Consultez nos appréciations pour Malte sur notre tableau comparatif Europe !
Soyons clair : ce ne sont pas les plages qui vous feront tomber sous le charme de l’archipel. Elles sont jolies, mais pas exceptionnelles. On vient plutôt ici pour s’enivrer d’histoire et d’arts en tous genres. Car Malte a beau être le plus petit Etat de l’Union européenne, parions qu’il vous faudra bien plus qu’une retraite pour faire le tour de ses trésors culturels ! Avec en prime un climat agréable toute l’année, caractérisé par des étés chauds et secs et des hivers doux, et une douceur de vivre incomparable…
S’il n’y a aucun intérêt fiscal ou presque à opter Malte (vos pensions resteront taxées en France), votre porte-monnaie vous sera quand même reconnaissant : » le coût de la vie est ici environ 25 % plus bas qu’en France, soit à peu près comme au Portugal « , explique Paul Delahoutre, auteur du guide Retraite sans frontières.
Fiscalité :
Les retraités sous ce régime bénéficient d’une exonération totale d’impôts sur les revenus non rapatriés à Malte. Les revenus de source étrangère rapatriés à Malte sont quant à eux imposés au taux de 15 %. Les revenus de source locale sont imposés à un taux progressif jusqu’à 35 %.
Le régime pour résidents retraités :
Un bien immobilier d’une valeur minimale de 275 000 euros doit être acquis ou un bien peut être loué pour un montant minimal de 9 600 euros par an.
Il est en outre requis de pouvoir démontrer percevoir un revenu minimal de retraite de 37 500 euros par an qui doit être reçu sur un compte bancaire à Malte.
Un montant minimal de 7 500 euros d’impôts doit être payé pour ce statut.
A savoir : Pour une retraite au grand calme, préférez l’île de Gozo, la petite soeur de Malte.