Les points forts
La situation politique et économique est très favorable et l’environnement des affaires est de qualité. Cet environnement influe favorablement sur le comportement de paiement des entreprises. La probabilité moyenne de défaut est très faible.
Selon la Banque Mondiale, la Suède figure parmi les dix premières économies du monde, en terme de facilité pour entreprendre des affaires. Le sondage prend en compte les indicateurs suivants : créer sa propre entreprise, employer et licencier des employés, exécution des contrats, possibilité de faire un crédit, inscrire son patrimoine, sécurité pour les investisseurs.
Le système d’imposition suédois est direct et l’impôt sur les sociétés est parmi les plus bas d’Europe. Le pays pratique l’exonération de participation, autorise la déduction fiscale totale pour les intérêts, et n’a pas de règles de capitalisation strictes.
Le système judiciaire est équilibré et permet des actions sûres, transparentes et fiables. Les contrats sont standardisés et les documents sont souvent utilisés par le biais de procédures simples, notamment pour les hypothèques.
La qualité du management et des services consultatifs est très élevée, et les démarches et procédures commerciales sont simples à entreprendre. En 2014, la Suède a été classé troisième dans le monde selon l’indice de Networked Readiness par le raport Global IT du Forum économique mondial.
Pour plus d’informations, consulter le site web de Business Sweden.
Les points faibles
Les points faibles du pays sont le coût élevé de la main d’œuvre, une législation du travail rigide, une forte taxation sur les individus et plus globalement un coût de la vie élevé.
Les mesures mises en place par le gouvernement
Depuis son entrée dans l’Union Européenne, le gouvernement suédois a mis en place un certain nombre de réformes pour améliorer l’environnement légal des affaires. Cela lui a permis d’attirer les investisseurs étrangers et d’augmenter la compétitivité. La Suède est classée en première position par l’OCDE en terme de dépenses publiques, notamment en faveur de l’investissement.
La liberté d’établissement
Oui.
Cela prend deux à trois semaines une fois que le Bureau Suédois de l’enregistrement des entreprises en a reçu la demande écrite.
La réglementation concernant les prises de participation
La prise de participation majoritaire au capital d’une entreprise suédoise est autorisée.