langue française et un pourcentage plus petit, pour l’italien. Les autres ont choisi l’anglais, l’allemand ou l’hébreu. L’enseignement n’est dispensé qu’en langue espagnole, sauf pour les cours de langues secondes qui sont obligatoires à partir de la deuxième année du secondaire.
En somme, l’Uruguay ne reconnaît aucune langue minoritaire dans le pays. C’est pourquoi l’unilinguisme espagnol règne en maître absolu. Presque désolant!
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