Avant le départ
Durée du vol : Entre 6h et 9h des principales capitales européennes, selon les destinations, desservies par l’ensemble des grandes compagnies.
En savoir plus : Avant de partir & conseils pratiques
Durée du vol : Entre 6h et 9h des principales capitales européennes, selon les destinations, desservies par l’ensemble des grandes compagnies.
En savoir plus : Avant de partir & conseils pratiques
Visa
Pièces à fournir pour l’obtention de votre visa :
VISA TOURISME :
– Passeport en cours de validité (6 mois MINIMUM)
– 1 Formulaire de demande de visa ( la date d’entrée envisagée au Congo devra être clairement indiquée.)
– 2 Photo d’identité
– 1 attestation de voyage
– 1 certificat d’hébergement légalisé par une autorité locale ou une confirmation de réservation d’hôtel
VISA D’AFFAIRES :
– Passeport en cours de validité 6 mois
– 1 Formulaire de demande de visa( la date d’entrée envisagée au Congo devra être clairement indiquée.)
– 2 Photo d’identité
– 1 Lettre d’invitation du correspondant Congolais
– 1 Ordre de mission (lettre de société)
– 1 Attestation de voyage.
Vaccination
La vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire. Vaccinations recommandées : diphtérie, tétanos, poliomyélite, typhoïde, hépatites A et B. Un traitement antipaludéen est fortement recommandé, le pays est classé en zone 3.
Conduite et Permis de conduire : Conduite à droite . La ceinture de sécurité est obligatoire. Le permis européen est valide une année.
Limitations en douanes :
– 100 cigarettes ou 25 cigares ou 250 g de tabac
– Appareils photo
– Appareils de musique
– Caméras,
– Electrophone avec 20 disques
– Poste radio
– Magnétoscope
– Des articles de sport et de pêche sportive
Nb : Les armes de chasse sont admises en franchise temporaire avec des permis de chasse ou permis scientifique. Cette importation est rigoureusement subordonnée à l’autorisation des autorités chargées de la sécurité du pays.
Unité monétaire : Communauté Financière Africaine Francs BEAC
Taux de change au 04/02/2014 :
1,00 XAF = 0,00152449 EUR = 0,00166273 USD
1,00 EUR = 655,957 XAF
1,00 USD = 601,361 XAF
Code de la Monnaie : XAF
Pourboire : Si le pourboire n’est pas obligatoire, il est toujours le bienvenu et très apprécié. En règle générale il est de 10%. Pour le port de bagages par exemple le minimum tourne autour de 500 F CFA. Attention : au restaurant le pourboire n’est jamais inclus dans l’addition.
Moyens de paiement
Les cartes de crédit MasterCard et Diners Club sont très peu acceptées. Il est préférable de faire établir les chèques de voyage en euros ou en francs CFA, leur échange occasionne des frais. Il n’y a pas de limitation à l’import ou à l’export de devises, l’import de francs CFA n’est pas limité non plus mais son exportation ne peut dépasser 25 000 FCFA.
Lexique de base :
mbóte (na yó) o lamuki, salúti [Fr.] : hello , hi (« paix sur toi ») : salut
Ndenge níni ? : How are you? : Comment vas tu ? Comment ça va ?
malámu : fine, well : bien
(N)sango níni ? : What’s up? : Quoi de neuf ?
(N)kómbó na yó nani ? : What’s your name? : Quel est ton nom ?
Ngáí … I am … Je suis …
kómbó : name : nom
madâmu : madam : madame
pakala : mister : monsieur
o lala malámu : good night : bonne nuit
tomónání, tikala malámu : goodbye, bye : au revoir, (« restes bien »)
eleka malámu : good luck : bonne chance
lipwepwe : the kiss : la bise, le baiser
Nalingí yó (míngi) : I love you (so much) : Je t’aime (beaucoup)
botondi, melesí [Fr.] : thanks merci
palado, libisa : please s’il te/vous plaît
O sosoli ? Oyoki ? : Do you understand? : Vous comprenez ?
Na sosoli té : I don’t understand : Je ne comprends pas
Nalobaka Lingála té; Nalobaka Lingála muké : I don’t speak Lingala; I speak a little Lingala : Je ne parle pas lingala; Je parle un peu lingala
Nazótánga, Nazalí kotánga : I am studying : Je suis en train d’étudier
Nazalí motángí : I am student : Je suis étudiant
Olobaka kingelezo ? : Do you speak English? : Parlez-vous anglais ?
èè, (iyó) : yes : oui
té : no : non
mawa, motéma pási : sorry : désolé (c’est triste), (ça fait mal au cœur)
Conduite et Permis de conduire
Conduite à droite. La ceinture de sécurité est obligatoire. Le permis européen est valide une année.
Sigle International : RCB
Horaires d’ouverture / de travail
Les banques sont fermées l’après-midi, tout comme les administrations. Les entreprises sont en activité le samedi matin
Horaires des banques : 6h20-13h (les caisses ferment à 11h30), du lundi au vendredi.
Téléphone – Indicatif : 242
Suffixe Internet : .cg
Médias
Les Dépêches de Brazzaville
La Voix du Congo-Brazza
Le Moustique : L’info du Congo Brazzaville en continu
Mwinda, le journal de l’Association des Démocrates Congolais en France
La cuisine est peu varié et est assez basique.
Constituée de poisson d’eau douce, de viande de brousse, de fruits de mer, les poissons comme la viande se consomment frais, ou, pour des raisons de conservation, salés. Le poisson salé ou « buaka bueni » est un plat incontournable.
Comportement
Concernant la photographie animalière, un téléobjectif est nécessaire. Demandez l’autorisation aux habitants avant de les prendre en photo.
Existence
Bien qu’aucune des deux villes principales n’entrent dans la catégorie des 140 villes les plus chères du monde, Brazzaville, reste, comme la majorité des villes africaines, chères pour les « nomades développeurs ». A Pointe-Noire, les loyers sont encore plus chers, c’est normal, vous avez les pieds dans l’eau!
Mode de vie
La culture traditionnelle congolaise a été bouleversée au fil des années avec les différents conflits.
La famille occupe une place centrale dans la culture congolaise. Ce ne sont pas seulement les parents directs qui occupent cette place, mais aussi les cousins et enfants éloignés considérés comme des frères et sœurs.
L’individualisme est alors banni par cette solidarité. Les congolais se servent souvent de ce lien pour trouver un logement et même du travail.
Cependant cette grande entraide familiale tend à se perdre avec le temps avec la montée de la délinquance et des violences.
Une épidémie de poliomyélite a touché Pointe-Noire en novembre 2010. Aussi est-il recommandé de s’assurer, avant tout déplacement dans le pays, d’être bien à jour de la vaccination Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite (+/- Coqueluche pour les enfants). De même, la stricte observance de mesures d’hygiène élémentaires (hygiène des mains et qualité de l’eau de boisson) est impérative.
En 2011, une épidémie de chikungunya a été déclarée à Brazzaville, sans association de dengue, et, depuis, des cas sporadiques évocateurs continuent à être rapportés. Les femmes enceintes sont invitées à vérifier qu’il n’y a pas, au moment de leur départ, d’épidémie de chikungunya au Congo, auquel cas il leur est conseillé de reporter leur voyage.
Veillez à utiliser toutes les méthodes de protection contre les piqûres de moustiques (vêtements couvrants, produits répulsifs, etc.). Eliminer les gites potentiels de moustiques autour et dans votre habitation : eau stagnante dans les récipients, les vases, les pneus usés, …
Par ailleurs, il est recommandé, lors du séjour au Congo, ou au retour en France, de consulter un service médical en cas d’apparition de fièvre, maux de tête, douleurs musculaires et articulaires ou éruption cutanée. Dans ces cas, il est conseillé d’utiliser le paracétamol et préférable d’éviter les médicaments qui peuvent fluidifier le sang comme l’aspirine tant que le diagnostic de paludisme n’a pas été infirmé.
Classification en zone 3.
Cette maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques impose le recours à des mesures de protection individuelle, principalement dormir sous moustiquaire et utiliser des repellents encore appelés répulsifs ou insectifuges (sprays et crèmes à acheter avant le départ).
A ces mesures doit s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu, surtout pour les séjours brefs inférieurs à 6 mois. Il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France, pour une durée variable selon le produit utilisé.
Pendant votre séjour, et durant les deux mois qui suivent votre retour, en cas de fièvre, un avis médical doit être pris rapidement, pour mettre en œuvre dès que possible un traitement antipaludique éventuel.
Prévalence non négligeable du VIH-Sida qui impose, comme les autres maladies sexuellement transmissibles, un comportement responsable (préservatifs).
Des cas de rage surviennent régulièrement, en particulier à Pointe-Noire, en dépit des efforts des autorités locales pour maîtriser les populations d’animaux errants. Il est recommandé de ne pas s’approcher des chiens et chats errants. En cas de morsure ou de griffure, il convient de consulter un médecin sans délai. Compte tenu des risques de transmission à l’homme, une vaccination préventive peut s’avérer utile.
La sécurité est assurée dans la majeure partie du pays.
Deux zones sont déconseillées sauf raison impérative : une zone à cheval sur le Département du Pool et celui de la Bouenza, incluant notamment les localités de Missafou, Mindouli et Mfouati, où des agressions sont constatées, et la zone frontalière avec la RCA, où des éléments incontrôlés de la rébellion, des délinquants ou des personnes cherchant à quitter le pays sont susceptibles de provoquer des troubles.
De manière générale, il est conseillé de prévenir ses proches lorsque l’on est amené à se déplacer en dehors des villes et de le faire en convoi de deux véhicules au moins. En cas d’accident, l’évacuation d’un blessé n’est en effet envisageable que par le deuxième véhicule. Aucune infrastructure de dépannage n’est opérationnelle. Il convient de mettre, en toute circonstance, sa ceinture de sécurité, que ce soit à l’avant ou à l’arrière du véhicule. Par ailleurs, en cas d’accident de la circulation avec des dommages corporels, les conducteurs peuvent être pris à partie de manière violente, avec des risques de lynchage. Il est recommandé de ne pas rester sur place et de déclarer, aussitôt après, l’accident au commissariat ou à la brigade de gendarmerie la plus proche.
Il est interdit de prendre des photographies des sites sensibles tels que les ports, les ponts, les routes, les points de contrôle, les bâtiments officiels, etc. En l’absence de définition précise des sites concernés, il est préférable de s’abstenir, en général, de prendre des photographies autres que celles ayant un caractère familial ou privé.
En cas de participation à des marches d’une certaine durée (supérieure à une heure), se munir d’un couvre-chef, de lunettes de protection et d’un ravitaillement minimum en eau. Ne jamais s’éloigner du groupe, d’une manière générale, et particulièrement en forêt.
Il est déconseillé de se baigner dans les rapides du fleuve Congo et de ses affluents, très dangereux, et dans les cascades.
Dans les villes du Congo, comme partout ailleurs, il est imprudent de sortir seul le soir en dehors des quartiers centraux et d’y associer des comportements à risque (excès de boisson, consommation de produits illicites, rencontres tarifées…).
Ne pas transporter de fortes sommes d’argent pour éviter les conséquences des vols à l’arraché.
Les agressions connaissent une recrudescence périodique au moment des fêtes de fin d’année. La vigilance doit redoubler en décembre.
Des contrôles d’identité et de régularité du séjour des étrangers sont effectués sur la voie publique. Il est recommandé, lors de tous les déplacements, d’être muni des documents d’identité et de séjour (originaux ou copies certifiées conformes).
Par ailleurs, dans le contexte politique actuel, et dans l’éventualité de nouvelles manifestations, il convient de demeurer vigilant et d’observer la plus grande réserve en toutes circonstances. Il est notamment nécessaire de se tenir éloigné de tout rassemblement ou mouvement de foule.
Brazzaville a été le théâtre, le 4 mars 2012, de violentes explosions au camp militaire de Mpila. Si le risque d’explosion a totalement disparu, le travail de dépollution de cette zone d’environ un kilomètre autour du point d’impact, qui a débuté il y a un an, n’est pas encore achevé. Cette zone demeure totalement inaccessible aux véhicules. Il est demandé à nos ressortissants de respecter cette interdiction.
Dans le reste de la ville, la sécurité est dans l’ensemble satisfaisante, notamment dans les quartiers du centre où séjournent la plupart des étrangers. Il convient d’être plus vigilant la nuit, en particulier dans les quartiers populaires du nord et du sud de la ville (Talangaï, Kintélé, Bacongo, Makélékélé). Il est par ailleurs recommandé de ne pas montrer que l’on se déplace avec de l’argent, des documents, des téléphones ou des appareils photo sophistiqués.
La ville de Pointe-Noire connaît une recrudescence de vols, notamment par des pickpockets, et d’agressions. Les délinquants sont parfois armés de machettes. En pareil cas, il est vivement recommandé de ne pas essayer de résister, et d’adopter un comportement le plus calme possible face aux agresseurs. Une plainte doit être déposée très rapidement au commissariat le plus proche. Il est conseillé d’informer le consulat général, une fois la plainte déposée.
D’une manière générale, il convient de rester vigilant sur le front de mer, de ne pas s’y promener avec des objets de valeur et d’éviter de marcher seul après la tombée de la nuit. Les promenades sur la plage, au-delà de l’ancien wharf, vers le Sud, sont fortement déconseillées à toute heure de la journée en raison de la présence régulière de bandes de délinquants.
La nuit, il convient d’éviter de circuler à pied dans le centre-ville. La circulation automobile y est également dangereuse du fait des excès de vitesse et de la présence de conducteurs en état d’ébriété.
Il convient également de rester vigilant dans les quartiers périphériques et d’adopter en toutes circonstances une certaine réserve. Il est préférable d’éviter d’y circuler la nuit.
La route de Dolisie est très dangereuse en raison du trafic des grumiers, et de la vitesse excessive des véhicules. Il est recommandé de ne pas l’emprunter de nuit.
La situation qui prévaut en RCA reste incertaine. Le pays et ses frontières ne sont pas contrôlés par les forces de sécurité centrafricaines. Dans ces conditions, il est fortement déconseillé de se déplacer et de séjourner dans une bande frontalière de 50 kilomètres entre le Congo et la RCA. Des éléments incontrôlés de la rébellion ou des délinquants sont susceptibles de créer de l’insécurité dans cette région frontalière.
Le département du Pool est une zone susceptible d’agitation récurrente, propice à l’apparition ponctuelle de coupeurs de route. Des agressions peuvent s’y produire et la vigilance s’impose. Aussi est-il vivement recommandé, s’il est nécessaire de circuler dans cette zone, de rouler en convoi et uniquement de jour.
Il est rappelé qu’en cas d’agression, il est important de ne pas chercher à résister aux agresseurs. Leurs demandes étant motivées par des besoins financiers, le refus d’obtempérer peut les conduire à des réactions violentes.
Villa 4 pièces : à partir de 900.000 Fcfa/mois Pointe-Noire et Brazzaville
Appartement 3 pièces : à partir de 700.000 Fcfa / mois
Bureau :
à partir de 300.000 Fcfa / mois
à partir de 400.000 Fcfa / mois (meublé)
En cours de saisie
Réseau routier en mauvais état. Les réseaux aériens et ferroviaires relient les villes principales. Trafic maritime important sur les fleuves Congo et Oubangui.
Enseignement préprimaire
L’ enseignement préscolaire est réservé aux enfants âgés de 3 à 5 ans, qui passent trois ans dans les classes de P1, P2 et P3. Le cycle préscolaire, non gratuit, reste très peu développé et ne profite qu’ aux familles urbaines aisées.
Enseignement primaire
L’ enseignement primaire est obligatoire et accueille les enfants âgés de 6 à 11 ans ; il est organisé en un cycle d’ éveil (cours préparatoire 1 et 2 – CP1, CP2 – et cours élémentaire 1 – CE1) et un cycle de fixation (cours élémentaire 2 – CE2– et cours moyen 1 et 2 – CM1, CM2). La fin de formation est sanctionnée par le certificat d’ études primaires élémentaires (CEPE). Un concours d’ entrée autorise le passage au secondaire. Elaboré par UNESCO-BIE
Enseignement secondaire
L’enseignement secondaire offre des formations générales et techniques. Le secondaire général comprend deux cycles : le premier, composé de quatre années d’ études, est sanctionné par le brevet d’ études du premier cycle (BEPC) ; le second, d’ une durée de trois années, est sanctionné par le baccalauréat. Le secondaire technique et la formation professionnelle regroupent, d’ une part, des centres de métiers (où l’ entrée se fait, pour deux ans, sur titre pour les titulaires du CEPE) et les collèges d’ enseignement technique, où l’ entrée se fait par orientation. Ces collèges reçoivent aussi des élèves du niveau cinquième du secondaire général, ainsi que des élèves provenant des centres de métiers, pour deux années sanctionnées par un brevet d’ études techniques (BET). Par ailleurs, on y trouve les lycées d’ enseignement technique (qui reçoivent des élèves titulaires du BEPC ou du BET, pour trois années de formation, sanctionnées par un baccalauréat technique) et les écoles de formations professionnelles qui reçoivent, à des degrés divers, les titulaires du BEPC, du baccalauréat et les fonctionnaires pour leur perfectionnement selon leur spécialité, pour des formations d’ une durée de deux à quatre ans. La formation des instituteurs est assurée par les Ecoles normales d’ instituteurs (ENI) qui recrutent sur concours les titulaires du baccalauréat pour une formation initiale de deux ans et les instituteurs adjoints pour un recyclage. Elles délivrent le certificat de fin d’ études des écoles normales (CFEEN) aux instituteurs du primaire, du préscolaire ou des arts ménagers.
Enseignement supérieur
L’ enseignement supérieur sur concours (instituts) et orientation (facultés) concerne les élèves âgés de 18 ans pour des études dont la durée est comprise entre deux et huit ans. Les formations conduisant à l’ obtention du brevet de technicien supérieur d’ entreprise ou au diplôme d’ études universitaires générales (DEUG) ont une durée de deux ans. L’Ecole nationale supérieure polytechnique offre des enseignements organisée en deux cycles de formation : un cycle de technicien supérieur de trois ans sanctionnés par le diplôme universitaire de technologie (DUT) ; et un cycle d’ ingénieur de trois ans dont les études sont sanctionnées par le diplôme d’ ingénieur. Les formations conduisant à la licence durent trois ans et quatre ans dans le cas de la maîtrise. Le diplôme d’ études approfondies (DEA) est une formation de niveau Bac + 5 et le doctorat Bac + 7 ou 8.
L’ année académique a une durée de neuf mois divisés en trois trimestres. Depuis quatre ans, les troubles sociaux politiques et les grèves des élèves et des enseignants ont profondément perturbé le rythme des années académiques. Les classes ne commencent plus en octobre pour se terminer en juin. A titre d’ exemple, l’ année scolaire 1995-1996 a débuté en novembre 1995, alors qu’ au niveau de l’ université certains établissements n’ ont pas terminé l’ année précédente. En 2006, au niveau de l’ enseignement primaire et secondaire l’ année scolaire comprend environ 26 semaines de cours, six jours par semaine.