Sites inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO: 4 biens inscrits

Ancienne ville de Ghadamès (1986)

Bâtie dans une oasis, Ghadamès, « la perle du désert », est une des plus anciennes cités présahariennes et un exemple exceptionnel d’habitat traditionnel. Son architecture domestique se caractérise par les différentes fonctions assignées à chaque niveau : rez-de-chaussée servant de réserve à provisions, étage familial surplombant des passages couverts aveugles qui permettent une circulation presque souterraine dans la ville et terrasses à ciel ouvert réservées aux femmes.

Site archéologique de Cyrène (1982)

Colonie des Grecs de Théra, Cyrène fut l’une des principales villes du monde hellénique. Romanisée, elle resta une grande capitale jusqu’au tremblement de terre de 365. Un millénaire d’histoire est inscrit dans ses ruines, célèbres depuis le XVIII^e siècle.

Site archéologique de Leptis Magna (1982)

Embellie et agrandie par Septime Sévère, enfant du pays devenu empereur, Leptis Magna était l’une des plus belles villes de l’Empire romain, avec ses grands monuments publics, son port artificiel, son marché, ses entrepôts, ses ateliers et ses quartiers d’habitation.

Site archéologique de Sabratha (1982)

Comptoir phénicien drainant les produits de l’Afrique intérieure, Sabratha fit partie de l’éphémère royaume numide de Massinissa avant d’être romanisée et reconstruite aux II^e et III^e siècles.

Sites rupestres du Tadrart Acacus (1985)

À la frontière du Tassili n’Ajjer algérien, également site du patrimoine mondial, ce massif rocheux est riche de milliers de peintures rupestres de styles très différents dont les plus anciennes remontent à 12 000 ans environ av. J.-C., les plus récentes pouvant être datées du I^er siècle de l’ère chrétienne. Ces peintures reflètent les modifications profondes de la faune et de la flore, ainsi que les divers modes de vie des populations qui se sont succédé dans cette partie du Sahara.

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Sites : La Libye recèle plusieurs vestiges des cités grecques et romaines dont certains classées par l’Unesco. Il y a :

– le site gréco-romain de Leptis Magna à Tripoli.
– l’amphithéâtre de Sabratha
– les ruines de Shabbat
– les peintures rupestres du Fezzan

a) Activités sportives
La plupart des sports peuvent être pratiqués en Libye, ou du moins à Tripoli:
• Les sports nautiques : natation, plongée sous-marine…
L’importation de bateaux à moteur est soumise à autorisation.
Les plus belles plages sont à l’extérieur de Tripoli (vers Sabratha, Garabouli et la villa Cylène).
La côte libyenne est dangereuse par endroits en raison de courants très forts et la présence de lames de fond. A noter : Il n’existe pas de secours organisés.
On peut relever entre autres l’Under Water Club à Gargaresh – Hay Andalus.

Tennis :
Il existe notamment un club fréquenté par de nombreux expatriés de diverses nationalités dans le complexe sportif du grand stade de football de Gorgi .

Les autres sports sont également représentés par de nombreux clubs : football, tennis, judo…
Le matériel adéquat à certains sports n’est pas toujours aisément accessible. Il est donc préférable d’apporter ses raquettes de tennis, palmes, bombes ou bottes d’équitation.

b) Activités culturelles et loisirs
Les activités culturelles sont plutôt restreintes et les activités à caractère purement français sont rares, hormis celles organisées par l’Institut Culturel français.
Les arabophones pourront se rendre dans quelques salles de cinéma, où des films d’origine indienne ou égyptienne sont diffusés.
Pour les non-arabophones, il est possible d’acheter des vidéos ou des DVD dont certains sont en langue française.

Assez peu de choses faites pour le touriste étranger. Reste les objets usuels tels les couscoussier, nattes, gilet brodé traditionnel, ou autres que l’on peut découvrir et marchander dans les souks. Ceux qui se rendent dans le Sud pourront toutefois profiter de l’artisanat touareg ou nigérien.

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