Les points forts
Les points forts du pays sont :
– L’absence de fiscalité directe sur les sociétés (mis à part pour le secteur pétrolier, bancaire et les assurances) et sur les personnes ;
– L’absence de contrôle des changes ou de toute contrainte en matière de rapatriement des capitaux ;
– Un secteur bancaire solide et rentable et des règlements favorables aux investissements étrangers ;
– La position géographique, faisant du pays une potentielle plate-forme de rayonnement dans tout le Golfe, l’Iran , l’Asie et le Moyen-Orient ;
– Ce pays dispose enfin d’une main d’œuvre étrangère à faible coût, de très bonnes infrastructures de transport et de fabrication (financées par les revenus des hydrocarbures) et d’un accès à l’énergie à moindre coût.
– L’absence de fiscalité directe sur les sociétés (mis à part pour le secteur pétrolier, bancaire et les assurances) et sur les personnes ;
– L’absence de contrôle des changes ou de toute contrainte en matière de rapatriement des capitaux ;
– Un secteur bancaire solide et rentable et des règlements favorables aux investissements étrangers ;
– La position géographique, faisant du pays une potentielle plate-forme de rayonnement dans tout le Golfe, l’Iran , l’Asie et le Moyen-Orient ;
– Ce pays dispose enfin d’une main d’œuvre étrangère à faible coût, de très bonnes infrastructures de transport et de fabrication (financées par les revenus des hydrocarbures) et d’un accès à l’énergie à moindre coût.
Les points faibles
Il existe des freins juridiques à l’investissement étranger. En effet, l’interdiction (hors zone franche) de détenir plus de 49% du capital d’une entreprise locale pour un investisseur étranger constitue une entrave importante. De plus, l’obligation de recourir à un agent de service local pour les succursales et les bureaux de représentation des sociétés étrangères représente une limite.
Les mesures mises en place par le gouvernement
Les sept émirats ont pris des mesures afin de créer une ambiance favorable à l’investissement étranger. Notamment, Dubaï, Sharjah et Abou Dhabi ont des règles très flexibles concernant l’acquisition d’immobilier par les étrangers. Le gouvernement émirien a également passé un nouveau code des entreprises récemment. Il y a d’ailleurs actuellement 18 projets de loi qui devront traiter des sujets considérés comment freinant les investissements étrangers aux EAU. Ces lois couvrent notamment l’insolvabilité et l’arbitrage et incluent un project de loi gouvernant les investissements étrangers. Il y a aussi l’idée de l’abolition potentielle de la règle qui prescrit que 51% du capital d’une entreprise doivent être détenus par un citoyen émirien, ainsi que l’idée d’ouvrir les secteurs des banques et de l’assurance, mais aucune décision a été prise là-dessus.-
La liberté d’établissement
Elle est limitée puisqu’il est obligatoire d’avoir un agent local pour créer un établissement aux Emirats et que le capital détenu par un étranger dans cette entreprise ne peut dépasser 49%.
La réglementation concernant les prises de participation
La prise de participation majoritaire au capital d’une entreprise locale est limitée à 49%.