Par la route : Avec un tiers de routes bitumées, le réseau routier est en bon état sur les axes principaux mais nécessite souvent un 4×4 ailleurs, notamment au nord.
Transports en commun : Le Niger possède l’un des réseaux de bus le mieux organisé de l’Afrique de l’Ouest avec des possibilités de réservation de place à l’avance (ce qui permet ainsi de choisir son siège dans le bus). Il existe aussi un réseau de taxis-brousse (504 breaks en bon état). pour des prix à peine supérieurs à ceux des bus (3/4 € par 100 km) mais qui, vu la « qualité » du bus, n’est finalement que peu utilisé des voyageurs. Dans tous les cas, se méfier de la durée des trajets car les transports sont peu rapides, fatigants, et les distances souvent très longues (utile donc que de prévoir de l’eau et de la nourriture).
Véhicule 4×4 : Pour ceux qui veulent découvrir le pays en 4×4, il existe des possibilité de location sur place avec chauffeur/guide pour au minimum 75 €/jour, plus bien sûr différents circuits proposés. En location comme avec son propre véhicule, prendre les précautions d’usage indispensables à l’environnement saharien. A savoir : bien choisir ses guides, disposer d’un bon matériel et être très bien équipé (y compris avec des réserves d’essence, d’eau, nourriture et GPS dans certains cas), se déplacer en convoi de plusieurs véhicules sans jamais s’écarter des pistes les plus fréquentées, indiquer son itinéraire avant de partir et surtout bien s’informer des possibilités et des situations locales auprès des autorités ou d’autres voyageurs.
Pour ce qui est de la région Nord, au départ d’Agadez, sachez que des autorisations (« feuilles de route » à 40 €/véhicule env.) sont nécessaires et il n’est possible de s’y déplacer qu’avec un guide (y compris si l’on dispose de son propre véhicule).
Rivières : Bateaux et pirogues le long de la boucle du Niger.
Vols domestiques : L’avion relie plus ou moins les principales villes du pays.