Par la route : Transports plutôt anarchiques rendus difficiles et fatiguants par l’insuffisance des moyens de communication suite à la longue période de troubles qu’a connu, et que connaît encore, le pays.
Bus et taxis : ils sont collectifs et desservent une bonne partie du pays. Le réseau routier est en mauvais état et souvent impraticable durant la saison des pluies (surtout dans le sud).
Très peu de bus avant tout axés sur la région sud. Les camions et voitures particulières pas toujours en état restent les principaux moyens pour se déplacer. 1% des routes tchadiennes sont bitumées.
A N’Djamena, l’unique mode de déplacement demeure le taxi. Bon marché, les taxis collectifs empruntent cependant toujours le même itinéraire et sont souvent bondés.
Quelques loueurs de véhicules locaux pour environ 30 à 75 €/jour et plus pour un 4×4. Dans tous les cas, en location comme avec son propre véhicule tout terrain, prendre les précautions d’usage indispensables à l’environnement saharien si l’on compte s’aventurer au nord.
Avion : des liaisons aériennes sont possibles avec des compagnies locales, mais les vols ne sont pas réguliers.
A savoir : bien choisir ses guides, disposer d’un bon matériel et être très bien équipé (y compris avec des réserves d’essence, d’eau, nourriture et GPS dans certains cas), se déplacer en convoi de plusieurs véhicules sans jamais s’écarter des pistes les plus fréquentées, indiquer son itinéraire avant de partir et surtout bien s’informer des possibilités et des situations locales auprès des autorités ou d’autres voyageurs.