Avant le départ
Durée de vol : Environ 6h de vol depuis les principales capitales européennes. TAP, TACV et Air Sénégal desservent l’aéroport de Bissau plusieurs fois par semaine.
En savoir plus : Avant de partir & conseils pratiques
Durée de vol : Environ 6h de vol depuis les principales capitales européennes. TAP, TACV et Air Sénégal desservent l’aéroport de Bissau plusieurs fois par semaine.
En savoir plus : Avant de partir & conseils pratiques
Visa
Passeport et visa obligatoires. Le visa est délivré par l’Ambassade de Guinée Bissau de votre pays. Le délai théorique d’obtention du visa est de deux jours.
Documents à fournir :
– Votre passeport valable 6 mois après votre date de retour
– Deux photos
– Deux formulaires de demande de visa
– Photocopie du billet d’avion
– Une attestation de votre agence de voyage indiquant durée et date de séjour
Pour un voyage de tourisme : une réservation d’hôtel ou une lettre d’hébergement.
Pour un voyage d’affaire : vous devez joindre une lettre de mission de votre employeur indiquant les dates de séjour, la prise en charge et l’adresse du correspondant au Guinée Bissau, ainsi qu’une lettre d’invitation (visée par les autorités locales) de votre correspondant.
En savoir plus : voir Avertissement.
Vaccins : Fièvre jaune (OBLIGATOIRE), antirabique, antipaludéen.
En savoir plus : voir Coût de la vie ( Santé)
Conduite : A droite, le permis de conduire international est exigé.
Les contrôles douaniers sont nombreux sur les routes de Guinée-Bissau, à l’aéroport et au port.
Gardez à portée de main les factures de vos effets personnels prouvant qu’ils ne sont pas neufs et destinés à la vente.
Unité monétaire : Peso guinéen.
Paiement uniquement en argent liquide.
Taux de change au 07/01/2016 :
1,00 XOF = 0,00165453 USD = 0,00152449 EUR
1,00 USD = 604,400 XOF
1,00 EUR = 655,957 XOF
Sigle International : GNB
Monnaie
La monnaie locale est le franc CFA. Paiement uniquement en argent liquide.
Taux de change au 07/01/2016 :
1,00 XOF = 0,00165453 USD = 0,00152449 EUR
1,00 USD = 604,400 XOF
1,00 EUR = 655,957 XOF
Téléphone – Indicatif : 245
Nos d’Urgence
Police : 117
Ambulance : 119 ou 112
Pompier: 118
Médias
Presse
World Fact Book.
Cuisine à base de riz et de poissons, plus quelques « spécialités locales » à base de singe dite « viande de brousse »… pour ceux qui apprécieraient !
La gastronomie bissau-guinéenne est, comme celle de la Casamance, très influencée par le riz. On ne mange pas sans riz dans aucun des peuples de la côte bissau-guinéenne.
Les eaux très riches permettent également de s’approvisionner régulièrement en poisson. Mais la viande est aussi très présente.
A l’Est du pays, dans les zones de culture du mil, du maïs et du sorgho, ce sont naturellement ces céréales qui prennent souvent la place du riz dans les repas familiaux.
La sauce à l’arachide, riche et tant appréciée des ménagères, l’huile de palme que l’on trouve dans le pays à très bon marché, le citron, les gombos ou les diagatous (tomates amères) agrémentent de nombreux plats.
Quelques bonnes manières :
– On garde une tenue vestimentaire correcte, évitez de trop exhiber ses jambes pour les femmes
– Ne jamais refuser de serrer une main
– Ne jamais refuser une invitation ou un cadeau
– Si vous êtes invités à un repas, il se prend ensemble autour du même plat. On mange avec les doigts, mais on n’utilise que la main droite (la gauche est impure)
– Tout est prétexte à rire, n’hésitez pas à faire de l’humour, cela sera très apprécié
Mode de vie
C’est un pays très riche au point de vue de la diversité, des traditions et de la culture. Si nous prenons en compte les critères de mode de vie, de religion, de langues, d’histoire, de physionomie et de culture, plus d’une vingtaine d’ethnies cohabitent au total en Guinée-Bissau.
Cette maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…). A ces mesures doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France pour une durée variable selon le produit utilisé. Classification : zone 3.
Lors de votre séjour, et durant les deux mois qui suivent votre retour, en cas de fièvre, un avis médical doit être pris rapidement, pour mettre en œuvre dès que possible un traitement antipaludique éventuel.
La vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire (à pratiquer dans un centre agréé).
La vaccination contre la diphtérie-tétanos-poliomyélite est recommandée.
Il est vivement conseillé d’être vacciné contre la méningite à méningocoque.
Autres vaccinations pouvant être conseillées par votre médecin : fièvre typhoïde, hépatites A et B.
La vaccination contre la rage peut également être proposée dans certains cas. Demandez conseil à votre médecin ou à un centre de vaccinations internationales.
Choléra
Le choléra est endémique en Guinée-Bissao. Afin de diminuer les risques de transmission, il convient d’observer des règles d’hygiène alimentaires rigoureuses :
Prévalence non négligeable du VIH-sida. Toute mesure de prévention est indispensable.
Il n’y a pas de structure d’accueil pour traiter des patients dont l’état de santé (à la suite d’un accident ou d’une maladie) nécessiterait une prise en charge dans un service d’urgences. Une évacuation sanitaire (dont le coût sera supporté par le patient et sa famille) devra toujours être préférée à une hospitalisation en milieu local.
Il n’y a pas d’avion sanitaire à Bissao. Le plus proche est à Dakar soit à environ une heure trente minutes de vol de Bissao.
Les voyageurs peuvent circuler dans le pays à condition de suivre les routes principales. Il importe que les Français résidant ou de passage en Guinée-Bissao fassent preuve de prudence dans leurs déplacements. Il convient, par ailleurs, d’éviter de se déplacer de manière isolée et notamment la nuit, aussi bien dans la capitale qu’à l’intérieur du pays. Il est, de plus, conseillé d’éviter tous les lieux de regroupement à forte concentration de public. Au cours de leur séjour, les voyageurs devront prendre toutes précautions utiles pour conserver leurs documents de voyage et d’identité (passeport et carte nationale d’identité) ainsi que l’argent liquide en lieu sûr, notamment dans les lieux fréquentés comme l’aéroport et les marchés. Ne rien laisser sur les sièges à l’intérieur des véhicules. Il est souhaitable de signaler sans délai toute difficulté éventuelle à l’Ambassade.
A Bissao et dans sa banlieue, les conditions de sécurité se sont sensiblement dégradées avec une augmentation conséquente du nombre d’attaques à mains armées. Depuis quelques mois, une recrudescence des actes de petite délinquance, notamment des vols à la tire, a été observée.
La plus grande prudence est donc de mise, notamment lors des déplacements nocturnes, et quel que soit le quartier :
Du fait des opérations de déminage en cours et de la présence de groupes armés, la frontière entre la Guinée Bissao et le Sénégal est déconseillée sauf raison impérative.
Comptez de 12 à 22 € par jour pour un confort (très) basique et de 20 à 30 € pour une meilleure « qualité » lorsqu’elle existe.
L’état des routes est très mauvais pendant et après la saison des pluies. Il est préférable, si possible, d’opter pour un 4×4, et d’éviter de rouler la nuit.
Des taxis sillonnent Bissau, la capitale. Au niveau collectif, les taxi-brousse sont les « meilleurs » moyens de déplacement. Très lents, surtout à la saison des pluies, souvent fatigants, bondés mais économiques. Généralement, les départs « grandes distances » se font tôt le matin.
Le réseau de bus est quasi inexistant dans le pays.
Voiture : Pas vraiment de possibilités de location, mais on peut toujours essayer de s’arranger avec un particulier (y compris sur de courtes distances) ou son hôtel. Assez cher en général.
Bateaux : Ferries, pirogues et bateaux divers servent à traverser les nombreuses rivières et se rendre aussi aux Bijagos (notamment ligne Bissau-Bubaque). Très économique.
La Guinée Bissau a rejoint le Partenariat mondial pour l’éducation en 2010.
Le plan sectoriel de l’éducation de la Guinée-Bissau est en ligne avec la stratégie de réduction de la pauvreté, qui reconnaît que le secteur de l’éducation a été affecté par l’état de crise du pays.
Malgré la crise politique récurrente, la Guinée-Bissau a fait des progrès significatifs dans l’éducation. Le taux d’achèvement du primaire est passé de 29% en 2000 à 64% en 2010.
Mais le pays reste confronté à plusieurs défis. Le taux de redoublement est élevé et un grand nombre d’élèves abandonnent l’école primaire. D’importantes disparités demeurent entre les régions, les garçons et les filles, et les niveaux socio-économiques. Le plan triennal pour le développement de l’éducation a couvert la période 2011-2013. Le plan visait à atteindre une éducation primaire complète pour tous les enfants d’ici à 2020.
En cours de saisie