Les points forts
– La troisième plus grande économie du monde
– L’un des plus grand pouvoir d’achat dans le monde
– Leader en matière de haute technologie, la recherche et le développement
– Des moyens importants sont consacrés à système éducatif
– Accès au marché japonais facilite l’entrée à d’autres marchés asiatiques
– Climat d’affaires favorable
– Vieillissement de la population ouvre de nouvelles opportunités pour les produits et services adaptés aux groupes plus âgés (la technologie des soins de santé, les appareils médicaux, les loisirs, les produits pharmaceutiques, etc.)
D’autres arguments en faveur de l’investissement au Japon peuvent être trouvés sur le site de l’agence de l’investissement japonais (JETRO).
Les points faibles
– Une réglementation excessive entrave la croissance économique, augmente le coût de faire des affaires, restreint la concurrence et ralentit l’entrée/sortie sur les marchés
– Culture d’entreprise très insulaire qui préfère faire des affaires (en particulier les transactions M&A) avec des entreprises partenaires connues
– Les réseaux et les alliances avec les fournisseurs exclusifs entre les organisations professionnelles nationales peuvent restreindre la concurrence des entreprises étrangères
– Défis culturels et linguistiques
– Les pratiques de travail qui entravent la mobilité de la main-d’œuvre, suppriment la productivité et affectent négativement le développement des compétences
Les mesures mises en place par le gouvernement
Les catastrophes de Mars 2011 ont interrompu l’examen de certaines initiatives politiques, y compris la nouvelle stratégie de croissance du Japon. Cependant, dans les années qui ont suivi les catastrophes, le gouvernement a mis en avant une série de mesures visant à renforcer la croissance et l’investissement japonais dans le pays. Par exemple, la Stratégie de revitalisation du Japon du Premier ministre Shinzo Abe, sortie en 2014, vise à doubler les stocks d’IDE datant de fin 2012 en 2020. Les réformes menées dans le secteur financier, le secteur de communications et de distribution ont encouragé les IDE ces dernières années. La loi sur les compagnies du Japon, qui régit la formation, le fonctionnement, l’organisation et la gestion des entreprises, a été révisée en 2014. Bien que certaines restrictions demeurent sur la capacité des investisseurs étrangers de pénétrer dans l’économie japonaise, les modifications de la Loi sur les sociétés ont été mises en place pour encourager les investissements étrangers au Japon par l’assouplissement des réglementations liées aux transactions et en renforçant le régime de gouvernance d’entreprise. De plus amples informations à propos de cette réforme se trouve dans cet article du Journal Daily.
Les conventions bilatérales d’investissement signées par le Japon
Le Japon est signataire de 12 conventions. Les accords bilatéraux avec l’Australie, l’Union européenne et la République de Corée sont actuellement en cours de négociation. Le Partenariat Trans-Pacifique a été signé en Février 2016.
La liberté d’établissement
Garantie.
La réglementation concernant les prises de participation
Possible.