Oxfam

Avec les charity shops, les Anglais ont inventé le shopping zéro culpabilité.

On se fait plaisir, on finance une bonne cause et on contribue à sauver la planète. Le système bien rodé permet de recycler 100 000 tonnes de textiles par an, qui sont transformés en serpillières et chiffons s’ils ne trouvent pas preneur.

La protection de l’environnement est le cheval de bataille de Traid, dont les huit charity shops passent pour les plus hype du royaume. « C’est comme se promener dans la garde-robe de Chloë Sevigny », a écrit le magazine Time Out. Ici, les employés, non pas des bénévoles comme ailleurs, sont des professionnels de la mode qui ne laisseront pas passer un spécimen vintage.

L’organisation paie même des créatrices pour confectionner les modèles uniques de sa marque Remade, vitrine de sa philosophie du recyclage : des jupes et des robes cousues dans des chutes de tissu, des vestes d’homme à la boutonnière remplacée par un zip, des tops coupés dans des vêtements abîmés. Avec ce mélange d’éthique et de style, Traid (Textile Recycling for Aid and International Development) s’est taillé la réputation d’être à la pointe de la mode, image renforcée par le parrainage de Wayne Hemingway. Le fondateur de la marque anglaise Red or Dead avait lui-même fait ses premières affaires en bradant sa garde-robe et celle de sa femme sur le marché de Camden, au début des années 1980. « Ne jetez pas vos fripes, portez-les dans un conteneur Traid, conseille-t-il. Vous n’imaginez pas qui portera vos nippes un jour, et avec quel style !»

Grâce aux charity shops, la générosité n’a jamais été si bien habillée ? Léa Delpont

Publié le 27/04/2007

Outre-Manche, il existe plus de 6 500 de ces magasins caritatifs. On y déniche des tenues de mode à des tarifs d’occasion. De quoi être dans le vent tout en faisant une bonne action

Vous imaginez Victoria Beckham acheter une robe d’occasion ? Eh bien si, elle l’a fait. Une robe cocktail noire et blanche, dans une charity shop de Notting Hill, à Londres, en novembre dernier. Pas parce qu’elle est fauchée, mais parce qu’elle a du coeur et qu’elle en pince pour les belles fringues. C’est aussi ce que font toutes les accros de shopping, stylistes et étudiantes en mode anglaises. Les 6 500 charity shops du Royaume-Uni font partie du paysage, comme les bus à deux étages et les cabines téléphoniques rouges.

Ces boutiques, adossées à des associations caritatives (la Croix-Rouge, les organismes de recherche contre le cancer, Oxfam, etc.), vendent, à des prix dérisoires, ce que les voisins jettent : des vêtements, souvent râpés, parfois trop petits, ou simplement jamais portés, des livres, des disques, des jouets et même des robes de mariée…

Cela soulage à la fois les armoires et les consciences. « Donnez-nous une chemise, nous la vendrons 5,99 livres, et cela paiera un puits au Mozambique », proclame un slogan d’Oxfam, la principale ONG britannique, avec 750 boutiques de charité. Celui qui ouvrit la toute première en 1953, Joe Mitty, avait pour mot d’ordre : « Donnez n’importe quoi, nous pouvons tout vendre. »

Il avait même réussi à monnayer un âne 12 livres et 10 shillings ! La générosité à l’anglaise est pragmatique : plutôt que d’inonder le monde de tweed et de jacquard déclassés, les dons sont vendus et les sommes ainsi recueillies – plus de 150 millions d’euros par an – financent les diverses bonnes causes, campagnes de vaccination, développement durable, recherche médicale ?

Autrefois, la clientèle se limitait à celles des dames patronnesses et des gens dans le besoin. Mais, aujourd’hui, au pays où le seul mauvais goût vestimentaire consiste à manquer de look, et où l’unique règle de la mode est de n’en suivre aucune, faire son shopping dans ces charity shops est devenu aussi tendance que d’écumer les magasins bohèmes de Portobello et les showrooms feutrés de Sloane Street. C’est éthique, or l’éthique est plus à la mode que l’étiquette. Avec la folie du vintage, les fashion addicts traquent la perle rare Vivienne Westwood, Balenciaga, Courrèges, Ossie Clark, Zandra Rhodes ou Biba.

Quand une lady vide son placard, elle lègue forcément des morceaux de choix. Parfois des vêtements qui sentent la naphtaline, mais les chemisiers à jabot et les manteaux à la Miss Marple n’ont jamais été aussi sexy. C’est du dernier chic de faire baver les copines avec un chemisier Yves Saint Laurent ou une veste Chanel qu’on a payé une bouchée de pain et customisés bien sûr.

Conseils aux débutantes :

Visez les quartiers chics : Chelsea, Fulham, Hampstead Heath, Wimbledon, Notting Hill, Saint John’s Wood, Highgate.

Ne vous découragez pas si vous faites chou blanc. Passez et repassez régulièrement : de nouveaux articles arrivent tous les jours.

Commencez par les accessoires, sacs, broches, ceintures, colliers, avant de vous risquer sur les vêtements.

Traquez les vêtements de créateurs et les modèles vintage.

Enfin, ne regrettez jamais un achat : vous avez fait une bonne action !

On trouve de tout dans les charity shops: la petite robe noire basique qui vous manquait (à moins de 5 livres la saison printemps-été de l’année dernière de chez Marks & Spencer, Zara, Mango, ou encore Monsoon, Whistles, Jigsaw (des chaînes anglaises haut de gamme), un tailleur Joseph à 30 livres, des escarpins Colette (pas de chance, une pointure trop petite?), une veste Dolce & Gabbana, un pantalon Versace, un chemisier Kenzo, des bottes Ferragamo? pour ne citer que des articles repérés de visu (et bien évidemment déjà envolés). Les prix varient entre 3 et 10 livres, mais ils peuvent monter jusqu’à 50 pour une belle pièce, voire 150 pour un manteau Christian Lacroix (trop grand cette fois, zut !).

Dans les boutiques plus ou moins fouillis, les filles branchées et néanmoins économes cherchent le contrepoint au « style unique » diffusé par les grandes chaînes. « Cela permet de se constituer une garde-robe différente et stylée sans se ruiner », explique Abigail Dankwa, une habituée de la chine. Ses plus belles trouvailles sont un sac Gucci à 15 livres et une ceinture Azzedine Alaïa à livres. Mais il faut un peu d’entraînement et de créativité pour trouver son look en farfouillant dans les défroques des autres. Abigail fait défiler les cintres, passe rapidement sur les vêtements standards. Elle s’arrête sur les accessoires.

Le secret du style est dans la « customisation ». Diana Davis, responsable d’une boutique au profit de Save the Children, dans le sud de Londres, a vu la clientèle évoluer. « Il y a six ou sept ans, on ne voyait que les bonnes âmes du quartier, ou des personnes qui n’avaient pas les moyens de s’habiller ailleurs, qui entraient la tête basse et avaient honte de nos sacs, à cause du logo. Aujourd’hui, on voit des jeunes gens décomplexés qui cherchent la ? super occase ? Ils se comportent en consommateurs. Et ils sont fiers d’arborer nos sacs. » Quand Kate Moss a été photographiée avec le sac à 3 livres d’une opération caritative de Superdrug, les ventes ont été multipliées par dix. Et quand Victoria Beckham a visité la boutique Oxfam à Notting Hill, le magasin a enregistré une hausse de la fréquentation de 300%.

Oxfam est une confédération internationale de 17 organisations travaillant dans environ 94 pays dans le monde entier pour trouver des solutions à la pauvreté et ce qu’il considère comme une injustice dans le monde.

Dans toutes les actions de Oxfam, le but ultime est de permettre aux gens d’exercer leurs droits et de gérer leurs propres vies. Oxfam travaille directement avec les communautés et cherche à influencer les plus puissants, pour s’assurer que les pauvres peuvent améliorer leur vie et les moyens de subsistance et ont leur mot à dire dans les décisions qui les concernent. Chaque organisation (affiliation) travaille ensemble au niveau international pour atteindre un plus grand impact grâce à des efforts collectifs.

Les programmes d’Oxfam s’attaquer aux causes structurelles de la pauvreté et de l’injustice liée et travail, essentiellement par les organisations responsables locaux, qui cherchent à améliorer leur efficacité. L’objectif déclaré d’Oxfam est d’aider les personnes directement lorsque la capacité locale est insuffisante ou inappropriées pour les fins d’Oxfam, et d’aider dans le développement de structures qui profitent directement aux personnes faisant face aux réalités de la pauvreté et de l’injustice.

Oxfam fournit également des outils pour permettre aux gens de devenir autonome et ouvre les marchés du commerce de l’artisanat où international et produire des régions les plus pauvres du monde peuvent être vendus à un prix équitable au profit du producteur.

Le programme d’Oxfam a trois points principaux d’intérêt: le travail de développement, qui cherche à lever communautés de la pauvreté à long terme avec des solutions durables en fonction de leurs besoins; travail humanitaire, aider ceux qui sont immédiatement touchés par les conflits et les catastrophes naturelles (ce qui conduit souvent à des travaux de développement à long terme), en particulier dans le domaine de l’eau et de l’assainissement ; et lobbyiste , de plaidoyer et de campagne populaire, en essayant d’influer sur les décisions politiques sur les causes des conflits aux niveaux local, national et international.

Oxfam travaille sur la justice commerciale, le commerce équitable, l’éducation, la dette et de l’aide, les moyens de subsistance, la santé, le VIH / sida, l’égalité des sexes, les conflits (campagne pour un internationales commerce des armes traité) et les catastrophes naturelles, la démocratie et les droits humains, et le changement climatique.

Grâce à des programmes comme « Épargner pour le changement », Oxfam s’efforce d’aider les collectivités à devenir plus autonomes financièrement. L’Épargner pour le changement initiative est un programme par lequel les communautés apprennent à former collectives, des groupes informels de crédit. Grâce à ces groupes mutuellement bénéfiques, les membres qui ont tendance à être en majorité des femmes, en commun leurs économies dans un fonds qui sert à accorder des prêts pour des activités telles que de payer pour les soins médicaux et de payer les frais de scolarité, en plus d’utiliser les prêts pour financer à petite échelle entreprises commerciales. En fin de compte, l’objectif du programme est de laisser la communauté avec une organisation autonome où les gens qui, autrement, ne seraient pas admissibles à des prêts bancaires formels peuvent aller d’une aide financière. Ce faisant, les emprunteurs peuvent lancer des entreprises qui bénéficient non seulement eux-mêmes mais aussi leurs communautés.

Oxfam GB avait 5955 employés dans le monde en 2008, et un revenu total de £ 299,7 millions. Le siège social de Oxfam GB est situé dans Cowley, Oxford et possède des bureaux et des programmes dans plus de 70 pays dans 8 régions.

De 2007 à 2009, Oxfam GB a été reconnu comme l’un des meilleurs employeurs de la Grande-Bretagne [8] par le CRF.

Oxfam France

Oxfam Ireland travaille avec des organisations partenaires locales dans les pays en développement à élaborer des solutions efficaces à la pauvreté et l’injustice. C’est un organisme de bienfaisance enregistré en République d’Irlande et d’Irlande du Nord, dont le siège est à Dublin et Belfast

Fonds

Les fonds sont recueillis par l’intermédiaire de trois sources différentes :

Commerces : il y a 51 magasins dans toute l’Irlande qui vendent des biens donnés par le public

Gouvernement : le gouvernement irlandais a alloué plus de 3,7 M € au travail Oxfam en 2008-9.

Les donateurs privés, le financement d’entreprise et institutionnels : supporters qui donnent régulièrement par débit direct ou à des appels spéciaux.

Structure Oxfam Irlande est le titre public des deux entités juridiques enregistrées dans les juridictions respectives comme Oxfam Irlande du Nord et République d’Irlande Oxfam. Oxfam Irlande opère sur une base cohérente ensemble de l’île au moyen d’une structure de gestion unique et appartenance commune des associations et des conseils.

Oxfam Canada est un membre fondateur d’Oxfam, la fédération des Oxfam dans le monde entier. Aujourd’hui, Oxfam Canada travaille avec plus de 100 organisations partenaires dans les pays en développement, la lutte contre les causes profondes de la pauvreté et les inégalités et aider les gens à créer des communautés autonomes et durables. Au Canada, Oxfam est actif dans l’éducation, le plaidoyer politique et de construire une base de soutien pour son travail.

Oxfam Canada a cherché à répondre aux causes fondamentales, sous-jacentes Du CHÔMAGE.

L’organisation a changé sa politique volontaire vers une approche basée sur le réseau. Ils mettent en place un réseau que l’on appelle la participation ou de la tribu nommée www.doenersnet.nl dans le but de créer une campagne pour un monde juste et sans pauvreté.

Oxfam-Solidarité soutient environ 200 projets et programmes dans le Sud totalisant environ 10 millions d’euros, grâce à un cofinancement par le gouvernement belge et l’Union européenne. Le revenu de l’organisation provient des activités de recyclage, de l’appui des bailleurs de fonds et à la suite de campagnes.

Oxfam Wereldwinkels (fondée en 1971) et Magasins du Monde Oxfam-(fondée en 1975) restent des organisations autonomes, en mettant l’accent sur le commerce équitable. Avec plus de 220 points de vente, autant de groupes et 7000 bénévoles, ils forment un mouvement qui, guidé par les principes du commerce équitable, poursuit des objectifs similaires à ceux d’Oxfam Solidarité.

Oxfam France

Oxfam France a été fondée en 1988 sous le nom « Agir ici Pour un monde solidaire » (loi ici pour un monde unifié). Son travail était déjà basé sur la campagne et de plaidoyer, qui étaient tous deux rares en France à l’époque.

Basé à Paris, Oxfam France affirme que ses missions sont d’informer, de sensibiliser le public et mobiliser les citoyens. Le travail d’Oxfam France dans le plaidoyer et la recherche se concentre sur la justice économique (en particulier de recettes fiscales dans les pays en développement, l’APD, les paradis fiscaux et le financement innovant), l’agriculture (spéculation et alimentaires prix, les biocarburants, l’accaparement des terres, les règles commerciales), la protection des civils, et la santé.

Oxfam France est financé principalement par des dons publics et des bailleurs de fonds institutionnels.

Il dispose de cinq magasins de seconde main : trois librairies (deux à Paris, une à Lille), un magasin de vêtements à Lille et une boutique à Strasbourg.

Oxfam Allemagne a ses débuts dans une initiative de citoyens concernés qui en 1986 a ouvert une boutique de secondaire dans Bonn sur le modèle de l’idée de les britanniques magasins de charité. Bien que pas officiellement associé à Oxfam, la boutique a été composée de volontaires et vendu les biens donnés, et toutes les recettes accordées aux projets gérés par Oxfam GB. Un deuxième magasin, en suivant le même modèle, a été ouvert à Cologne en 1991. [13]

En Mars 2013, Oxfam s’occupait de 42 magasins de charité dans 28 villes allemandes, dont cinq librairies Oxfam et trois boutiques de mode. Selon le site Oxfam Allemagne, il y a 2 400 bénévoles dans ces magasins. [15]

Oxfam International événement de sensibilisation sur les changements climatiques (2007).

Le Secrétariat d’Oxfam International (OIS) mène, facilite et favorise la collaboration entre les affiliés d’Oxfam pour augmenter l’impact d’Oxfam sur la pauvreté et l’injustice à travers des campagnes de sensibilisation, des programmes de développement et d’intervention d’urgence.

Le Conseil OIS comprend le Directeur exécutif, président de chaque affilié, et le président OI. Les présidents des affiliés sont des membres votants et sont non-rémunéré. Les directeurs exécutifs et le président de OI sont tous membres non-votants. Le Conseil élit également le vice-président et trésorier parmi ses membres votants.

Le conseil est chargé de s’assurer que Oxfam International est responsable, transparent et apte à l’usage. La constitution et le plan stratégique sont également approuvés au niveau du Conseil. Le Conseil prend recommandations de directeurs exécutifs et s’assure que la Confédération s’efforce de ses objectifs convenus. Le Conseil engage également l’adhésion de la Confédération, sélectionne le président d’honneur, le conseiller honoraire, les agents du Conseil et le Directeur exécutif OI. Un certain nombre de sous-comités avec les membres experts sont également mandaté par le conseil pour résoudre des problèmes spécifiques.

La langue officielle de Oxfam International est l’anglais ; Anglais, français et espagnol sont les langues de travail. En 2009-10, il avait environ 77 membres du personnel (y compris les stages de détachement et le personnel par exemple temporaire pour la couverture de maternité). Il est financé par les contributions des organisations affiliées et dispose d’un budget de fonctionnement de 8,7 M $ US.

Activités

Oxfam dispose de quatre principaux axes pour ses ressources. Ce sont : la justice économique, services essentiels, l’homme en crise, et de la justice entre les sexes.

Justice économique vise à rendre le travail de l’agriculture pour les agriculteurs et ouvriers agricoles vivant dans la pauvreté et vulnérables circonstances, les règles commerciales plus équitables pour les pays pauvres, et réduire l’impact du changement climatique et de l’énergie des chocs.

Oxfam fournitures de secours à l’extérieur de l’entrepôt Siginon dans Nairobi, Kenya.

Services essentiels concentre sur; demandant que les gouvernements nationaux se acquittent de leurs responsabilités en matière de prestation équitable de la bonne santé de qualité, l’éducation, l’eau et l’assainissement, l’appui aux organisations et alliances de la société civile de tenir les gouvernements responsables de la prestation de ces services, et d’assurer de meilleures politiques et plus de financement de pays riches et pays institutions internationales, ainsi que de se assurer qu’ils honorent les engagements existants sur l’aide et la réduction de la dette.

Droits en situation de crise se concentre sur l’amélioration de la capacité de fournir une meilleure protection et une plus grande assistance, par l’amélioration de nos compétences et capacités, travailler avec et par des organisations locales, et en particulier de renforcer le rôle des femmes, l’évolution des politiques et des pratiques du système humanitaire internationale à fournir une meilleure protection et une plus grande assistance, et de travailler le cadre de la sécurité humaine, avec un plus grand accent sur la prévention des conflits, consolidation de la paix , la réconciliation et le développement à plus long terme

Gender Justice vise à soutenir le leadership des femmes à tous les niveaux pour atteindre un plus grand pouvoir dans la prise de décision et un plus grand contrôle sur leur vie, en augmentant le nombre de femmes recevant une éducation (deux tiers de tous les enfants voient refuser l’école sont des filles), d’acquérir alphabétisation fonctionnelle compétences afin qu’ils puissent travailler., [20] de travail pour mettre fin à la violence fondée sur le genre en changeant les idées, les attitudes et les croyances des hommes et des femmes qui permettent violence contre les femmes, et le renforcement de son propre apprentissage et les capacités sur le genre d’Oxfam pour se assurer que la justice de genre est atteint dans tous nos travaux. [Citation nécessaire]

Les boutiques d’Oxfam

Voir aussi : librairies Oxfam

Oxfam a de nombreux magasins dans le monde entier, qui vendent beaucoup commerce équitable et articles donnés. Ils ont ouvert leur premier magasin de charité en 1948, [21], bien que la négociation ait commencé en 1947. Le produit de ces obtiennent habituellement versée à différents organismes de bienfaisance ou qui sont utilisés pour faire avancer les efforts de secours d’Oxfam dans le monde entier.

Plaque attachée à la boutique Oxfam originale au 17 Broad Street, Oxford

Une grande partie de leur stock provient toujours de dons publics, mais actuellement, ils vendent également des produits du commerce équitable dans les pays en développement d’Afrique, d’Asie et d’Amérique du Sud, y compris l’artisanat, des livres, des CD de musique et des instruments, des vêtements, des jouets, de la nourriture et des créations ethniques. Ces objets sont introduits au public grâce au commerce équitable pour aider à stimuler la qualité de vie de leurs producteurs et les communautés environnantes.

Oxfam a plus de 1200 magasins dans le monde entier. Certains d’entre eux sont au Royaume-Uni, avec près de 750 magasins d’Oxfam GB, y compris les magasins spécialisés tels que les livres, la musique, les meubles et les vêtements de mariée. Oxfam Allemagne dispose de 45 magasins, y compris les librairies spécialisées ; Oxfam France magasins vendre des livres et des produits du commerce équitable et Oxfam Hong Kong a deux magasins vendant les biens donnés et des produits issus du commerce équitable. Oxfam Novib, Oxfam Australie (avec plus de 20 boutiques de commerce équitable), Oxfam Irlande et Oxfam en Belgique soulèvent aussi des fonds de commerces.

Sur les 750 magasins Oxfam caritatives à travers le Royaume-Uni, environ 100 sont les librairies spécialisées ou livres et de musique magasins. Oxfam est le plus grand détaillant de livres d’occasion en Europe, la vente d’environ 12 millions par an.

En 2008, Oxfam GB a travaillé avec plus de 20 000 bénévoles dans les magasins à travers le Royaume-Uni, soulevant £ 17,1 millions pour le programme de travail d’Oxfam.

En 2013, Oxfam a commencé là-derrière la -project Marques, « de fournir aux gens qui achètent et apprécient ces produits avec les informations dont ils ont besoin pour maintenir les Big 10 [entreprises alimentaires et de boissons] pour tenir compte de ce qui se passe dans leurs chaînes d’approvisionnement ». [28]

Le tableau de bord se compose de sept catégories, à savoir : [28]

  1. Transparence au niveau de l’entreprise
  2. Travailleurs agricoles femmes et les petits producteurs dans la chaîne d’approvisionnement
  3. Les travailleurs des exploitations dans la chaîne d’approvisionnement
  4. Les agriculteurs (à petite échelle) de plus en plus les produits de base
  5. Terrain, des droits et des accès à la terre et l’utilisation durable de celui-ci
  6. Eau, les deux droits et l’accès aux ressources en eau et l’utilisation durable de celui-ci
  7. Climat, tous deux relatifs à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et d’aider les agriculteurs à s’adapter au changement climatique

Le tableau ci-dessous donne un aperçu de l’évolution des scores (en pourcentage) :

Société Février 2013 Juin 2013 Septembre 2013 Février 2014 Octobre 2014
Nestlé 54% 56% 61% 64% 70%
Unilever 49% 49% 56% 63% 70%
Coca-Cola 41% 41% 46% 54% 59%
PepsiCo 31% 31% 31% 41% 44%
Mondelez 29% 30% 30% 33% 34%
Danone 29% 29% 33% 31% 31%
Mars 30% 31% 31% 31% 31%
Kellogg 23% 23% 23% 29% 31%
General Mills 23% 23% 24% 21% 30%
Associated British Foods 19% 19% 19% 27% 30%
Note moyenne 32,80% 33,20% 35,40% 39.40% 43,00%

Campagnes

Make Trade Fair

Make Trade Fair est une campagne organisée par Oxfam International qui se concentre sur l’élimination de plusieurs pratiques commerciales :

Dumping, qui se produit quand fortement subventionné, produits excédentaires des pays développés tels que le riz, le coton, le maïs et le sucre sont vendus à bas prix et les agriculteurs des pays pauvres ont du mal à rivaliser. On croit que cela crée un terrain de jeu inégal où les agriculteurs des pays en développement sont incapables de rivaliser sur le marché avec des produits et des cultures étrangères meilleur marché.

    Les tarifs douaniers, où les nations appliquent des taxes élevées sur les marchandises importées, restreignant les ventes de produits d’autres pays.

    Asymétriques droits du travail pour les femmes, qui gagnent souvent des salaires inférieurs à ceux de leurs homologues masculins.

    Strictes brevets questions, qui empêchent les prix des médicaments, les logiciels et les manuels (par exemple des brevets sur les gènes, les brevets chimiques, et les brevets logiciels) d’être réduit. Ainsi, ces biens essentiels sont souvent inaccessibles aux pays en développement.

Critique. Conflit avec Starbucks café éthiopien

Le 26 Octobre 2006, Oxfam a accusé Starbucks de demander à l’Association nationale du café (NCA) pour bloquer une marque américaine application à partir de l’Ethiopie pour trois des grains de café du pays, Sidamo, Harar et Yirgacheffe. [34] Ils ont affirmé cela pourrait aboutir à nier éthiopienne café agriculteurs des gains annuels potentiels de jusqu’à £ 47m.

Éthiopie et Oxfam America ont exhorté Starbucks à signer un accord de licence avec l’Éthiopie pour aider à stimuler les prix payés aux agriculteurs. La question de l’utilisation de Starbucks de marques de café Sidamo-célèbres de l’Éthiopie, Yirgacheffe et Harar était-qui génèrent des marges élevées pour Starbucks et les consommateurs de coûts une prime, encore généré de très bas prix aux agriculteurs éthiopiens.

Robert Nelson, le chef de l’ANC, a ajouté que son organisation a lancé l’opposition pour des raisons économiques, « Pour l’industrie américaine d’exister, nous devons avoir une industrie du café économiquement stable dans le monde la production … Ce régime particulier va faire mal les producteurs de café éthiopiens économique « . La NCA selon le gouvernement éthiopien avait été mal conseillé et ce mouvement pourrait les prix sur le marché. [34]

Face à plus de 90 000 lettres de préoccupation, Starbucks avait placé des brochures dans ses magasins Oxfam accusant de « comportement trompeur » et en insistant que sa « nécessité de la campagne [s] pour arrêter ». Le 7 Novembre, The Economist raillé « simpliste » la position d’Oxfam et « économiquement analphabètes « gouvernement de l’Ethiopie, en faisant valoir que Starbucks (et Illy approche s ‘) basée sur des normes serait finalement profiter aux agriculteurs plus. [35] En conclusion de cette question, sur 20 Juin 2007, les représentants du gouvernement de l’Ethiopie et de hauts dirigeants de Starbucks Coffee Company a annoncé qu’ils avaient signé un accord concernant la distribution, la commercialisation et l’octroi de licences qui reconnaît l’importance et l’intégrité des désignations de cafés de spécialité d’Éthiopie. [36] Les conditions financières relatives à cet accord n’ont pas été divulgués.

Starbucks, dans le cadre de l’affaire, a également été mis sur le marché café éthiopien au cours de deux périodes de promotion en 2008. Brandon Borrman, un porte-parole de Starbucks, a déclaré l’annonce est « un autre développement » dans la relation avec l’Éthiopie et une façon de rehausser le profil de café éthiopien dans le monde entier.

Seth Petchers, un porte-parole d’Oxfam, dit que l’accord sonne comme une « étape utile » aussi longtemps que les agriculteurs bénéficient, et c’est un grand pas depuis un an lorsque Starbucks « n’était pas engageant directement (avec) Ethiopiens sur la valeur ajoutée à leur café.  » [36]

Faveurs commerciales

En mai 2013 Oxfam a demandé Dole enlever ses étiquettes « éthiques Choice » de ses bananes en Nouvelle-Zélande jusqu’à ce qu’il améliore le traitement de ses travailleurs dans les Philippines. [37] Un porte-parole Dole dit le rapport d’Oxfam était un « geste commercial » visant à soutenir un rival le fournisseur qui a soutenu Oxfam et Oxfam « essayait de détruire la marque Dole ».

La neutralité politique

Oxfam Grande-Bretagne a été fortement critiquée par d’autres ONG pour devenir trop proche de Tony Blair s ‘ New Labour gouvernement au Royaume-Uni. [38]

En Octobre 2011, les plaintes déposées par un membre du public en ce qui concerne la campagne d’Oxfam pour une taxation des transactions financières ont abouti à Oxfam demande une injonction pour interdire un retraité, Barry Nowlan, d’un de ses magasins. M. Nowlan a affirmé qu’il s’attendait à payer les frais de demande l’injonction, qui a été recherché en raison de prétendue « harcèlement » et « intimidation » de la part de M. Nowlan après il s’est plaint d’une affiche qui met en évidence l’appel d’Oxfam pour un « La taxe Robin des Bois » de banques et institutions financières [39] [40] Le 25 Octobre 2011, le différend a été réglé à l’amiable dans Taunton. County Court [41] Par la suite M. Nowlan a déclaré : « La question a été réglée entre Oxfam et moi-même une base mutuellement satisfaisante.  » Oxfam a refusé de commenter l’affaire judiciaire, en disant simplement : « . C’est une affaire privée »

Les structures internes et le rôle politique

Un Oxfam choléra campagne de sensibilisation dans Mbandanka, République démocratique du Congo.

Omaar et de Waal, dans les aliments et de l’énergie au Soudan, [42] commentaire que « les années 1990 ont vu la pression croissante pour les institutions humanitaires à devenir plus responsable. Il y a eu une succession d’examens des opérations majeures, de plus en plus dans l’indépendance et la critique. » Ils citent un rapport de l’OCDE, l’évaluation conjointe des opérations d’urgence au Rwanda, qui a déclaré que son équipe « a rencontré des exemples d’organismes disent, si ce n’est des mensonges, alors certainement des demi-vérités » et a noté un « manque remarquable de tentatives par les agences de chercher l’opinion des bénéficiaires sur l’assistance fournie « . [43] Dans ce climat, Oxfam a fait face à un certain nombre de critiques, certains sont spécifiques à l’organisation elle-même, d’autres relatives à des problèmes dits endémiques aux agences d’aide des ONG.

En réponse à ces critiques Oxfam et d’autres ont lancé le Projet Sphère, une initiative qui vise à «améliorer la qualité de l’assistance fournie aux personnes touchées par des catastrophes », de «développer un ensemble de normes minimales dans des domaines de durcissement de l’aide humanitaire » et d’introduire un élément de responsabilité qui avait déjà fait défaut.

En 2005, le magazine New Internationalist décrit Oxfam comme « Big organisation non gouvernementale internationale (BINGO) », ayant un style d’entreprise, structure interne démocratique, et de traiter les symptômes plutôt que les causes de la pauvreté internationale – en particulier en acquiesçant à néolibéral l’économie et même la prise en charge conventionnelle rôles remplis par les gouvernements nationaux.

Des critiques similaires ont été exprimées par Red Pepper revue et Katherine Quarmby dans le New Statesman. Le dernier article détaillé divisions croissantes entre Oxfam et d’autres organisations au sein de la campagne Abolissons la pauvreté mouvement.

Dans un article pour Columbia Journalism Review, le journaliste Karen Rothmyer accusé les ONG en général et Oxfam en particulier d’être indûment influencé par les priorités des médias, de fournir des informations inexactes à la presse (« histoires mettant en vedette des projets d’aide s’appuient souvent sur douteuse chiffres fournis par les organisations ») et de perpétuer les stéréotypes négatifs qui « ont le potentiel d’influencer la politique « . Elle a attiré sur des travaux antérieurs par le journaliste Lauren Gelfand, qui avait pris un an de journalisme pour travailler pour Oxfam ; « Beaucoup de ce que fait Oxfam est de soutenir Oxfam » et Linda Polman, auteur de la crise Caravan ; « Les organisations humanitaires sont entreprises habillés comme Mère Teresa. »

Boutique Oxfam en Cirencester, Angleterre

Oxfam a été critiqué pour l’expansion agressive de ses librairies spécialisées, en utilisant des tactiques plus souvent associés à des sociétés multi-nationales. L’organisme de bienfaisance a été critiquée comme certains le prétendent cette expansion s’est faite au détriment des ventes de livres d’occasion indépendants et d’autres magasins de charité dans de nombreuses régions du Royaume-Uni.

Café équitable

Le 28 Avril 2007, deux universitaires à Melbourne, en Australie, représentant un groupe de réflexion ont déposé une plainte auprès de la Australian Competition and Consumer Commission accusant Oxfam de conduite trompeuse ou mensongère en vertu de la Loi sur les pratiques commerciales dans sa promotion du café issu du commerce équitable. Les universitaires font valoir que les coûts de certification élevés et les bas salaires pour les travailleurs sapent revendications que le commerce équitable contribue à lever les producteurs de la pauvreté. La plainte a ensuite été rejeté par la Commission.

Conflit israélo-palestinien

Oxfam soutient la solution à deux Etats, et a appelé Israël à lever le blocus de la bande de Gaza.

Oxfam UK s’associe avec le Conseil des députés qui représentent la Communauté juive du Royaume-Uni. Le projet, Grow-Tatzmiach, consiste à envoyer 25 personnes à un programme de formation militante pour aider à combattre la faim. En échange de partenariat, Oxfam a convenu de ne pas « appellent au boycott des produits israéliens ou pour soutenir les groupes qui le font, et ne sera pas partenaire avec des organisations qui prônent la violence ou s’opposent à une solution à deux Etats au conflit israélo-palestinien.  » Malgré cet accord, il y a encore ceux des deux côtés qui s’opposent à ce projet.

En Octobre 2009, Oxfam a été accusé par Israël ONG Regavim d’aider les Palestiniens dans des activités illégales dans Kiryat Arba, y compris le vol de l’eau. Oxfam a nié sa participation.

En réponse à un rapport 2012 Oxfam qui a jeté le blâme pour le faible développement économique dans les territoires palestiniens uniquement avec Israël, un porte-parole de l’ambassade d’Israël au Royaume-Uni a déclaré, « Le dernier rapport d’Oxfam sur la situation dans les territoires palestiniens met un agenda clairement politique dessus de toute préoccupation humanitaire. Loin de faire progresser la paix, une telle approche compromet les perspectives de parvenir à un règlement négocié du conflit. « 

Oxfam UK a annulé une exposition « Gaza : Through My Eyes » qui aurait dû avoir lieu à East London Mosque le 17 Janvier 2014, après Gauche Foot Forward présenté des informations à l’organisme détaillant commentaires homophobes et potentiellement antisémites par l’un des organisateurs, Ibrahim Hewitt. Militant des droits de l’homme Peter Tatchell a été signalée comme se félicitant de l’annulation de l’événement, mais pour avoir dit d’Oxfam Royaume-Uni, « il est très décevant que ce n’était pas de contrôles adéquats sur lui [M. Hewitt] avant d’accepter sa présence« .

Le 29 Janvier 2014 l’actrice Scarlett Johansson a démissionné en tant que porte-parole d’Oxfam international après être apparu dans une publicité TV pour SodaStream , une compagnie qui a une présence dans la Cisjordanie. L’annonce de son publiciste a déclaré que Johansson « respectueusement décidé de mettre fin à son rôle d’ambassadeurs avec Oxfam, après huit ans … Elle et Oxfam ont une différence d’opinion fondamentale en ce qui concerne le mouvement de boycott, désinvestissement et sanctions. « 

Confrontation avec Population Matters

En Décembre 2009 Duncan Green, directeur de recherche à Oxfam, a tenté de discréditer l’initiative de PopOffsets de Population Matters, (anciennement connue sous le nom Optimum Population Trust), en vertu duquel les individus peuvent compenser leurs émissions de carbone en finançant la planification familiale aux services dans le monde en développement. Écrit vert dans un op-ed dans le New Statesman que les hypothèses telles que celles dans le rapport de l’OPT assimilant la croissance de la population et la dégradation de l’environnement sont une « simplification grossière« .

En réponse, OPT décrit la réponse des parties du hall de développement à l’initiative comme «franchement scandaleuse« , ajoutant : « . Le monde a grand besoin d’un adulte, la discussion rationnelle de la question de la population … sans blâme, l’abus et l’hystérie« .

Oxfam accusé d’hypocrisie

Le magazine Private Eye est essentiel d’Oxfam parce que, tandis que Oxfam milite activement contre l’évasion fiscale des entreprises dans le cadre de la Coalition Si, Oxfam compte ancien PDG Pearson Dame Marjorie Scardino parmi ses fiduciaires. Souligne Private Eye qu’au cours ‘règne’ de Dame Marjorie à l’aéroport Pearson, la société a été un utilisateur prolifique de paradis fiscal … routage des centaines de millions de livres grâce à une série élaborée des entreprises luxembourgeoises (et la succursale luxembourgeoise d’une société britannique) à éviter l’impôt. »

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Nous nous concentrons notre travail sur des questions vitales pour s’attaquer aux causes profondes de la pauvreté, à partir des bases de la vie – la nourriture, de l’eau, de la santé et de l’éducation – à des questions complexes autour de l’aide, le changement climatique et les droits humains.

Les entreprises et la pauvreté

Bonne affaire est bien plus que faire de l’argent. De multinationales aux petites entreprises, les entreprises privées ont le potentiel de sortir des millions de personnes de la pauvreté.

La question

Plus grandes entreprises et des sociétés du monde ont un impact énorme sur les gens dans le monde en développement. Et ils peuvent être une force puissante pour le bien. Ils investissent beaucoup plus que les gouvernements ne peuvent jamais fournir de l’aide à l’étranger. Ils créent des emplois, donner aux gens la chance d’apprendre de nouvelles compétences, et de générer les salaires communautés ont désespérément besoin d’échapper à la pauvreté.

Mais la grande entreprise peut également faire plus de mal que de bien.

Partout dans le monde, de nombreux travailleurs ne sont pas payés assez pour vivre. D’autres souffrent de conditions de travail dangereuses, insalubres. Et beaucoup voient leurs droits fondamentaux soit négligés ou exploités activement sur une base quotidienne.

C’est pourquoi le travail d’Oxfam avec le secteur privé est vital – travailler en partenariat mesure du possible et chaque fois que nécessaire difficile.

Travailler avec la bonne MANIÈRE

Beaucoup de sociétés mondiales sont vraiment engagés à faire une différence positive dans les pays en développement. Oxfam travaille en partenariat avec ces entreprises, à l’aide de notre influence pour les aider à améliorer leurs politiques et leurs pratiques.

Comme dans l’Azerbaïdjan, où, avec le soutien du partenaire de Unilever « Agrotara », nous aidons assurer que les petits agriculteurs seront en mesure de vendre une partie de leurs produits sur les tablettes des supermarchés européens. À long terme, les petits agriculteurs auront un meilleur accès aux marchés locaux, régionaux et mondiaux. Cela aidera jusqu’à 20 000 petits agriculteurs gagnent une vie décente de leurs produits.

Mais il ne s’y arrête pas. Nous travaillons également au niveau de la communauté, soutenir les entrepreneurs locaux, les entreprises familiales, les producteurs et les travailleurs, les aider à faire un succès de ce qu’ils font.

Travailler de cette manière – du multinational au niveau local – qui fonctionne. Par exemple, en Afrique de l’Ouest nous travaillons juste en face de l’industrie du coton à tous les niveaux de production – de petits agriculteurs à grande fabricants de textiles et les détaillants de vêtements. C’est en aidant à assurer que les intérêts des populations locales sont protégés. Et changer des vies pour le mieux.

Trouver des solutions durables aux causes profondes du CHÔMAGE.

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