Avant le départ
Durée de vol : Environ 8h. L’aéroport Kotoka est à 10 km du centre-ville.
En savoir plus : Avant de partir & conseils pratiques
Durée de vol : Environ 8h. L’aéroport Kotoka est à 10 km du centre-ville.
En savoir plus : Avant de partir & conseils pratiques
Passeport valide 6 mois après la date de retour et visa (durée 1 mois) obligatoires.
Visa : Le visa est obligatoire pour entrer au Ghana. Le billet de retour est exigé. Vous pouvez, soit demander un visa à l’Ambassade du Ghana en France, soit obtenir un visa à l’aéroport d’Accra ou aux postes frontières terrestres, moyennant le paiement en liquide d’une taxe sur place de 100 Dollars US
Vaccination obligatoire : fièvre jaune.
Vaccinations conseillées : hépatite A et B, typhoïde, méningite.
Mauvaises infrastructures médicales dans le pays, tant au niveau qualité que capacité.
Conduite : A droite. La ceinture de sécurité est obligatoire. Le permis de conduire international est requis.
Importation : 400 cigarettes ou 100 cigares, 1 bouteille de vin ou d’alcool. Une taxe sera versée pour tout cadeau apporté.
Unité monétaire : Cedi
Code de la Monnaie : GHC
Taux de chage au 07/01/2016 :
1,00 GHS = 0,262469 USD = 0,242660 EUR
1,00 USD = 3,80997 GHS
1,00 EUR = 4,12098 GHS
Pourboire : Les pourboires sont permis dans les hôtels et restaurants, mais rarement ajoutés à la note.
Sigle International : GH
Monnaie : Cedi
Taux de chage au 07/01/2016 :
1,00 GHS = 0,262469 USD = 0,242660 EUR
1,00 USD = 3,80997 GHS
1,00 EUR = 4,12098 GHS
Horaires d’ouverture de travail : Les banques ferment généralement tôt (14h), les entreprises sont en activité également le samedi matin.
Téléphone : Pour téléphoner au Ghana: 00 233 + indicatif de la localité + numéro de votre correspondant.
Nos d’Urgence
1. Ugences (ambulance, pompiers, police) : 999
2. Police: 191
3. Ambulance : 192
4. Fire : 193
5. Ghana National Fire Service: 66.49.37
Internet
1. Ghana.co.uk
2. Ghanaweb.com
3. Site Officiel du tourisme
Médias
Du côté des médias, les radios locales sont les seules institutions du pays à utiliser massivement les langues ghanéennes. On compte environ six langues employées dans les stations de radio nationale et à la télévision. Il s’agit de l’anglais, de l’akan, du dagbani, de l’éwé, du ga et du haoussa (une langue véhiculaire). La situation linguistique dans le secteur commercial et des services favorise l’anglais, mais on relève la présence d’un certain nombre de langues du Ghana dans certaines fonctions écrites, par exemple les variétés du dagaar, du dagbani, du fante et le ga, utilisés dans les communications internes et les lettres.
Presse
Accra mail
Graphic Ghana
Que manger ? Le fufu, le kenkey, le banku, le tuo zofe, la soupe à l’arachide.
Il n’y a proprement parlé pas d’interdit, sauf religieux.
En raison du nombre d’ethnies différentes, les coutumes et traditions sont variées au Ghana. La population est chaleureuse et fière.
Un habitant sur deux est un Akan, un sur six est un Mossi.
Il n’existe pas au Ghana de religion d’Etat.
Mode de vie
Le Ghana est un pays plat… géographiquement parlant, car en dehors de ça, il fait partie de ces pays africains qui savent faire la fête. Pas de raison de s’ennuyer au Ghana, les paysages, bien que situés à de basses altitudes, forment un patchwork varié. On notera la spécificité de la région centrale du Ghana, très développée, où l’on pourra admirer les vestiges de son histoire. Le lac Volta qui recouvre une grande partie du pays constitue aussi une réelle curiosité.
Cette maladie parasitaire est transmise par les piqûres de moustiques et impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…).
A ces mesures, doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé.
Classification : zone 3.
Durant votre séjour, et durant les deux mois qui suivent votre retour, en cas de fièvre, un avis médical doit être pris rapidement, pour mettre en œuvre dès que possible un traitement anti-paludique éventuel.
Le Ghana a été touché par l’épizootie de grippe aviaire en 2007. A titre informatif, il est conseillé de consulter l’encart « Grippe aviaire » figurant à la page « Infos pratiques/Risques sanitaires » de ce site. La Direction Générale de la Santé recommande aux voyageurs d’éviter tout contact avec les volailles et les oiseaux, c’est-à-dire de ne pas se rendre dans des élevages ni sur les marchés aux volatiles. Les recommandations générales d’hygiène lors des voyages dans les pays en développement, qui visent à se protéger des infections microbiennes, sont préconisées.
Les recrudescences de cas de choléra étant régulières, dans la région d’Accra notamment, il est recommandé d’appliquer les mesures suivantes :
Prévalence non négligeable du VIH-Sida. Toute mesure de prévention est indispensable.
Les infrastructures médicales dans le pays sont médiocres. Il n’y a pas de SAMU ni de services d’ambulance. La capacité des services d’urgence est très limitée en milieu urbain et quasi inexistante hors des grandes agglomérations.
Les prestations sont de qualité moyenne et payables d’avance.
• Terrorisme
Dans le contexte des attentats de Bamako, Ouagadougou et Grand-Bassam en Côte d’Ivoire, il convient de tenir compte de la menace terroriste régionale sur les pays d’Afrique de l’ouest, y compris le Ghana. Une vigilance accrue est nécessaire, en particulier dans les lieux publics fréquentés par des expatriés.
• Délinquance/criminalité
Le niveau de sécurité est relativement satisfaisant dans l’ensemble du pays mais les risques de vols, vols à l’arrachée, cambriolages, voire braquages violents, existent, y compris dans les quartiers résidentiels ou fréquentés par les touristes et les personnels expatriés, dans les grandes villes (Accra, Tamale, Takoradi, Kumasi) ou sur les plages.
• Risques routiers
Les accidents de la route sont très fréquents (état variable des routes, comportement risqué de nombreux conducteurs), ce qui nécessite d’être extrêmement attentif et prudent. La circulation de nuit est particulièrement dangereuse (piétons marchant le long des routes, animaux, véhicules mal éclairés) et donc déconseillée. Quelques attaques armées visant des transports en communs (autobus, « trotros ») sont également signalées dans le pays, généralement après la tombée de la nuit.
• Risques naturels : inondations et risque sismique
Lors de la saison des pluies (fin avril à fin juillet puis septembre et octobre), le Ghana peut être le théâtre d’inondations importantes, en particulier dans les trois régions du nord mais également dans le Sud.
Le sud-est du Ghana se trouve dans une zone sismique, même s’il n’y a pas eu de tremblements de terre d’importance depuis 1939.
• Cybercriminalité
Une recrudescence des actes de cybercriminalité a été constatée via des échanges de messages électroniques, les réseaux sociaux ou les sites de rencontre : arnaques aux sentiments ; propositions frauduleuses d’affaires. Les malfaiteurs vont parfois jusqu’à usurper l’identité de personnes connues ou de proches. Il est conseillé de ne pas répondre aux emails douteux et de ne jamais verser d’argent, ni de communiquer ses références bancaires ou de carte de paiement en cas de sollicitation commerciale ou d’un particulier en détresse alléguée (demande de paiement du billet d’avion, frais d’hospitalisation, frais de caution après une arrestation..).
Les conditions de sécurité sont bonnes dans la majeure partie du pays. L’intégralité du pays est en jaune, zone de vigilance renforcée. Néanmoins, il convient d’être particulièrement attentif dans les zones suivantes :
• Nord-Est
Les heurts entre chefferies, parfois violents, sont récurrents dans le nord-est du pays (Nord Volta, Northern and Upper-East Regions). Des couvre-feux ont ainsi, été instaurés dans les villes de Bawku et de Yendi notamment, mais aussi plus récemment à Bunkpurugu et Bimbilla. Il est conseillé de se renseigner préalablement, auprès de l’Ambassade de France, sur l’état de la situation avant de se rendre dans la zone.
• Grand-Accra
Dans le Grand Accra (Accra et ses environs), éviter de circuler à pied ou en taxi la nuit, dans les quartiers populaires comme Nima ou Jamestown. Dans les rues commerçantes (Osu) et dans les zones résidentielles (Cantonments, Ridge, Airport Residential, East Legon), les vols à la tire ou à l’arraché, parfois violents, sont relativement fréquents. Il est déconseillé de circuler à pied de nuit dans ces quartiers.
• Les plages
Plusieurs agressions violentes, pour vol, ont été signalées sur la plage de Kokrobite située à 25 km à l’ouest d’Accra, y compris en journée. Il est recommandé de ne pas s’éloigner de la zone des hôtels et restaurants. De manière générale, il est conseillé d’éviter de se rendre sur les plages isolées.
• Aéroport et postes frontières
A l’aéroport international d’Accra et aux postes frontières (Ghana-Togo, Ghana-Cote d’Ivoire), veiller à protéger ses documents de voyage et ses bagages. A l’aéroport, il est recommandé de n’accepter l’aide que des porteurs en uniforme munis d’un badge officiel, et de n’emprunter que les taxis officiellement répertoriés.
• Traversée du Lac Volta
Chaque année, des naufrages se produisent sur le lac Volta, principalement en raison des conditions météorologiques et du mauvais état des embarcations. Il est, par conséquent, conseillé d’éviter de traverser le lac ou, en tout état de cause, de s’assurer au préalable que l’embarcation dispose d’un minimum de dispositifs de sécurité tels que gilets de sauvetage en nombre suffisant et radio de bord.
Accra, la capitale pointe à la 97ème place du classement sur 144 villes les plus chères. Il faut compter pour une location de villa pas moins de 1500€ par mois. Source : Mercer Human Resource Consulting
Légumes
cedis |
euros |
|
Tomates (le kg) |
11 000,00 |
1,29 |
Carottes (le kg) |
11 000,00 |
1,29 |
Salade (pièce) |
1 100,00 |
0,13 |
Fruits
cedis |
euros |
|
Pommes (le kg) |
53 900,00 |
6,32 |
Bananes (le kg) |
6 600,00 |
0,77 |
Viandes
cedis |
euros |
|
Boeuf filet (le kg) |
44 000,00 |
5,16 |
Porc (le kg) |
46 200,00 |
5,42 |
Volaille (le kg) |
38 500,00 |
4,52 |
Poissons
cedis |
euros |
|
Sole (le kg) |
22 000,00 |
2,59 |
Bar (le kg) |
19 800,00 |
2,32 |
Crevettes (le kg) |
18 700,00 |
2,19 |
Produits laitiers
cedis |
euros |
|
Lait (litre) |
8 800,00 |
1,03 |
Beurre (la livre) |
16 500,00 |
1,94 |
Oeufs (les douze) |
5 500,00 |
0,65 |
Yaourts (les quatre) |
27 500,00 |
3,22 |
Boissons
cedis |
euros |
|
Bière (les six) |
12 100,00 |
1,42 |
Vins français (la bouteille) |
88 000,00 |
10,32 |
Épicerie
cedis |
euros |
|
Café (500g) |
55 000,00 |
6,46 |
Sucre en morceaux (le kg) |
6 600,00 |
0,77 |
Huile (le litre) |
15 400,00 |
1,80 |
Produits pour bébé
cedis |
euros |
|
Petit pot (le pot) |
5 555,50 |
0,65 |
Couches-culottes (les 30) |
102 300,00 |
12,00 |
Bon réseaux routiers, bon réseau de bus Quelques rares possibilités de vols intérieurs et un ferry sur le lac Volta pour aller d’une extrémité à l’autre.
Taxis, vélos, trotos (mini-bus).
Voiture : les routes sont entretenues sur les grands axes du Ghana, mais parfois impraticables dans les zones reculées. Vous avez la possibilité de louer un véhicule avec chauffeur.
Taxi : comme ils ne disposent pas de compteur, il faut négocier le prix avant de monter.
Bus : ils desservent la plupart des grandes villes du Ghana.
Train : il est lent mais confortable. Le réseau est très restreint et relie les villes de Sekondi-Takooradi, Accra et Kumasi (sud du Ghana).
Bateau : ils naviguent sur le lac Volta entre Akosombo et Yeji (moyen de transport lent mais agréable).
Avion : des compagnies aériennes proposent des vols à des prix accessibles entre Accra, Takooradi, Kumasi et Tamale.
Dans les écoles, quelques langues ghanéennes à fonction véhiculaire sont enseignées au primaire, mais pas les langues maternelles locales. Au total, il y a neuf langues soutenues par le gouvernement: l’akan, le dagaare, le dagbani, le dangme, le ga, l’éwé, dagbane, le gonja et le kasemle, le nzema.
Lors des quatre premières années du primaire, la langue ghanéenne la plus répandue au plan local est généralement employée comme moyen d’instruction, pendant que l’anglais est étudié comme discipline. On peut dire que l’enfant ghanéen reçoit une sorte d’éducation bilingue transitoire. À partir de la cinquième année, l’anglais remplace la langue ghanéenne comme moyen d’instruction et la langue ghanéenne est alors traitée comme une simple matière scolaire dans l’horaire. Autrement dit, la première langue de l’élève sert de moyen transitoire pour l’instruction scolaire, car le but ultime est de parvenir à une certaine aisance en anglais, la langue officielle. Par conséquent, tout Ghanéen qui fréquente l’école doit apprendre l’anglais en plus de sa langue maternelle ou plus généralement la langue locale dominante.
Au secondaire, tout l’enseignement est dispensé en anglais; le français ou toute autre langue ghanéenne peut être enseigné sur une base facultative comme langue étrangère.
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