Durée de vol – des principales capitales européennes, de celles du Proche Orient, desservies par l’ensemble des grandes compagnies. Un service en correspondance directe avec les mouvements des avions assure la navette entre l’aéroport et le centre-ville de la ville située à 13 km du centre.

Conduite et Permis de conduire : Conduite à droite. Le permis de conduire national est reconnu, mais il vous faudra un permis international pour louer un véhicule.

En savoir plus : Avant de partir & conseils pratiques

Entrée / sejour : Le passeport doit être encore valide au moins 3 mois après la date retour. Le billet de retour ou de continuation est exigé.

Visa : Pas de visa nécessaire pour les Français pour un séjour de moins de 3 mois.

Plusieurs points de passages terrestres d’accès facile avec l’Argentine et le Brésil.
Par contre de/vers la Bolivie les possibilités via le Chaco sont plus difficiles et peuvent demander du temps (pas de transports en commun et de mauvaises pistes).

Conduite à droite. Le permis de conduire national est reconnu, mais il vous faudra un permis international pour louer un véhicule.

Vaccination : Aucun vaccin n’est obligatoire, sauf celui de la fièvre jaune pour les personnes ayant séjourné dans un pays infecté.

Vaccins Conseilles : DTPolio à jour, hépatites A et B, fièvre typhoïde, rage (voyages aventureux).

Limitation en douane : Importation et exportation libre de tabac ; alcool et parfum en quantité raisonnable.

Unité monétaire : GUARANI 
Code de la Monnaie : PYG
Taux de change : 1 PYG = 0,000155318 EUR – 1 EUR = 6 438,05 PYG (Janvier 2016)

La monnaie du pays est le guarani mais les dollars américains sont couramment acceptés. Il est possible d’échanger les chèques de voyages dans les bureaux de change. Nombreux magasins, centres commerciaux, restaurant et hôtels prennent les cartes de paiement Visa et Mastercard. Des distributeurs automatiques de billet sont également disponibles dans toutes les grandes villes.
En cas de besoin urgent, des transferts d’argent rapides sont possible via plusieurs agences Western Union.

Change et moyent de paiement:  Il est conseillé de venir au Paraguay avec des liquidités, car si les bureaux de change sont très nombreux, les distributeurs de billets sont presque inexistants.

Les dollars américains et les euros sont acceptés, mais la monnaie américaine est bien plus répandue.
Il est recommandé de changer de l’argent dans ces bureaux sécurisés.

Les chèques de voyage sont échangeables dans les bureaux de change, qui prennent 3 à 5 % de commission.
Les cartes de paiement Visa et MasterCard sont utilisables dans les grandes établissements.

Pourboire : Laisser 10% de la note, lorsque le service n’est pas compris dans les hôtels et les restaurants du Paraguay.

Petit Lexique Des 1ers Mots Usuels Du Pays :

– Oui / non : Si/No
– Bonjour : Hola
– Au revoir : Adios
– S’il vous plaît : Por favor
– Merci : Gracias
– Je ne comprends pas : No entiendo
– Combien coûte ? : Cuanto es… ? la

Horaires d’ouverture / de travail :
Les banques et les administrations sont fermées l’après-midi. Les entreprises continuent leurs activités le samedi matin.

Conduite et Permis de conduire : Conduite à droite. Le permis de conduire national est reconnu, mais il vous faudra un permis international pour louer un véhicule.

Sigle International : PY

Téléphone :
Indicatif : 595

Numéros d’Urgence :
Police : (061) 510 651 / (061) 550 076 / (061) 513 898.
Ambulance GEMA : Tél. 600.274 / 664777/8.

Hopitaux :
Sanatorio San Roque. Tél. : 212.499. Urgence toute nature sauf brûlés. Thérapie intensive
Hôpital privé français. Tél : (595-21) 295.250 – Urgence toute nature sauf brûlés.
Fondation du coeur. Tél : (595-21) 900.199. Affections cardio-vasculaires.

Médias :
Parmi les principaux journaux édités en espagnol, il y a: Noticias, ABC Color, Ultima Hora, El Dia et La Nacion.

Nourriture et boissons :
Certains plats typique du Paraguay sont: chipas (pain de farine de maïs, amidon de manioc et de fromage), sopa paraguaya (purée de maïs, fromage, lait et oignons), soo-yosopy (soupe de farine de maïs et viande hachée), albondigas (boulettes de viande), empanadas (rissoles de viande hachée, de poulet ou cœur de palmier, ou jambon et fromage). Les palmitos (cœur de palmier) le surubi (un poisson du Parana) et la viande locale sont excellents.

A Assomption, il y a une grande variété de restaurants, la plupart ont un service à table.

Boissons: la boisson nationale est la caña, une distillation faite à base de canne à sucre et de miel. Il faut goûter le jus de canne à sucre, connu comme le mosto, et le vin rouge national tout comme la yerba de mate, une boisson très populaire. Il n’y a pas de restrictions d’horaires pour la consommation d’alcool.

Bien que peu prisée des touristes, le Paraguay est une destination idéale pour les voyageurs souhaitant sortir des sentiers battus et vivre une expérience cutlturelle authentique sur une terre faite de contrastes. Dans un cadre raffiné et à la fois bucolique où se cotoient luxe et misère, venez observer les charettes tirées par les boeufs qui déambulent paisiblement parmis les mercedes ou encore les centres commerciaux cosus qui jouxtent les modestes ateliers d’artisans.

La population est majoritairement métissée Espagnols et Indiens Guaranis.
Les habitants du Paraguay sont en grande majorité catholiques.
Une poignée de main ferme mais brève, accompagnée d’un contact visuel est attendue lorsque l’on souhaite saluer quelqu’un au Paraguay.
Lorsque vous êtes convié à un rendez-vous d’affaire, il est de coutume d’être ponctuel bien que votre hôte ne soit pas assujeti à la même règle, en effet le retard de votre hôte sera proportionnel à son importance au sein de sa structure.
Croiser les doigts pour attirer la chance risque de vous apporter des ennuis au Paraguay car ce geste est associé à l’acte sexuel.

Aucune vaccination obligatoire.

Fortement conseillée : antitétanique, antipoliomyélitique . Recommandées (sous réserve d’un avis médical) : Diphtérie, Fièvre typhoïde, Hépatite A et B.

Dengue :
On enregristre en 2013, 150 000 cas de dengue et 262 décès.

La dengue est une maladie propagée par les moustiques, y compris durant la journée. Elle peut revêtir plusieurs formes, dont une forme hémorragique de pronostic grave, voire mortelle chez les enfants, les vieillards et adultes fragilisés par le diabète, des problémes rénaux ou cardiaques. Elle se manifeste par un syndrome grippal, avec douleurs musculaires et articulaires généralisées, et parfois une éruption cutanée. La prise d’aspirine est déconseillée.

En liaison avec la période de fin de mousson, on constate une résurgence des cas de dengue dans différentes régions. Il convient de façon générale de respecter les mesures élémentaires de protection contre les moustiques (vêtements longs, utilisation de produits répulsifs, recours aux moustiquaires, etc.).Il est recommandé de se protéger avec de la citronnelle et crèmes anti-moustiques, éventuellement avec des bracelets anti-moustiques dont l’efficacité est limitée à 30%. Il convient de prendre garde à l’usage des produits anti-moustiques contenant du « Pyretoide », produit agressant la moelle osseuse. Il n’existe pas de traitement médicamenteux préventif contre la dengue.

Chikungunya :
Le chikungunya est une maladie virale de plus en plus fréquente au Paraguay, elle est transmise à l’homme par les moustiques infectés. Elle présente des symptômes similaires à ceux de la grippe : fièvre, douleurs musculaires et articulaires. Tout comme la dengue, il convient de mettre en place un système de protection individuel basé sur des répulsifs et des vêtements longs.

Fièvre jaune :
Disparue depuis 34 ans du Paraguay, la fièvre jaune a fait sa réapparition en 2008. Elle est fréquente en période estivale c’est pourquoi la vaccination anti-amarile est fortement recommandée aux voyageurs souhaitant se rendre au Paraguay.

Paludisme :
Bien que rare au Paraquay, il est tout de même recommandé d’avoir recours à des mesures de protection indiviudelles (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…) pour lutter contre le paludisme (malaria): maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques. A ces mesures, doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé. Des cas de paludisme sont signalés dans les zones frontalières du Brésil.

Zika :
Les autorités sanitaires paraguayennes ont signalé depuis le mois de novembre 2015 l’apparition de cas de virus Zika, maladie transmises par les piqures de moustiques et provoquant fièvre et éruptions cutanées.

VIH-Sida :
En raison de la présence non négligeable du virus du VIH-SIDA il est recommandé de prendre toutes les précautions d’usages et d’éviter les comportements à risque.

Quelques règles simples d’hygiène :
Il est déconseillé de boire l’eau du robinet. Préférer l’eau en bouteilles capsulées.
Eviter l’ingestion de glaçons, de légumes crus et de fruits non pelés et lavés à l’eau du robinet, ainsi que la consommation de jus de fruits frais achetés dans la rue.
Eviter de consommer des aliments (lait, poisson, viande rouge et volaille) insuffisamment cuits.
Veiller à un lavage régulier et soigné des mains avant chaque repas.
Eviter les baignades dans les rivières, les lacs ou la baie d’Assomption (risques d’infections parasitaires).
Eviter tout contact avec les animaux rencontrés.
Veiller à respecter les impératifs de sécurité routière (port de la ceinture de sécurité en automobile ou du casque en moto).
Emporter dans vos bagages les médicaments dont vous pourriez avoir besoin.

Il est recommandé d’observer les précautions d’usage suivantes :

• de faire preuve de vigilance et de discrétion : éviter d’exhiber des signes extérieurs de richesse ou de porter des objets de valeur, tels que bijoux, vêtements de luxe ou appareils photographiques. La plus grande vigilance est notamment requise à la sortie des bureaux de change ou à proximité des distributeurs automatiques de billets ;
• d’observer les précautions d’usage, d’éviter de fréquenter, particulièrement la nuit, certains quartiers de la capitale d’Assomption, où les vols sont nombreux : marché « Mercado Cuatro », bidonville de La Chacarita (proche de la cathédrale et du Congrès), et les faubourgs d’Assomption : San Lorenzo, Limpio, Luque, Nemby ;
• de ne pas résister en cas d’agression, le ou les agresseurs pouvant être armés.

Risques liés au transport

Il est déconseillé de circuler la nuit, notamment sur les grands axes routiers reliant la capitale aux villes frontières de Ciudad del Este (Argentine/Brésil) et d’Encarnación (Argentine), ainsi que sur la route Trans-Chaco qui traverse le Chaco depuis Assomption jusqu’à la frontière Nord-Ouest avec la Bolivie, en passant par Filadelfia.

Des pluies violentes peuvent provoquer des inondations et l’interruption du trafic routier.

Pour information : service des routes : Tél. +595 21 443 310 ; service météorologique : Tél. +595 21 646 095 (en espagnol)

Risque terroriste

Un groupuscule terroriste, qui se nomme « l’Armée du peuple Paraguayen » (EPP – Ejército del Pueblo Paraguayo), est actif dans les zones de forêt frontalières avec le Brésil et le département de San Pedro. L’EPP est accusé par la justice du Paraguay d’entretenir des liens avec les FARC.

L’ensemble du territoire est en vigilance renforcée. Les voyageurs doivent adopter des mesures de prudence en se rendant dans les zones suivantes :

• Partie occidentale, le Chaco : en raison des conditions naturelles difficiles, il est conseillé de s’y rendre accompagné. Les séjours en estancia (grande propriété fermière) sont à préférer à la randonnée. Se munir de réserves d’eau, de nourriture et de carburant. Cette région recèle faune, flore et espaces remarquables (parcs nationaux). La chasse et la capture y sont interdites sous peine de sanctions pénales.
• Partie orientale : en raison de la présence de narcotrafiquants, il est conseillé d’être vigilants dans les départements de San Pedro et de Concepción, les zones frontières de Juan Pedro Caballero et de Ciudad del Este. Pour toutes informations utiles, prendre l’attache avec l’Agence consulaire de Ciudad del Este.

Ce poste ne possède plus de section consulaire depuis juin 2016 avec le passage au format Poste à Présence diplomatique. La communauté française du Paraguay et les Français de passage relèvent ainsi de la responsabilité du Consulat général de France à Buenos Aires.

Il est recommandé de :

• enregistrer le numéro de l’ambassade et d’une personne à prévenir en cas d’urgence ;

• faire des photocopies des documents officiels et laisser les originaux dans le coffre de l’hôtel ou dans un lieu sûr ; il est également possible de les scanner et de les stocker sous une forme numérisée.

Le Paraguay est, depuis plusieurs années, déclaré (entre autre par CNN) comme la capitale la meilleure marché du monde. A titre d’exemple vous pourrez louer une maison de haut standing, 3 chambres avec piscine entre 200 et 500 euros par mois, une employée domestique ne vous coûtera pas plus de 100 euros par mois, un kilo de viande de bonne qualité ne vous coûtera pas plus de 2 euros. On peut très très bien vivre au Paraguay avec 1000 euros par mois.

Le Paraguay reste un des derniers pays à accepter la venue d’immigrants sur son territoire sans trop de complications ni d’exigence. Pour résider au Paraguay, il ne vous sera demandé qu’un investissement de 5000 dollars américains dans le pays ainsi que la présentation d’ un certificat de bonne conduite et d’ un certificat de naissance de votre pays d’origine.

Un nuit en dortoir ou en auberge de jeunesse coute entre 9 et 15$. On peut trouver des chambres d’hotels à partir de 15$, les chambres chics coutent entre 40 et 60$ tout comme on peut bénéficier de chambres haute gamme à partir de 60$.

Restaurants :

Bon marché : entre 2 et 7$
Moyens : entre 7 et 10$
Chic ou très chic : 10$

Par la route : Réseau de bus ou de taxis collectifs assez développé et peu cher. Avec moins de 5 % de la population, l’ouest (le Chaco) dispose bien sûr d’un réseau bien moindre que le reste du pays. Circuler dans cette partie du pays nécessite la plupart du temps un véhicule 4×4 vu le mauvais état du réseau routier.

Train : le réseau ferroviaire paraguayen n’est plus en service.

Bateau : voyage possible sur le fleuve Paraguay.

Avion : la compagnie aérienne Varig opère entre Asuncion et Iguassu falls, les autres aéroports sont desservis par de petites compagnies.

Au Paraguay, la loi 68 du 17 octobre 1990 rendait obligatoire l’introduction des langues nationales, l’espagnol et le guarani, dans le système éducatif. Cette loi a été modifiée par la loi no 28 du 10 septembre 1992. L’article 1er de la loi no 28 rend obligatoire l’enseignement des langues nationales dans le système d’éducation des niveaux primaire, secondaire et universitaire.

Il est prévu que le ministre de l’Éducation, de la Culture et des Universités formulera des programmes d’enseignement en fonction de l’usage correct de la langue guaranie dans toutes les situations de communication. Selon l’article 31 de Loi générale de l’éducation (Ley General de Educación) du 26 mai 1998, la langue d’enseignement du premier cycle primaire doit être la langue maternelle officielle de l’élève («en la lengua oficial materna del educando»; l’autre langue officielle sera enseigné comme langue seconde.

Depuis quelques années seulement, le guarani est enseigné dans les écoles primaires. Mais la langue d’enseignement continue généralement d’être l’espagnol, même dans les zones rurales et les districts populaires urbains. Dans les faits, le guarani sert simplement d’auxiliaire pour l’apprentissage de l’espagnol durant les trois premières années du primaire, même si, en haut lieu, on parle officiellement d’«éducation bilingue». Ensuite, lorsqu’il est enseigné, le guarani ne constitue qu’une matière d’enseignement.
Plus précisément, il est stipulé dans le «Programme d’enseignement bilingue» du gouvernement que l’espagnol et le guarani sont utilisés pour la communication orale, alors que l’espagnol est seul autorisé pour l’apprentissage de la lecture et de l’écriture. Selon la définition officielle, l’enseignant bilingue est «une personne qui parle l’espagnol et le guarani, et qui alphabétise en espagnol» (Grazziella CORVALÁN). Ce processus ne dure que trois ans, le temps de passer ensuite uniquement à l’espagnol.

Cette situation inégalitaire du bilinguisme paraguayen n’est pas sans soulever de nombreux problèmes d’ordre social et éducationnel. Il est vrai que la majorité de la population est en faveur du guarani comme l’une des deux langues d’enseignement, mais celles-ci n’ont guère le même statut. Rien ne semble être fait pour améliorer la situation de diglossie dont souffre le guarani. Dans ces conditions, il n’est pas surprenant que seulement 55 % des élèves terminent leurs études primaires.

L’enseignement des langues étrangères est prévu à l’article 75 de la Loi générale de l’éducation (no 1264) du 26 mai 1998.

Pour ce qui est des langues étrangères, elles sont enseignés au secondaire. La palme va à l’anglais, suivi du portugais et du guarani. Le guarani est enseigné comme langue seconde aux élèves hispanophones qui ont généralement le choix entre cette langue et l’anglais ou le portugais, parfois l’allemand ou le français. L’étude du français ne concerne que 0,5 % des élèves du secondaire. Il s’agit d’un succès bien modeste, mais il faut savoir que le français ne s’inscrit dans aucune tradition dans ce pays, contrairement au portugais, à l’anglais et à l’allemand.

Quant aux mennonites, en raison de leur autonomie administrative, ils dispensent l’enseignement à leurs enfants en allemand standard. Le programme élaboré par leur Conseil général de l’éducation prévoit que l’espagnol sert de langue seconde, afin que les élèves puissent, plus tard, accéder aux établissements universitaires du pays. De cette manière, ils ont rendu possible ce qui sans doute constitue un pas de plus pour tenter de s’intégrer dans la société paraguayenne. Les Germano-Paraguayens disposent également de leurs propres réseaux de radio et de télévision.

En matière d’enseignement, l’article 77 de la Constitution de 1992 déclare ce qui suit:
1) L’enseignement du premier cycle scolaire sera dispensé dans la langue maternelle officielle de l’élève. Il sera appris aux élèves de comprendre et d’employer ainsi les deux langues officielles de la République.
2) Les minorités ethniques dont la langue maternelle n’est pas le guarani peuvent choisir l’un des deux langues officielles.
3) L’enseignement des langues nationales, l’espagnol et le guarani, est déclaré obligatoire dans les programme d’études aux niveaux primaire, secondaire et universitaire.
4) L’enseignement sera dispensé dans la langue officielle maternelle de l’élève à partir du début du cursus scolaire ou depuis le premier cycle.
5) L’autre langue officielle sera aussi enseignée depuis le début d’instruction scolaire selon la méthode didactique propre à une langue seconde.
6) Les établissements spécialisés publics ou privés dans l’étude et la la diffusion d’une langue étrangère ou des langues des autres ethnies de notre pays recevront une reconnaissance officielle, soumise à l’accomplissement de la réglementation établie à cet effet par le ministère l’Éducation et de la Culture.

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